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  • Mortal Kombat

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    Un nouveau tournoi Mortal Kombat est sur le point de débuter et il pourrait sceller le destin de la Terre. Après avoir remporté 9 victoires consécutives, le maléfique Shang Tsung (Cary-Hiroyuki Tagawa) pourrait en effet envahir notre monde s’il venait à être déclaré vainqueur mais le Seigneur Rayden (Christophe Lambert) n’entend pas le laisser faire. Parmi tous les participants, il va soutenir un trio prometteur composé de Liu Kang, Johnny Cage & Sonya Blade (Robin Shou, Linden Ashby & Bridgette Wilson) mais ils sont encore loin d’être prêts à vaincre leurs adversaires. Pour Liu Kang, ce tournoi a surtout un parfum de revanche car son jeune frère Chan (Steven Ho) fut vaincu par Shang Tsung qui s’est également emparé de son âme.

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    A l’époque de sa sortie au cinéma, j’avais adoré Mortal Kombat car il faut remettre les choses dans leur contexte, cela suivait la désastreuse adaptation de Street Fighter. Plus de 15 ans plus tard, je me rends maintenant compte que le film de Paul W.S. Anderson était loin d’être le résultat exceptionnel que je voulais bien croire. Le casting déjà est une catastrophe hormis peut-être Robin Shou qui est le seul à savoir se battre et puis il y a cette profusion d’effets spéciaux qui paraissent totalement désuets aujourd’hui. Il y a des films qu’il ne vaut mieux pas revoir et cette adaptation du jeu de Midway en fait clairement parti. Écrasante déception !! En tout cas, le film aura eu suffisamment de succès à l’époque pour nous offrir une suite, une merveilleuse perle de kitsch.

     

    En savoir plus sur Mortal Kombat Destruction Finale ?

  • De force

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    Ils sont surnommés les All blacks et ont encore fait parler d’eux dans les médias après cette nouvelle attaque d’un fourgon blindé. Parmi les victimes se trouve le fils d’un ministre et dès lors, la recherche de ces criminels va devenir la priorité de la Procureure Danielle Canetti (Anne Consigny). Clara Damico (Isabelle Adjani), commandant de la BRB a désormais carte blanche pour arrêter ce gang et elle se tourne vers Manuel Makarov (Eric Cantona), ancien criminel reconverti mais celui-ci n’a aucune intention d’aider les flics. Ce choix, il ne l’aura plus lorsqu’il va se faire évader de force ; à lui désormais de prendre contact avec Jimi Weiss (Simon Abkarian) et découvrir leur prochain coup.

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    On va essayer de peser les mots : De force est une grosse daube ! Bon, voilà un poids en moins et si vous trouvez ce jugement sévère c’est que vous n’avez vraiment pas vu le film de Franck Henry. Déjà le scénario est d’une niaiserie déconcertante : un fils de ministre de passage dans un fourgon blindé se fait descendre et donc là les flics décident de faire leur travail. Vient s’ajouter à cela un jeu d’acteur désastreux à l’image de la participation de Francis Kuntz, une scène qu’on croirait sortie directement d’une émission du Groland. Tout tourne tellement au ridicule qu’on ne peut s’empêcher de s’esclaffer devant tant d’absurdités mais je ne suis pas sur que c’était l’effet espéré par le réalisateur.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si le réalisateur n’a pas interverti les répétitions avec son film ?


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Killer elite

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    Autrefois, Danny (Jason Statham) était un mercenaire et avec son pote d’enfance & mentor Hunter (Robert De Niro), ils formaient un duo du tonnerre jusqu’à cette dernière mission au Mexique. A partir de ce moment précis et après avoir croisé le regard d’un enfant innocent, il a raccroché et est parti vivre en Australie mais son passé va vite le rattraper. Il reçoit des photos montrant Hunter prisonnier, celui-ci est détenu par le Sheik Amr (Rodney Afif) qui n’acceptera de le libérer qu’à la seule condition que Danny se débarrasse de 3 cibles. Ces 3 personnes sont directement responsables de la mort des fils du Sheik qui réclame vengeance avant de s’éteindre mais ils sont également membres du Special Air Service (SAS) britannique.

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    Ce n’est pas encore pour cette fois qu’on va découvrir Jason Statham dans une comédie romantique et ce n’est pas plus mal ! Killer elite s’inspire d’évènements réels et notamment des agissements souvent obscurs du SAS à partir du témoignage écrit de Ranulph Fiennes. Un thriller bien rythmé même si on regrette que Robert De Niro fasse un peu de la figuration - au moins il sait commander du vin en France - rattrapé toutefois par un charismatique Clive Owen. Même si le scénario n’a rien de vraiment exceptionnel, il est suffisamment bien ficelé pour nous garder en haleine et on est absorbé par les phases d’action. Certainement pas le genre de film qui restera dans les mémoires mais pour les amateurs du genre, ça fera largement passer le temps !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vous battre lorsque vous êtes ligoté à une chaise.

  • Real Steel

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    Nous sommes en 2020. Charlie Kenton (Hugh Jackman) est un ancien boxeur qui s’est reconverti bien malgré lui dans la boxe de robots, le must du divertissement. Malheureusement pour lui, le succès n’est pas au rendez-vous car après avoir perdu Ambush, sa récente acquisition Noisy Boy s’est également fait massacré.  Entre-temps, il a pris la garde de son fils Max (Dakota Goyo), 11 ans le temps d’un été en échange de 100 000 dollars. Entre les deux, c’est loin d’être l’amour fou mais leur passion commune pour les robots va les réunir et les conduire jusqu’au championnat du Real Steel. Ils trouvent en effet par hasard un vieux robot du nom d’Atom qui va s’imposer au fil du temps comme un sérieux challenger allant jusqu’à défier le champion incontesté Zeus.

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    C’est vrai que c’est un drôle de projet dans lequel s’est engagé Hugh Jackman avec des combats de robots boxeurs mais on se laisse vite entrainer dans l’histoire. La réussite de Real Steel tient d’abord au fait d’avoir réussi à créer un véritable univers particulièrement attractif (du moins pour la gente masculine, les femmes iront surtout voir Jackman). Pas de temps mort, des combats percutants et un Dakota Goyo qui n’a vraiment pas froid aux yeux font de ce film un agréable divertissement ! Une bonne surprise de la part du réalisateur Shawn Levy que l’on connaissait essentiellement pour des comédies (Crazy Night, La nuit au musée …).

     

    Il faut le voir pour : Continuer de jouer aux robots avec votre fils !

  • Les trois mousquetaires

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    A l’aube du XVIIème siècle, le roi Louis XIII (Freddie Fox) est encore un frêle jeune homme et pourtant il est le souverain de France et cela le Cardinal Richelieu (Christoph Waltz) a bien du mal à le supporter. Décidé à s’emparer du pouvoir, il a mis au point un plan afin de déclencher une guerre avec l’Angleterre avec l’aide de la pernicieuse Milady (Milla Jovovich). Pour cela, il suffit de faire croire qu’Anne (Juno Temple), promise de Louis XIII, entretient une relation avec le Duc de Buckingham (Orlando Bloom). La seule chose qu’il n’avait pas prévu est l’intervention des mousquetaires du roi Athos, Porthos & Aramis (Matthew MacFadyen, Ray Stevenson & Luke Evans) sans compter leur nouveau pote d’enfance, un certain D’Artagnan (Logan Lerman).

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    Une première chose, toi jeune qui a à faire prochainement la fiche de lecture des Trois mousquetaires d’Alexandre Dumas, ce film ne se substitue pas au livre ! Si vous avez entraperçu la bande-annonce, vous savez que le réalisateur Paul W.S. Anderson ne nous livre pas là une reconstitution historique mais plutôt une version modernisée et très personnalisée de l’œuvre. Débordant d’effets spéciaux, d’action et de scènes à la Matrix ; il faut prendre Les trois mousquetaires comme du pur divertissement. Avec cela à l’esprit, reste à se contenter d’un film souvent artificiel et sans relief malgré l’effet 3D ou les présences de Mads Mikkelsen, Christoph Waltz et d’Orlando Bloom.

     

    Il faut le voir pour : Se remettre à la lecture !

  • Piège de cristal (Die Hard)

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    Il avait prévu de passer les fêtes de Noel avec toute sa famille et c’est pour cela que John McClane (Bruce Willis) est venu jusqu’en Californie. Sa femme Holly (Bonnie Bedelia) s’y est installée depuis 6 mois pour raisons professionnelles ce qui n’a pas manqué de créer quelques tensions au sein de leur couple. C’est sur son lieu de travail, au Nakatomi plaza, qu’il la rejoint mais ce flic de New-York est encore loin de s’imaginer l’enfer qui l’attend. Un groupe de terroristes débarque et prend en otages la trentaine d’employés qui s’étaient réunis pour célébrer les fêtes de fin d’année. Par chance (?), John s’était retiré dans une pièce annexe mais il est désormais seul face à ces criminels dont le cerveau est un certain Hans Gruber (Alan Rickman).

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    Ce film de John McTiernan va surtout marquer le cinéma d’action en imposant le schéma du héros solitaire capable de sauver tout un pays voire le monde ! Même si visuellement il n’est plus à la hauteur des productions actuelles, Piège de cristal (désormais rebaptisé Die Hard - Piège de cristal) est une valeur sure et son héros John McClane restera comme l’un des personnages les plus charismatiques et puis c’est quand même l’un des rares mecs à porter le marcel blanc avec classe. Plus qu’un film, c’est une franchise qui débute ici et qui va se poursuivre à travers une quadrilogie en attendant un 5ème épisode actuellement en préparation.

     

    La scène à ne pas louper : Yipee-Ki-Yay Motherfucker !


    En savoir plus sur 58 minutes pour vivre (Die Hard 2) ?

    En savoir plus sur Une journée en enfer (Die Hard 3) ?

    En savoir plus sur Die Hard 4 - Retour en enfer ?

    En savoir plus sur Die Hard : Belle journée pour mourir ?

  • Drive

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    Il n’y a pas de plus grand plaisir pour lui que d’enfiler ses gants et de prendre le volant d’une belle voiture et il en a d’ailleurs fait son métier. Il (Ryan Gosling) est ainsi devenu cascadeur et entre 2 tournages bosse dans le garage de son pote Shannon (Bryan Cranston). Un mec plutôt tranquille en apparence mais qui tient à exploiter à fond ses talents de pilote et propose ainsi ses services aux braqueurs de Los Angeles. 5 minutes, c’est le temps qu’il laisse à ses complices d’un soir pour conclure leur affaire ; le délai écoulé il entre en scène et jusqu’à maintenant personne n’a eu à se plaindre de ses services.

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    Drive est déjà un évènement en soi puisqu’il s’agit du premier long métrage du remarquable Nicolas Winding Refn sur le sol américain. Après Bronson & Le guerrier silencieux, Valhalla Rising ; on aurait d’ailleurs pu s’interroger sur l’accueil réservé au réalisateur danois. Au final, on se rend vite compte qu’il est resté égal à lui-même tout en rendant son cinéma plus accessible au grand public. Son polar se caractérise par son élégance sans aucune mesure (qui doit aussi beaucoup à la prestation de Ryan Gosling) rythmé par une bande originale eighties merveilleuse et quelques éclairs de violence qu’on lui connait si bien. Un film qui fait du bien aux spectateurs et donne un nouveau souffle bienvenue à l’industrie d’Hollywood.

     

    Il faut le voir pour : Vous acheter des gants pour la conduite, vous aurez la classe désormais dans votre Twingo !

  • True legend

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    Bien qu’il ait été recueilli par son père, Su Chan (Vincent Zhao) a toujours considéré Yuan Lie (Andy On) comme son frère et il était à mille lieux de s’imaginer que ce dernier deviendrait son plus farouche ennemi. Après être devenu gouverneur,  Yuan Lie revient voir le père qui l’a recueilli mais aussi l’homme responsable de la mort de son vrai père ; une vengeance qui s’accomplira dans le sang. Lorsqu’il apprend la nouvelle, Su Chan est totalement anéanti d’autant plus que sa femme Yuan Ying (Zhou Xun) et son fils ont été enlevé. Il s’élance sur les traces de son frère mais Su Chan se rend à l’évidence ; il est impuissant face à la technique des Cinq venins mortels et il est jeté sans ménagement dans la rivière. Yuan Ying s’élance alors sans réfléchir pour le sauver.

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    A la réalisation de ce film on retrouve Woo-Ping Yuen, un nom que les amateurs d’arts martiaux connaissent forcément car on ne connait pas meilleur chorégraphe que lui dans le monde entier. Sa carrière de réalisateur si elle n’est pas négligeable, est cependant moins prolifique et ce True Legend semble se fondre dans le même moule que le reste de sa filmographie. On peut ici diviser l’histoire en 2 parties distinctes, une rupture assez mal amené et donc plutôt perturbante pour le spectateur. Pour le reste, c’est une succession de scènes de baston sans réelle magie qui nous laisse quand même sur notre faim ; on s’y intéressera surtout pour revoir le regretté David Carradine.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de vous mettre aux arts martiaux après une bonne cuite !

  • Warrior

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    Cela fait 14 ans que Tommy (Tom Hardy) n’a pas revu son père Paddy Conlon (Nick Nolte). Leur famille a complètement volé en éclat à cause de ce dernier qui s’était abandonné aux démons de l’alcoolisme aussi les retrouvailles ne se font pas réellement dans la liesse générale. Même si Paddy a arrêté de boire depuis bientôt  1000 jours, ses 2 fils ne lui ont jamais pardonné ce qui s’est passé et même entre les 2 frères les conflits persistent. Alors que Tommy s’était engagé dans les Marine, Brendan (Joel Edgerton) lui s’est construit une belle vie de famille mais il croule également sous les dettes. Le destin va faire que leurs chemins vont de nouveau se croiser au tournoi Sparta, l’évènement de l’année pour tous les amateurs de Mixed Martial Arts (MMA) avec à la clé une récompense de 5 millions de dollars.

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    2 frères qui se retrouvent adversaires lors du plus grand tournoi de MMA, ce scénario succinct laisser présager d’un film plutôt bourrin et avec la dernière heure, on ne s’y est pas trompé. Dans ce genre de productions, ce qu’on cherche avant tout c’est de l’action ; l’histoire n’étant elle qu’un prétexte fallacieux pour amener nos héros à s’échanger quelques torgnoles dans la sueur et le sang et ici on en a pour son argent. Pour autant Warrior prend réellement le temps de nous introduire des personnages attachants, membres malgré eux d’une famille totalement détruite. Si la MMA n’a pas de secrets pour vous, c’est le film qu’il ne faut surtout pas manquer et même les amateurs de catch seront ravis de voir Kurt "It’s real" Angle !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’emmerder votre prof de Physique !

  • L’ange du mal

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    Son premier forfait fut de libérer un tigre de sa cage en compagnie de ses potes d’enfance et depuis Renato Vallanzasca ( Kim Rossi Stuart) ne s’est pas vraiment assagi. Leur adolescence, ils l’ont passé à chaparder tout ce qu’ils trouvaient et revendaient pour une bouchée de pain dans leur quartier. Plus tard, Renato est passé au niveau supérieur en organisant de gros casses mais toujours en faisant en sorte de ne pas laisser de cadavres derrière lui. Pour lui, une arme à feu doit avant tout servir à effrayer celui sur qui elle est braquée, à se faire respecter mais certainement pas à semer la mort. Tout le monde n’a pas le même sens de valeurs que lui et plusieurs de ses propres compères vont commettre l’irréparable et parmi ces victimes se trouvent un policier.

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    A la manière d’un Jacques Mesrine ou d’un Albert Spaggiari ; Renato Vallanzasca est un criminel qui a défrayé la chronique italienne des années 1970 aussi bien par ses méfaits que par l’arrogance dont il faisait preuve. C’est le réalisateur Michele Placido qui signe ce biopic, lui qui nous avait littéralement enchanté avec Romanzo Criminale et l’on retrouve aussi pour l’occasion le beau Kim Rossi Stuart. On entendra d’ailleurs certainement parler de ce dernier (qui a également fait ses premiers pas de réalisateur avec Libero) pendant quelques années car il est véritablement envoutant dans la peau de Renato Vallanzasca. Pas vraiment de surprises avec L’ange du mal qu’elles soient bonnes ou mauvaises, c’est un thriller policier mené avec grande justesse bref tout ce qu’il y a de plus efficace et des films comme ça on en redemande sans problèmes.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais sous-estimer un cafard !