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melanie lynskey

  • Coyote girls

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    Afin de poursuivre son rêve de devenir artiste, notre pote Violette Sanford (Piper Perabo) est partie s’installer à New York laissant ainsi derrière elle son père William (John Goodman). Les premiers temps sont durs et puis la jeune compositrice va finir par se faire engager au Coyote Ugly, un bar tenu par Lil (Maria Bello). Violette s’apercevra vite que son nouveau job ne consiste pas simplement à étancher la soif des clients ; les Coyotes sont surtout là pour faire le show ! De nature plutôt timide, celle que l’on appelle désormais Jersey va faire étalage de tous ses talents et notamment faire entendre sa voix.

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    Une jeune provinciale débarque en ville avec des rêves plein la tête, cette histoire on la connait par cœur et s’y ajoute ici un coté sexy. Non seulement les Coyote girls vous servent à boire (et pas de l’eau s’il vous plait !) mais en plus de ça elles égayent les soirées en faisant de belles danses sur le bar. Histoire de ne pas rendre le film trop misogyne, on a le personnage de Rachel qui se fait remarquer par son caractère violent. Quant à notre héroïne ; elle fait une belle rencontre amoureuse, réussit à s’imposer par ses dons de chanteuse, passe par des moments de doute tout ça secouer au shaker et cela donne un cocktail assorti d’un Happy end sans réel intérêt. A consommer avec modération !

  • Le monde de Charlie

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    Les années lycée commencent pour Charlie (Logan Lerman) et c’est loin de l’enchanter. Ce jeune adolescent a en effet vécu des moments difficiles ces derniers temps et redoute cette nouvelle étape de sa vie. Pas facile pour lui d’autant plus que les seules personnes qu’il connaisse l’ignorent totalement bref cette nouvelle année scolaire risque d’être longue ! D’abord isolé, il va alors rencontrer un élève de Terminal ; Patrick (Ezra Miller) ainsi que sa belle-sœur Sam (Emma Watson) qui vont rapidement devenir ses nouveaux potes d’enfance. En leur compagnie, Charlie retrouve enfin le sourire et va vivre quelques soirées pour le moins animées.

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    L’écrivain Stephen Chbosky n’a pas trouvé meilleur réalisateur que lui-même pour adapter son roman qui nous fait vivre les turpitudes d’un adolescent qui n’aura pas été épargné par la vie. Le monde de Charlie est une plongée dans le monde adolescent et plus particulièrement du lycée où règne la dure loi de la popularité. D’un coté le personnage discret et blessé interprété par Logan Lerman est attachant et de l’autre on a les extravagants Emma Watson & Ezra Miller pour un film qui mêle avec une grande justesse les émotions. Drôle et émouvant avec en plus un casting irréprochable, c’est une belle découverte.

     

    Il fait le voir pour : Offrir des mix-tapes !

  • Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare

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    C’est désormais une réalité ; dans 3 semaines l’astéroïde Matilda frappera la Terre et signera la fin du monde. Quelques secondes après cette annonce officielle, notre pote Dodge (Steve Carell) voit sa femme le quitter et commence alors pour lui une lente dépression. Alors que tout son entourage l’invite à profiter de ses derniers moments et de vite retrouver une compagne, lui n’y voit aucun intérêt. Ceci était vrai jusqu’à ce qu’il croise Penny (Keira Knightley), une voisine qui vient de rompre avec son petit-ami. Celle-ci cherche n’a désormais qu’un but ; revoir sa famille mais elle a manqué le dernier avion qui pouvait l’amener jusqu’à eux et ça la désespère. Pendant ce temps, Dodge découvre une lettre qu’il n’espérait plus et qui pourrait bien changer le peu de vie qu’il lui reste !

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    A priori, l’extinction de la race humaine serait une perspective peu réjouissante mais c’est aussi et surtout l’occasion de se lâcher. De la folie, on aurait bien aimé que la réalisatrice Lorene Scafaria en donne davantage à son film tellement l’ensemble est plat. Ça n’aurait pas été du luxe de voir un trait d’humour plus prononcé car le peu de scènes qui vont dans ce sens sont rapidement gommées par la mélancolie générale de Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare. Il est vrai que ce n’est pas un défaut en soi mais en l’occurrence, ça plonge le spectateur dans une ambiance plutôt soporifique jusqu’à ce que la fin du film nous réveille ! On pourra à peine se consoler en croisant des têtes bien connues du petit écran comme Connie Britton, William Petersen ou encore Gillian Jacobs.

     

    Il faut le voir pour : Penser à redonner le courrier à votre voisin !

  • Les winners

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    Mike Flaherty (Paul Giamatti) est avocat mais c’est surtout un homme très occupé puisqu’en dehors de son travail, il est aussi l’entraineur d’une équipe de lutte. Malheureusement pour lui, les résultats ne sont pas vraiment ceux qu’il escomptait mais cela pourrait vite changer. L’avocat a quelques problèmes d’argent aussi s’est-il proposé de devenir dans le plus grand des secrets le tuteur d’un de ses clients Leo Poplar (Burt Young) et empocher ainsi les 1500 dollars confiés pour cette mission. Un jour, le petit fils de Leo débarque ; il s’appelle Kyle (Alex Shaffer) et a décidé de fuir sa mère mais il s’avère être également un prodige de la lutte. Mike décide alors de l’inscrire au lycée de la ville et de l’intégrer à son équipe et pas de doute, il tient là un génie mais un évènement va tout remettre en cause.

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    S’il s’était avant tout fait remarquer pour la performance de Richard Jenkins The visitor, le précédent film de Thomas McCarthy avait permis à l’artiste de se faire un peu plus connaitre en tant que réalisateur. Il signe ici son 3ème film ; une comédie dramatique avec en toile de fonds le sport de la lutte plutôt méconnu de par chez nous et ne serait-ce que pour ce simple point de détail, Les winners risque de laisser de coté quelques spectateurs. Tout comme son précédent film, il n’offre pas une simple comédie mais donne également l’occasion d’une réflexion à travers les épreuves vécues par le personnage de Mike. Si coté interprétation il n’y a franchement rien à reprocher, on ne peut pas en dire autant d’un scénario qui tourne un peu en rond et finit par nous lasser.

     

    Il faut le voir pour : Retrouver Dark Vador !