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nora arnezeder

  • Fiston

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    Depuis l’âge de 5 ans, notre pote Alex (Kev Adams) est fou amoureux de la magnifique Sandra (Nora Arnezeder) mais n’a jamais trouvé le courage d’avouer ses sentiments. Dès qu’il s’approche de la jeune femme, il ne se sent pas bien et se retrouve même à deux doigts de vomir, une situation qui ne peut plus durer. Sa mère Sophie (Valérie Benguigui) lui annonce en effet qu’ils vont prochainement déménager et Alex doit vite agir. Sandra est comme sa mère Monica (Héléna Noguerra), une femme difficile à séduire et un seul homme avait réussit cet exploit à l’époque ; un certain Antoine (Franck Dubosc). Alex va le harceler afin qui lui apprenne sa technique de drague et cela va commencer par … le nettoyage d’une voiture !

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    Avec la réunion de 2 noms de la scène comique française (Kev Adams & Franck Dubosc pour ceux qui sont largués !), on était en droit de s’attendre à se marrer un minimum. Une erreur classique malheureusement pour nous. Le réalisateur Pascal Bourdiaux qui signe son premier film est parvenu à nous pondre une comédie totalement insipide avec notamment des répliques d’une pauvreté affligeante. Finalement, ce ne sont pas des cours de séduction dont on a besoin ici mais il aurait fallu apprendre à nous faire rire. Ajouté à cela un scénario à peine téléphoné et on accouche d’un Fiston qui s’impose sans trop de difficultés comme un beau ratage !

     

    Il faut le voir pour : Demander la marque de la voiture de la fille que vous voulez séduire !

  • Angélique

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    Son père en a décidé ainsi, Angélique (Nora Arnezeder) devra épouser le Comte Joffrey de Peyrac (Gérard Lanvin). Une décision que la jeune femme est loin d’accepter et elle cherchera par tous les moyens à y échapper sans succès. Toutefois, l’homme qu’elle va épouser n’est pas celui qu’elle imaginait et avec le temps c’est bien l’amour qui les unira. Il est vrai que Joffrey ne manque pas de caractère et que sa richesse lui donne aussi de grands pouvoirs que certains commencent à craindre. C’est d’ailleurs ce qui va convaincre le roi Louis XIV  (David Kross) de le mettre aux arrêts et de l’emprisonner à la Bastille. Angélique va alors se battre pour libérer son mari.

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    Héroïne crée par Anne & Serge Golon, Angélique a eu droit à toute une série d’aventures aussi bien en romans qu’au cinéma à travers les 5 films de Bernard Borderie. Ariel Zeitoun entend donc lui redonner une seconde jeunesse à travers le visage de Nora Arnezeder, charmante certes mais qui ne trouve pas toujours le ton juste. Il y a également quelques passages dans la mise en scène qui ont de quoi nous laisser dubitatifs et parfois on croirait avoir devant nous un film des années 1980. Il semblerait que le retour d’Angélique se fasse sur la durée mais encore faut-il que ce reboot trouve le succès auprès du public et c’est pas gagné ! Peut-être avec un autre reboot ?

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à fabriquer de l’or !

  • Angélique

    L'héroïne crée par Anne & Serge Golon reprend vie au cinéma devant les caméras d'Ariel Zeitoun et Angélique sera incarnée par Nora Arnezeder. Une version moderne à laquelle participeront Gérard Lanvin, Tomer Sisley ou encore Simon Abkarian.

    Date de sortie : 18 Décembre 2013.


  • Maniac

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    Notre pote Frank (Elijah Wood) a bien du mal à avoir une relation sur le long-terme et pour cause il ne peut s’empêcher de scalper les femmes qui lui plaisent ! Personne ne soupçonne que ce restaurateur de mannequins est en fait le serial-killer que toute la police recherche et certainement pas Anna (Nora Arnezeder). Cette photographe est attirée par les mannequins qu’elle tente de magnifier par ses clichés et la boutique de Frank est donc une vraie mine d’or. De cette collaboration nait une nouvelle amitié mais pour le jeune homme, cette relation va se transformer en une véritable obsession et le sang va continuer à couler.

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    Maniac c’est d’abord un film de William Lustig sorti en 1980 que tout le monde ne connait pas forcément. Alexandre Aja continue donc sa percée aux USA en poursuivant sa vague de remakes même si pour l’occasion il délaisse la caméra pour celle de Franck Khalfoun qui nous avait déjà emprisonnés au 2ème sous-sol. Plongée en vue subjective dans l’esprit perturbé d’un excellent Elijah Wood pour suivre sa virée meurtrière. Atmosphère angoissante et bien gore pour un résultat assez plaisant à découvrir dans sa première partie, le film peine toutefois à nous captiver sur la durée. Pas vraiment inoubliable, ça ne dépassera pas le simple stade du petit divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Avoir la preuve irréfutable que les femmes ont bien un cerveau !

  • Ce que le jour doit à la nuit

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    Algérie dans les années 1930. Avec sa prochaine récolte, notre pote Issa (Tayeb Belmihoub) pourra enfin régler toutes ses dettes malheureusement un incendie a consumé tous ses espoirs. Ruiné et obligé de vendre ses terres familiales, il part s’installer à Oran où il peine à faire vivre les siens. Malgré tous ses efforts, il se rend à l’évidence et décide de confier son fils Younès (Iyad Bouchi/ Fu'ad Ait Aattou) et à sa femme Madeleine (Anne Consigny). Rebaptisé Jonas, le jeune garçon découvre une toute autre vie mais n’en oublie pas pour autant ses parents et sa petite sœur. C’est à cette même époque qu’il rencontre pour la première fois Emilie (Nova-Louna Castano/ Nora Arnezeder), celle qui sera la femme de sa vie mais qu’il ne pourra jamais aimer librement.

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    C’est une grande épopée que nous propose Alexandre Arcady avec cette adaptation du roman de Yasmina Khadra. Au cœur de l’Algérie française, nait une belle histoire d’amour impossible mais avant cela, c’est un héros déchiré Younès dont la belle vie est néanmoins rythmée par de terribles tragédies, la plus grande étant cet amour impossible. Malgré sa durée (2H39), Ce que le jour doit à la nuit réussit à garder toute notre attention même si certains passages bien superficiels lorsqu’ils ne sont pas creux. Dans l’ensemble, l’interprétation est correcte mais la justesse n’est pas toujours au rendez-vous lorsqu’il s’agit du couple vedette Arnezeder / Fu'ad Ait Aattou. Notamment chez ce dernier, il y a peu de nuances dans son jeu tandis que la révélation de Faubourg 36 a la larme un peu facile.

     

    Il faut le voir pour : Demander à rencontrer la mère de votre copine avant de vous engager !

  • Sécurité rapprochée

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    Cela faisait près de 9 ans qu’on n’avait pas de nouvelles de Tobin Frost (Denzel Washington) et voilà qu’il se rend de lui-même à l’ambassade américaine du Cap en Afrique du Sud. Son nom est devenu une légende à la CIA, c’est un agent double que l’on a soupçonné de vendre des informations confidentielles de l’Agence et sa réapparition soudaine soulève de nombreuses questions. Pour l’interroger, on procède à l’extraction de Frost vers une planque dont le gardien est un certain Matt Weston (Ryan Reynolds). Alors qu’il tente d’en savoir plus sur les véritables intentions de leur prisonnier, le bâtiment est soudainement attaqué et Weston est obligé de s’enfuir avec son "invité" !

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    Casting musclé pour ce film d’action qui fait péter l’écran et parfois même nos pauvres tympans, Sécurité rapprochée aurait pu s’imposer comme un bon pop-corn movie. Seulement après 45 minutes vraiment tapageuses, le film perd très vite de son énergie et associée à la carence d’un scénario sans génie, ça donne une bonne déception et même un final ennuyeux. Les présences de Denzel Washington & Ryan Reynolds n’arrivent pas non plus à donner la moindre saveur à leurs personnages respectifs, le casting féminin fait de la figuration bref un produit un peu trop formaté.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais laisser les autres "prendre le relais" de votre travail !

  • La croisière

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    Hortense (Charlotte de Turckheim) est heureuse, elle vient de remporter une croisière pour elle et son mari ; dépaysement garanti pour ce couple de fermiers. Seulement son mari est peu enthousiaste ; il aurait préféré rester auprès de ses 50 cochons que d’aller se pavaner sur ce magnifique bateau et d’ailleurs, il profite d’un moment d’inattention pour se planquer. Il sera difficile de le retrouver parmi les milliers de passagers parmi lesquels Hortense va se faire de véritables potes d’enfance. Il y a Alix (Marilou Berry), la parisienne stressée (pléonasme ?) ; Chloé (Nora Arnezeder), cleptomane compulsive ou encore Raphael (Antoine Duléry), passager clandestin et déguisé pour épier sa femme.

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    Il y a une certaine part de rêve lorsqu’on évoque les croisières (je mets de coté le Titanic bien entendu) et ce film joue là-dessus. Il faut dire aussi qu’en matière de placement de produit, c’est une vitrine ouverte sur les croisières de chez MSC qui fait valoir ses majestueux bateaux pour attirer l’œil du futur client … euh pardon du spectateur. On en oublierait presque qu’on est devant un film et non pas une publicité car La croisière est loin de provoquer des vagues de rires. Tout y est extrêmement poussif aussi bien dans l’interprétation des personnages que dans le niveau de l’humour proposé. Jean Benguigui ne cesse de marteler que nous sommes les bienvenus à bord mais pas sur qu’on ait envie d’embarquer dans ce qui ressemble plus à une galère !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus être surpris de voir un sac à main avec des pattes.

  • Faubourg 36

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    Situé dans le Faubourg, le Chansonia est une salle de spectacles où travaillent Pigoil, Milou & Jacky (Gérard Jugnot, Clovis Cornillac & Kad Merad). Hélas, les temps sont durs pour le propriétaire criblé de dettes qui met fin à ses jours et abandonne le Chansonia au cruel Galapiat (Bernard-Pierre Donnadieu) qui clôture l’établissement. Quelques mois après, on retrouve un Pigoil sombrant dans la dépression mais lorsqu’il perd la garde de son fils Jojo (Maxence Perrin) ; il se retrousse les manches et décident de ressusciter le Chansonia. Avec l’aide de ses potes d’enfance, il va monter un spectacle dans l’espoir de racheter l’établissement à Galapiat.

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    Beaucoup de médiatisation autour de Faubourg 36 qui est le second long métrage de Christophe Barratier après son énorme succès populaire Les choristes. La recette n’a pas vraiment changé avec ce sentiment de nostalgie nous plongeant dans le Paris des années 1930 et avec les présences de Gérard Jugnot & Kad Mérad déjà présents au générique du premier long métrage. La révélation cette fois se nomme Nora Arnezeder jusque-là peu connue du grand public qui va vous envouter avec sa douce voix. On a ce qu’on est venu chercher c’est-à-dire un film grand public et jovial sans réelles prises de risque de la part du réalisateur français.

    Il faut le voir pour : Les imitations de Jacky.