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david kross

  • Angélique

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    Son père en a décidé ainsi, Angélique (Nora Arnezeder) devra épouser le Comte Joffrey de Peyrac (Gérard Lanvin). Une décision que la jeune femme est loin d’accepter et elle cherchera par tous les moyens à y échapper sans succès. Toutefois, l’homme qu’elle va épouser n’est pas celui qu’elle imaginait et avec le temps c’est bien l’amour qui les unira. Il est vrai que Joffrey ne manque pas de caractère et que sa richesse lui donne aussi de grands pouvoirs que certains commencent à craindre. C’est d’ailleurs ce qui va convaincre le roi Louis XIV  (David Kross) de le mettre aux arrêts et de l’emprisonner à la Bastille. Angélique va alors se battre pour libérer son mari.

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    Héroïne crée par Anne & Serge Golon, Angélique a eu droit à toute une série d’aventures aussi bien en romans qu’au cinéma à travers les 5 films de Bernard Borderie. Ariel Zeitoun entend donc lui redonner une seconde jeunesse à travers le visage de Nora Arnezeder, charmante certes mais qui ne trouve pas toujours le ton juste. Il y a également quelques passages dans la mise en scène qui ont de quoi nous laisser dubitatifs et parfois on croirait avoir devant nous un film des années 1980. Il semblerait que le retour d’Angélique se fasse sur la durée mais encore faut-il que ce reboot trouve le succès auprès du public et c’est pas gagné ! Peut-être avec un autre reboot ?

     

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  • Michael Kohlhaas

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    Marchand de chevaux, notre pote Michael Kohlhaas (Mads Mikkelsen) accompagné de son fidèle servant César (David Bennent) croise la route du Baron (Swann Arlaud). Celui-ci refuse de le laisser continuer son chemin à moins qu’il ne s’acquitte d’un droit de péage. Après négociations, Kohlhaas accepte de laisser en gage 2 chevaux noirs dont s’occupera César mais à son retour il retrouve des chevaux en très mauvaise forme et son valet qui aurait mystérieusement disparu. Une chose qu’il ne peut accepter, c’est pourquoi il cherche à ce que justice soit rendue et sa femme Judith (Delphine Chuillot) va chercher à l’aider mais ce faisant un drame est sur le point de se jouer.

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    Adaptation d’une nouvelle d’Heinrich von Kleist qui a déjà fait l’objet d’un film à la fin des années 1960, Michael Kohlhaas trouve une belle incarnation en la personne de Mads Mikkelsen. Malgré sa stature et le talent qu’on lui connait, il parvient difficilement à nous sortir de la torpeur dans laquelle on est plongé. La faute à une réalisation austère d’Arnaud des Pallières et même apathique lors des rares scènes d’action ce qui ne facilite pas la compréhension de l’histoire. Difficile donc de rester devant cette quête de justice qui ne nous épargne pas de longueurs ce qui apporte évidemment beaucoup plus d’ennui que de plaisir.

     

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  • The reader

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    Berlin en 1958 ; c’est en rentrant du collège que Michael Berg (David Kross / Ralph Fiennes) allait rencontrer la femme qui allait bouleverser sa vie. A l’époque il n’avait encore que 15 ans, Hanna Schmitz (Kate Winslet), femme trentenaire l’avait alors aidé alors qu’il était gravement malade. Quelques mois après, le jeune garçon était venu la remercier et c’est à partir de ce moment précis que leur relation a commencé. Tandis que Michael découvrait les plaisirs de l’amour, Hanna se laissait subjuguer par les livres que lui lisait son jeune amant puis un jour tout cessa brusquement. Hanna disparut sans laisser de traces et c’est quelques années plus tard que l’on retrouvera sa trace en plein cœur d’un procès retentissant car elle faisait partie des SS.

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    Le film nous embarque d’abord dans une relation passionnelle entre un ado et une femme dont on sait que peu de choses puis la vérité implacable finit par éclater au visage. Tout comme le personnage, on se retrouve confronté à un paradoxe sentimental passant de l’amour à la haine irascible éveillant ainsi de nombreuses interrogations. Inspiré par le livre du même nom de Bernhard Schlink paru en 1995 qui avait déjà crée une vive polémique, The reader ne manquera pas lui non plus de déclencher des réactions. Si coté interprétation tout est irréprochable (Winslet décrochant l’Oscar de la meilleure actrice), on n’échappe pas à quelques longueurs notamment durant le procès.

     

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