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laurent bateau

  • Les naufragés

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    Le juge d'instruction va arriver d'une minute à l'autre mais notre pote Jean-Louis Brochard (Daniel Auteuil) a réussit à prendre la poudre d'escampette avec son argent. Il est ainsi parvenu à rejoindre Tortola mais se retrouve coincé car le trafic aérien est sur le point d’être paralysé par l'arrivée d'un ouragan. C'est avec l'aide de William Boulanger (Laurent Stocker), un teinturier qu'il va réussir à trouver une solution ; celui-ci avait réservé un avion mais n'avait pas de pilote et c'est donc Jean-Louis qui va prendre cette place. Malheureusement, leur vol est mouvementé au point qu'ils vont s'échouer sur une ile déserte. Alors que l'entraide semble indispensable, ils ont du mal à se supporter l'un l'autre rendant leur survie encore plus difficile !

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    Si certains rêvent d'une ile déserte, c'est devenu un cauchemar pour nos potes Daniel Auteuil & Laurent Stocker. Ils sont Les naufragés et vont devoir survivre mais le plus dur pour eux sera toutefois de cohabiter ensemble ! Si à l'écran nos héros cherchent désespérément de la nourriture, le spectateur se retrouve lui dans la même position quand il s'agit de trouver de l'humour. On a beau retourner cette comédie dans tous les sens, il est bien difficile d'y déceler les bons moments et la seule chose qu'on peut en retenir c'est quelques astuces pour récupérer son ligne blanc.Un film qu'on a simplement envie d'abandonner à son triste sort et en attendant je préfère encore aller regarder Koh Lanta !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner si vous trouvez une source d'eau pétillante !

  • Le goût des Merveilles

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    A la disparition de son mari, notre pote Louise (Viriginie Efira) a repris ses activités dans l'agriculture mais elle rencontre de nombreuses difficultés financières. Heureusement, elle peut compter sur le soutien de ses enfants Emma & Felix (Lucie Fagedet & Léo Lorléac'h) mais la vie de cette famille va être bouleversée avec l'arrivée de Pierre (Benjamin Lavernhe). Tout a commencé lorsque Louise l'a percuté avec sa voiture et l'a invité à la maison pour le soigner mais il s'avère que cet homme est différent. Il va ainsi passer la nuit chez Louise où il se sent particulièrement bien ce qui est plutôt curieux lui qui n'est d'ordinaire pas l'aise avec les inconnus.

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    L'air pur de la campagne et un brin de romance ; voilà ce qui vous attend avec Le goût des Merveilles. Inutile de s'interroger très longtemps sur l'issue de la comédie d'Eric Besnard mais elle a tout de même la spécificité de nous présenter un personnage atypique et c'est pour nous l'occasion de découvrir un peu plus Benjamin Lavernhe, pensionnaire de la Comédie française. Pierre c'est un peu le mélange de Rain man et Forrest Gump ce qui le rend évidemment attachant mais le jeu de l'acteur peut aussi par moments agacer. Un film qui offre un petit moment d'évasion malgré des personnages beaucoup trop lisses.

     

    Il faut le voir pour : Pincer les gens quand vous les aimez !

  • Fiston

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    Depuis l’âge de 5 ans, notre pote Alex (Kev Adams) est fou amoureux de la magnifique Sandra (Nora Arnezeder) mais n’a jamais trouvé le courage d’avouer ses sentiments. Dès qu’il s’approche de la jeune femme, il ne se sent pas bien et se retrouve même à deux doigts de vomir, une situation qui ne peut plus durer. Sa mère Sophie (Valérie Benguigui) lui annonce en effet qu’ils vont prochainement déménager et Alex doit vite agir. Sandra est comme sa mère Monica (Héléna Noguerra), une femme difficile à séduire et un seul homme avait réussit cet exploit à l’époque ; un certain Antoine (Franck Dubosc). Alex va le harceler afin qui lui apprenne sa technique de drague et cela va commencer par … le nettoyage d’une voiture !

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    Avec la réunion de 2 noms de la scène comique française (Kev Adams & Franck Dubosc pour ceux qui sont largués !), on était en droit de s’attendre à se marrer un minimum. Une erreur classique malheureusement pour nous. Le réalisateur Pascal Bourdiaux qui signe son premier film est parvenu à nous pondre une comédie totalement insipide avec notamment des répliques d’une pauvreté affligeante. Finalement, ce ne sont pas des cours de séduction dont on a besoin ici mais il aurait fallu apprendre à nous faire rire. Ajouté à cela un scénario à peine téléphoné et on accouche d’un Fiston qui s’impose sans trop de difficultés comme un beau ratage !

     

    Il faut le voir pour : Demander la marque de la voiture de la fille que vous voulez séduire !

  • Je ne suis pas mort

    cinéma, film, drame, Je ne suis pas mort,  Mehdi Dehbi, Maria de Medeiros, Emmanuel Salinger, Driss Ramdi, Judith Davis, Laurent Bateau, Albert Delpy, Slimane Dazi, Mehdi Ben Attia

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    Notre pote Yacine (Mehdi Dehbi) vit avec son frère Jamel (Driss Ramdi) ; il est étudiant et doit aussi gagner sa vie en jouant les coursiers mais difficile pour lui de concilier études et travail. A l’occasion d’une course, il est amené à croiser Richard (Emmanuel Salinger) qui se trouve être un de ses professeurs et les deux hommes semblent s’entendre à merveille. Le professeur invite d’ailleurs l’étudiant à assister à sa remise de la légion d’honneur ce que Yacine accepte avec plaisir mais la soirée va se terminer de façon bien étrange. Une rupture d’anévrisme emporte Richard du moins c’est ce que croient ses proches puisqu’en fait il s’est réveillé dans le corps de Yacine !

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    Son premier film Le fil était déjà déconcertant, celui-ci l’est tout autant puisqu’on assiste au transfert d’un esprit dans un autre corps. Un scénario qui laissait augurer d’une comédie mais Je ne suis pas mort s’oriente davantage vers le drame ; Richard découvrant la vie de Yacine et les difficultés qu’il traverse. En parlant des personnages justement, on tombe assez vite sous le charme d’Emmanuel Salinger et de Mehdi Dehbi formant même un trio avec Maria de Medeiros. Un film atypique c’est certain qui traite aussi bien de l’identité que des rapports Père / Fils mais des sujets qui sont à peine effleurés qui ternissent l’intérêt de l’ensemble.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais porter le costume d’un autre, on ne sait jamais …