Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

carey mulligan

  • Le conducteur - Drive

    01.jpg

     

    Le conducteur : Vous me donnez une heure et un lieu. Je vous donne un créneau de cinq minutes, pendant ces cinq minutes, je vous lâche pas, quoi qu’il arrive. J’interviens pas pendant le braquage, je ne porte pas d’arme… Je conduis.

     

     

     

     

    En savoir plus sur Drive ?

  • Les Suffragettes

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Angleterre en 1912. Depuis l'age de 7 ans, notre pote Maud Watts (Carey Mulligan) travaille à la blanchisserie Glasshouse. Alors qu'elle était chargée d'assurer la livraison d'un paquet, elle s'est retrouvée sans le vouloir au milieu d'une action menée par les Suffragettes. Derrière ce nom sont en fait regroupées des femmes militant pour leurs droits sous l'impulsion de leur leader Emmeline Pankhurst (Meryl Streep). Parmi les Suffragettes se trouve Violet Miller (Anne-Marie Duff) qui est arrivée récemment à la blanchisserie et qui va finir par convaincre Maud de rejoindre leurs rangs mais cela ne se fera pas sans certains sacrifices.

    01.jpg

    Les Suffragettes revient ainsi sur une page importante de l'Histoire de l'Angleterre en nous dévoilant les circonstances qui ont mené à la proclamation de la loi autorisant le droit de vote aux femmes. Si le film de Sarah Gavron ne se distingue aucunement par sa mise en scène, on peut compter sur les présences conjuguées de Carey Mulligan & Helena Bonham Carter pour rendre ce récit captivant. On a quand même l'impression que le scénario a pris un malin plaisir à accentuer les malheurs de Maud pour susciter au mieux l'empathie du spectateur. Enfin, il est à noter un résumé particulièrement intéressant de l'évolution du Droit de vote des femmes dans le monde.

     

    Il faut le voir pour : Rappeler à votre femme pourquoi elle ne doit pas oublier d'aller voter !

  • Loin de la foule déchaînée

    star 02.5.jpg

    AFF.jpg

    1870 dans la région du Dorset. Notre pote Bathsheba Everdene (Carey Mulligan) était venue aider sa tante et c'est ainsi qu'elle a fait la connaissance de Gabriel Oak (Matthias Schoenaerts). Passant de plus en plus de temps ensemble, le fermier saute le pas lorsqu'il fait sa demande en mariage mais la jeune femme jouit d'une grande indépendance et tient à la conserver. Peu de temps après, Gabriel perd son troupeau lors d'un dramatique accident et se voit forcer de vendre sa ferme. De son coté, Bathsheba apprend que le testament de son oncle lui a légué la propriété d'une ferme. Destin ou hasard, ils seront tous deux de nouveau réunis mais d'autres hommes vont conquérir le cœur de la jeune femme.

    01.jpg

    Au départ il y a donc ce roman de Thomas Hardy qu'adapte pour le grand écran - après déjà 2 versions - le réalisateur danois Thomas Vinterberg (La chasse). Au programme on a donc une Carey Mulligan qui se retrouve courtisée par rien moins que 3 prétendants et qui, par son fort caractère, s'offre le luxe de les faire poireauter. Au-delà de ces romances et des bons sentiments, force est de constater qu'on a une histoire très balisée avec les retrouvailles "hasardeuses" de Bathsheba & Gabriel ou encore un retour providentiel difficile à croire. Loin de la foule déchaînée bénéficie par contre la chance d'avoir un casting séduisant mais ça ne suffit pas pour le rendre passionnant.

     

    Il faut le voir pour : Faire une démonstration de sabre à votre femme mais mieux vaut vous entraîner avant !

  • Inside Llewyn Davis

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    New York 1971. Llewyn Davis (Oscar Isaac) traverse une période difficile du point de vue financier et pour le moment il s’en sort en squattant les canapés de ses potes d’enfance. C’est encore le cas chez Jim & Jean (Justin Timberlake & Carey Mulligan) mais il va avoir une sacrée surprise en apprenant que cette dernière est enceinte. La mauvaise nouvelle c’est qu’il pourrait être le père et il n’avait vraiment pas besoin de ça actuellement. Son premier disque enregistré ne se vend pas du tout et avec un agent comme Mel (Jerry Grayson), il se demande s’il est vraiment entre de bonnes mains. Difficile pour lui de percer en solo surtout quand tout son entourage ne fait que lui rappeler son ancien partenaire Mike.

    01.jpg

    Pas toujours amateur du cinéma d’Ethan & Joel Cohen, je dois tout de même reconnaitre que cette fois le charme a agi. Avec Inside Llewyn Davis il est d’abord question de musique et nos oreilles sont là pour témoigner ; la bande originale est excellente et contribue au plaisir qu’on prend devant ce film. A travers ce portrait, on ne peut pas pousser non plus à coté de la performance d’Oscar Isaac (pour son premier grand rôle) à la fois égoïste et émouvant qui réussit à emporter le spectateur dans sa quête existentielle. En plus de ça, il est extrêmement bien accompagné avec Carey Mulligan, Justin Timberlake et le ténébreux Garrett Hedlund.

     

    Il faut le voir pour : Amener votre chat avec vous pour vos prochains voyages !

  • Inside Llewyn Davis

    Avec Inside Llewyn Davis, on va assister aux retours de Joel & Ethan Coen qui mettent en scène Oscar Isaac, un chanteur de Folk car oui la Folk c'est de la musique. Pas évident de vivre de cette passion mais ils sera bien entouré avec Carey Mulligan, John Goodman ou encore Justin Timberlake.

    Date de sortie : 06 Novembre 2013.


  • Gatsby le magnifique

    star 04.jpg

    aff.jpg

    Sa rencontre avec Jay Gatsby (Leonardo DiCaprio) a changé la vie de Nick Carraway (Tobey Maguire). Beaucoup de rumeurs circulent à propos de ce Gatsby ; on dit qu’il est issu d’une grande famille, qu’il a fait la guerre où il s’est illustré par sa bravoure et ses exploits. La vérité, Nick l’apprendra bien assez tôt puisque tous deux vont devenir plus que des potes d’enfance ; ce sont désormais de vieux frères ! Il y a autre chose qui lie ces deux hommes ou plus précisément quelqu’un puisque Gatsby aimerait revoir Daisy Buchanan (Carey Mulligan), la cousine de Nick. Leur histoire remonte à 5 ans et ils n’ont jamais eu l’occasion de se revoir jusqu’à maintenant.

    01.jpg

    Roman de Francis Scott Fitzgerald, Gatsby le magnifique aime le grand écran puisqu’il s’agit déjà de sa 4ème adaptation cinématographique confiée à Baz Lurhman. Bon vu que je ne connais des versions précédentes, le jeu des comparaisons est vite réglé. Pour en revenir à celle qui nous intéresse, le réalisateur de Moulin rouge connait la recette pour assurer le spectacle et il nous le prouve une fois encore en mettant en scène ces fêtes pharaoniques éblouissantes. On en prend donc plein les yeux, le film est servi par une belle brochette d’acteur, l’opulence se décline sous toutes ses formes et ne reste plus qu’à prendre du plaisir !

     

    Il faut le voir pour : Reconnaitre que, quand même, femme au volant …

  • Shame

    aff.jpg

    Notre pote Brandon (Michael Fassbender) est un homme célibataire qui connait un succès fou auprès de la gente féminine et il accumule les conquêtes. Son appétit sexuel semble insatiable ; que ce soit chez lui ou à son bureau, il écume les sites pornographiques et va même jusqu’à se masturber dans les toilettes. Un jour alors qu’il rentre chez lui il pense avoir affaire à des voleurs mais il s’aperçoit qu’il s’agit tout simplement de sa sœur Sissy (Carey Mulligan). Parce qu’elle est un peu perdue et qu’elle a besoin de prendre un peu de recul, elle parvient à convaincre Brandon de la laisser dormir pendant quelques temps chez lui.

    01.jpg

    C’est vrai qu’après avoir été époustouflé par son Hunger, on était assez impatient de voir le prochain film de Steve McQueen. Changement total de registre puisque Shame dresse le portrait d’un homme malade, totalement addictif du sexe. L’occasion de découvrir un Michael Fassbender qui se met réellement à nu (ce qui fera certainement le bonheur des demoiselles) pour sa seconde collaboration avec le réalisateur. Si on n’a pas devant nos yeux un grand film, on ne peut pas lui retirer ses qualités avec notamment une interprétation de New-York, New-York par Carey Mulligan réellement fascinante. A voir avant tout pour la performance globale des comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Toujours fermer la porte de la salle de bain quand vous l’utilisez.

  • Drive

    aff.jpg

    Il n’y a pas de plus grand plaisir pour lui que d’enfiler ses gants et de prendre le volant d’une belle voiture et il en a d’ailleurs fait son métier. Il (Ryan Gosling) est ainsi devenu cascadeur et entre 2 tournages bosse dans le garage de son pote Shannon (Bryan Cranston). Un mec plutôt tranquille en apparence mais qui tient à exploiter à fond ses talents de pilote et propose ainsi ses services aux braqueurs de Los Angeles. 5 minutes, c’est le temps qu’il laisse à ses complices d’un soir pour conclure leur affaire ; le délai écoulé il entre en scène et jusqu’à maintenant personne n’a eu à se plaindre de ses services.

    01.jpg

    Drive est déjà un évènement en soi puisqu’il s’agit du premier long métrage du remarquable Nicolas Winding Refn sur le sol américain. Après Bronson & Le guerrier silencieux, Valhalla Rising ; on aurait d’ailleurs pu s’interroger sur l’accueil réservé au réalisateur danois. Au final, on se rend vite compte qu’il est resté égal à lui-même tout en rendant son cinéma plus accessible au grand public. Son polar se caractérise par son élégance sans aucune mesure (qui doit aussi beaucoup à la prestation de Ryan Gosling) rythmé par une bande originale eighties merveilleuse et quelques éclairs de violence qu’on lui connait si bien. Un film qui fait du bien aux spectateurs et donne un nouveau souffle bienvenue à l’industrie d’Hollywood.

     

    Il faut le voir pour : Vous acheter des gants pour la conduite, vous aurez la classe désormais dans votre Twingo !

  • Never let me go

    aff.jpg

    L’institut d’Hailsham a l’apparence d’un pensionnat, garçons et filles sont des élèves ordinaires vivant sous une stricte autorité. Ils n’ont pas de parents et n’ont jamais quitté les alentours de l’établissement effrayés par les horribles histoires qu’on leur a raconté. Un jour, une de leurs professeurs Miss Lucy (Sally Hawkins) leur révèle la vérité sur leur existence, ils sont nés avec comme seul but dans la vie d’offrir leurs organes. Kathy, Ruth & Tommy (Carey Mulligan /Isobel Meikle-Small, Kieira Knightley / Ella Purnell & Andrew Garfield / Charlie Rowe) vont grandir ensemble jusqu’à l’âge de 18 ans où ils seront ensuite placés à la ferme des Cottages avant d’être séparés. Le destin va toutefois les réunir une dernière fois avant que leur vie s’éteigne.

    01.jpg

    Et si le salut de l’homme venait de lui-même ? Tiré du roman d’anticipation de Kazuo Ishiguro, Never let me go nous met face à une situation qui fait plutôt froid dans le dos ; utiliser des êtres humains afin de répondre aux besoins d’organes. Le plus intéressant étant que le scénario ne se déroule non pas dans un futur proche mais il s’insert dans une réalité parallèle. Une histoire qui joue bien entendu la carte de l’émotion et ça fonctionne très bien sans tomber pour autant dans la facilité. Le trio d’acteurs composé par Carey Mulligan / Kieira Knightley / Andrew Garfield est juste merveilleux, bref un beau film à découvrir !

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à devenir donneur d’organes.

  • Wall Street - L’argent ne dort jamais

    aff.jpg

    A Wall Street, le nom de Gordon Gecko (Michael Douglas) est ancré dans toutes les mémoires. Animé par une cupidité sans bornes, il a été condamné à 8 ans de prison pour délit d’initié ; un verdict inédit et particulièrement sévère pour un crime de cette nature. Aujourd’hui libre, il doit repartir de zéro mais à sa grande surprise, un jeune homme du nom de Jake Moore (Shia LaBeouf) vient à sa rencontre. Lui aussi travaille à Wall Street mais surtout il est sur le point d’épouser Winnie (Carey Mulligan) qui n’est autre que la fille de Gordon ! Ce dernier va se servir de lui pour renouer le contact avec elle mais dans quel véritable but ?

    01.jpg

    Si la désormais crise financière a plombé le moral de certains, Oliver Stone a profité de l’évènement pour réaliser la suite de l’un de ses plus grands succès. Que serait une séquelle de Wall Street sans Michael Douglas qui endosse de nouveau le costume de Gordon Gecko et qui va s’amuser avec son futur gendre Shia LaBeouf. Wall Street - L’argent ne dort jamais est décevant et prouve une fois encore qu’une suite est, la majeure partie du temps, une idée qui doit rester dans les tiroirs. Le scénario est particulièrement plat et ne nous fait qu’entrevoir le coté manipulateur du personnage de Gecko. L’action est en chute libre, vendez tout !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais confier vos économies à votre beau-père.