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anne parillaud

  • Ce que le jour doit à la nuit

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    Algérie dans les années 1930. Avec sa prochaine récolte, notre pote Issa (Tayeb Belmihoub) pourra enfin régler toutes ses dettes malheureusement un incendie a consumé tous ses espoirs. Ruiné et obligé de vendre ses terres familiales, il part s’installer à Oran où il peine à faire vivre les siens. Malgré tous ses efforts, il se rend à l’évidence et décide de confier son fils Younès (Iyad Bouchi/ Fu'ad Ait Aattou) et à sa femme Madeleine (Anne Consigny). Rebaptisé Jonas, le jeune garçon découvre une toute autre vie mais n’en oublie pas pour autant ses parents et sa petite sœur. C’est à cette même époque qu’il rencontre pour la première fois Emilie (Nova-Louna Castano/ Nora Arnezeder), celle qui sera la femme de sa vie mais qu’il ne pourra jamais aimer librement.

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    C’est une grande épopée que nous propose Alexandre Arcady avec cette adaptation du roman de Yasmina Khadra. Au cœur de l’Algérie française, nait une belle histoire d’amour impossible mais avant cela, c’est un héros déchiré Younès dont la belle vie est néanmoins rythmée par de terribles tragédies, la plus grande étant cet amour impossible. Malgré sa durée (2H39), Ce que le jour doit à la nuit réussit à garder toute notre attention même si certains passages bien superficiels lorsqu’ils ne sont pas creux. Dans l’ensemble, l’interprétation est correcte mais la justesse n’est pas toujours au rendez-vous lorsqu’il s’agit du couple vedette Arnezeder / Fu'ad Ait Aattou. Notamment chez ce dernier, il y a peu de nuances dans son jeu tandis que la révélation de Faubourg 36 a la larme un peu facile.

     

    Il faut le voir pour : Demander à rencontrer la mère de votre copine avant de vous engager !

  • Dans ton sommeil

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    Cela fait un an que Sarah (Anne Parillaud) a vu sa vie basculer, le jour où son fils est mort. Depuis ce drame, elle vit séparée de son mari et tente d'atténuer sa douleur en avalant des médicaments et en cumulant les heures de travail. Un soir, alors qu'elle rentrait chez elle, elle percute un jeune homme qui se prénomme Arthur (Arthur Dupont). Il faut dire que ce dernier a surgit tout d'un coup de la foret complètement affolé ; il est poursuivi par un fou furieux qu'il présente comme un voleur. Parce qu'il l'a surprit en plein cambriolage et qu'il a vu son visage, Arthur est en danger de mort et Sarah décide de le cacher chez elle.

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    Une maison isolée dans la campagne, un inconnu ensanglanté qui surgit des bois et un mystérieux cambrioleur qui opère dans le coin ; tous les ingrédients sont là pour nous offrir un frissonnant thriller. Une ambiance sombre et étouffante qui rappelle d'autres films français du genre comme Ils ou Martyrs. L'entrée en scène de Thierry Frémont tel un psychopathe vient donner plus d'intensité au film, une montée d'adrénaline de courte durée puisque par la suite Dans ton sommeil joue la carte du flashback pour dévoiler les détails de l'histoire et perd beaucoup en intensité. Rien de bien excitant et surtout rien de nouveau à l'horizon, passable quoi !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier les serrures de votre maison et surtout celles de votre chambre.