Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

alice isaaz

  • Le mystère Henri Pick

    Star3.jpg

    Aff.jpg

    Alors qu’elle rendait visite à son père, notre pote Daphné (Alice Isaaz) entend parler d’une bibliothèque originale qui se trouve non loin de là. Celle-ci rassemble en effet les œuvres d’écrivain qui ont été refusés à la publication. Il n’en fallait pas plus pour attiser la curiosité de cette jeune femme qui se trouve être également éditrice. En visitant ce lieu atypique , elle tombe alors sur une oeuvre qui la bouleverse et qu’elle décide de publier. Le succès du livre est prodigieux tant grâce à la qualité des écrits que par l’histoire qui l’entoure. Il se trouve en effet que l’auteur serait un certain Henri Pick, un pizzaïolo disparu il y a maintenant 2 ans. Tout cela intrigue Jean-Michel Rouche (Fabrice Luchini), célèbre écrivain mais aussi critique littéraire à la télévision et il va alors débuter une longue enquête pour dénicher la vérité !

    07.jpg

    Adaptation du livre éponyme de David Foenkinos, Le mystère Henri Pick nous dévoile une enquête plutôt passionnante. On a d’abord une histoire qui sort des sentiers battus avec la découverte de cet auteur mystérieux et cela s’accompagne de quelques rebondissements tout au long du film. Le reproche qu’on pourrait faire à ce niveau-là c’est cette succession de déconvenues, un peu trop grosses pour être vraies, que connaît le personnage de Jean-Michel avant de se lancer dans ses recherches. Pour le reste, on se laisse volontiers entraîner par le duo composé par Camille Cottin et bien sur un Fabrice Luchini qui, avec sa verve habituelle, régale toujours autant le spectateur. Même si le final nous laisse un peu sur notre faim, on passe un vrai bon moment.


    Il faut le voir pour : Faire votre liste de courses avec plus de soins !

  • Un moment d'égarement

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    L'heure est aux vacances bien méritées pour nos potes Laurent & Antoine (Vincent Cassel & François Cluzet) accompagnés de leurs filles respectives Marie & Louna (Alice Isaaz & Lola Le Lann). Ils vont ainsi s'installer en Corse dans la maison familiale d'Antoine où il n'avait pas remis les pieds depuis un certain moment à cause des relations glaciales qu'il entretenait avec son père. Il vit actuellement un moment difficile dans son couple et d'ailleurs c'est la première fois qu'il passe des vacances loin de sa femme et leur séparation semble proche. Pendant ce temps, Louna va elle rencontrer l'amour et l'homme qui fait battre son cœur n'est pas n'importe qui puisqu'il s'agit de Laurent, le meilleur ami de son père !

    01.jpg

    On ne le sait pas forcément mais il s'agit ici du remake du film homonyme écrit et réalisé par le regretté Claude Berri qui était sorti en 1977. Un moment d'égarement c'est un programme estival situé sur l’île de beauté où des sangliers ravagent le jardin d'un François Cluzet plutôt savoureux en père de famille dépassé par les événements. De l'autre coté, on a un Vincent Cassel parfaitement calibré en tant que quarantenaire sexy et le duo féminin Alice Isaaz / Lola Le Lann aussi rafraîchissant que charmant. Une comédie rythmée en quiproquos et qui fonctionne bien même si on peut trouver étonnant que ce soit Jean-François Richet (Assaut sur le Central 13, Mesrine …) qui se trouve derrière la caméra.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller de plus près les fréquentations de votre fille !

  • Les yeux jaunes du crocodile

    star 03.jpg

    aff.jpg

    C’en est trop pour notre pote Joséphine (Julie Depardieu) qui a pris son courage à deux mains et qui a mis son mari Antoine (Samuel Le Bihan) à la porte. Ce dernier végétait à la maison depuis qu’il s’est retrouvé au chômage et puis surtout il entretient une relation avec une autre femme. Ce sera dur pour Joséphine de s’en sortir financièrement surtout avec ses 2 filles Hortense & Zoé (Alice Isaaz & Apollonia Luisetti) mais cette chercheuse au CNRS a de l’énergie à revendre. De son coté, sa sœur Iris (Emmanuelle Béart) a une vie bien plus confortable mais semble s’ennuyer. Quand elle annonce qu’elle veut écrire un livre, beaucoup se montre incrédules surtout lorsque cela évoque le destin d’une femme marchande du XIIème siècle. Un sujet que connait particulièrement bien sa sœur ce qui lui donne une drôle d’idée.

    01.jpg

    Adaptation du roman homonyme de Katherine Pancol, Les yeux jaunes du crocodile se pare déjà d’une belle distribution féminine. Outre le duo Depardieu / Béart, on est aussi sous le charme d’Alice Isaaz & Edith Scob  dans un rôle certes plus caricatural. L’histoire de ces 2 sœurs est plutôt intense mais curieusement pas assez développé et plus précisément dans leurs rapports qu’elles entretenaient avec leurs parents durant leur enfance. Un aspect trop vite balayé alors que dans le même temps, on ne comprend pas trop ce que vient faire le couple Karole Rocher / Jacques Weber dans tout ça. Coté réalisation, on ne peut pas dire que Cécile Telerman fasse de vraies merveilles, c’est assez banal et le pompon reste tout de même ce baiser échangé sous une belle pluie de neige carbonique.

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce qu’il vous reste à faire si vous voulez qu’on vous embrasse lors d’un rendez-vous mesdemoiselles !

  • La crème de la crème

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Kelly (Alice Isaaz) vient de faire son entrée dans la plus prestigieuse Business School d’Europe, elle a de quoi être fière mais sa réussite va également se traduire dans un autre domaine. Tout commence avec sa rencontre avec ses nouveaux potes d’enfance Dan & Jaffar (Thomas Blumenthal & Karim Ait M'Hand) qui lui apprennent un peu le mode de fonctionnement de cet univers si particulier. Pour être populaire auprès des filles, il faut porter le bon polo et quand ce n’est pas le cas, vous êtes tout simplement invisible. Kelly va alors bousculer un peu les codes en payant une jolie femme pour accompagner Jaffar en soirée mais lorsque Louis (Jean-Baptiste Lafarge) se mêle à cette bande, ça se transforme en un vaste réseau de prostitution.

    01.jpg

    En seulement 2 longs-métrages, Kim Chapiron s’est imposé comme l’une des valeurs sures du cinéma français. Il nous revient avec un sujet fort ; la prostitution dans le milieu étudiant mais La crème de la crème laisse un petit gout amer de déception. On regrette en effet que le scénario n’ait pas été plus audacieux au point qu’on a l’impression que le réalisateur s’est presque assagi. Ce qui ne change pas en revanche c’est qu’il collabore toujours avec de grands acteurs et les présences d’Alice Isaaz, de Jean-Baptiste Lafarge, Thomas Blumenthal et du trop rare Karim Ait M'Hand sont là pour nous démontrer qu’il sait dénicher les talents. Un bon film mais qui ne réussit pas à nous marquer comme il l’avait fait avec Sheitan ou Dog pound.

     

    Il faut le voir pour : Sortir vos polos !

  • Fiston

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Depuis l’âge de 5 ans, notre pote Alex (Kev Adams) est fou amoureux de la magnifique Sandra (Nora Arnezeder) mais n’a jamais trouvé le courage d’avouer ses sentiments. Dès qu’il s’approche de la jeune femme, il ne se sent pas bien et se retrouve même à deux doigts de vomir, une situation qui ne peut plus durer. Sa mère Sophie (Valérie Benguigui) lui annonce en effet qu’ils vont prochainement déménager et Alex doit vite agir. Sandra est comme sa mère Monica (Héléna Noguerra), une femme difficile à séduire et un seul homme avait réussit cet exploit à l’époque ; un certain Antoine (Franck Dubosc). Alex va le harceler afin qui lui apprenne sa technique de drague et cela va commencer par … le nettoyage d’une voiture !

    01.jpg

    Avec la réunion de 2 noms de la scène comique française (Kev Adams & Franck Dubosc pour ceux qui sont largués !), on était en droit de s’attendre à se marrer un minimum. Une erreur classique malheureusement pour nous. Le réalisateur Pascal Bourdiaux qui signe son premier film est parvenu à nous pondre une comédie totalement insipide avec notamment des répliques d’une pauvreté affligeante. Finalement, ce ne sont pas des cours de séduction dont on a besoin ici mais il aurait fallu apprendre à nous faire rire. Ajouté à cela un scénario à peine téléphoné et on accouche d’un Fiston qui s’impose sans trop de difficultés comme un beau ratage !

     

    Il faut le voir pour : Demander la marque de la voiture de la fille que vous voulez séduire !