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action - Page 24

  • Fatal move

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    Notre pote Lin Ho Tung (Sammo Hung) est à la tête d’une organisation criminelle qu’il gère avec l’aide de son petit frère Lin Ho Lung (Simon Yam). Entre les trafics de drogue, les boites de nuit ou encore les réseaux de prostitution les affaires vont bon train mais ils ne sont pas les seuls sur ce territoire. Les hommes de Flirt (Pring-Man Tam) ne sont jamais bien loin et lorsque les 2 gangs en viennent aux mains, le sang coule à coup sur. Evidemment, la police n’entend pas laisser ces criminels agir à leur guise et ne manque pas une occasion d’imposer leur autorité. L’empire de Lin Ho Lung est en train de vaciller, son frère a d’énormes dettes en raison de son addiction au jeu et sa place fait beaucoup d’envieux.

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    Sammo Hung & Simon Yam réunis pour un petit thriller hong-kongais, un programme à priori alléchant malheureusement à mesure que les minutes s’égrainent, on plonge dans une catatonie progressive. Le réalisateur Dennis Law n’arrive pas à insuffler suffisamment de vie à ce Fatal move si bien qu’en tant que spectateur on assiste sans grande passion à un spectacle qu’on a l’impression d’avoir déjà vu des dizaines de fois. Il faut attendre les dernières minutes pour voir Sammo Hung s’activer tandis que la présence de Simon Yam est totalement anodine ; un film qui est donc fatalement insignifiant !

  • Mission : Impossible - Protocole fantôme

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    L’opération est un succès, l’agent Ethan Hunt (Tom Cruise) vient d’être libéré d’une prison russe grâce aux actions coordonnées de Jane & Benji (Paula Patton & Simon Pegg). A peine est-il libre qu’il reçoit déjà une autre mission : dérober des documents confidentiels en plein cœur du Kremlin bref une partie de plaisir pour lui. Tout se déroulait comme ils l’avaient planifié jusqu’au moment où ils sont interrompus par un intrus et le piège se referme autour d’eux. Une terrible explosion ravage le bâtiment et tout porte à croire que c’est l’équipe Mission Impossible qui est responsable de ce désastre. Alors que les relations entre les Etats-Unis et la Russie deviennent tout de suite plus tendus, Ethan et ses potes ne peuvent plus compter que sur eux-mêmes pour empêcher une nouvelle catastrophe.

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    Décidément, Ethan Hunt est vraiment increvable puisque ce Mission : Impossible - Protocole fantôme constitue le 4ème épisode de la franchise. La valse des réalisateurs continue - ce qui en même temps revitalise chaque fois la saga - et c’est Brad Bird qui succède à J.J. Abrams . Encore peu connu, il est le papa des Indestructibles ou de Ratatouille chez Pixar et Tom Cruise n’a pas peur de prendre des risques en lui confiant les rênes de son tout premier film live. Résultat quelques scènes aussi surréalistes qu’impressionnantes comme l’escalade de la plus haute tour du monde te la course-poursuite en pleine tempête de sable à Dubaï. Même si tout n’est pas parfait, on a le divertissement qu’on attendait, Bird gagne ses galons de réalisateur et la saga prouve qu’elle a encore de beaux jours devant elle alors la question désormais c’est who’s next derrière la caméra ?

     

    Il faut le voir pour : Trouver un moyen efficace de descendre un immeuble lorsque l’ascenseur ne fonctionne est en panne.

  • Une journée en enfer - (Die Hard 3)

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    C’est une journée comme les autres qui semble se profiler à New-York, du moins cela était vrai jusqu’à cette explosion ! Un magasin a été soufflé faisant de nombreuses victimes et la police est sur les dents jusqu’à ce qu’un certain Simon (Jeremy Irons) revendique cette attaque. Sa demande est particulière puisqu’il réclame la présence de John McClane (Bruce Willis) ! C’est avec un mal de crane horrible qu’on retrouve ce dernier et il va vite devoir se remettre d’aplomb car une mission l’attend et s’il ne la remplit pas une autre bombe pourrait exploser. Il doit donc se promener en plein cœur du quartier d’Harlem en arborant un panneau tout ce qu’il y a de plus provoquant et rien ne garantit qu’il puisse s’en sortir vivant.

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    J’ai une affection particulière pour cet épisode que je ne me lasserais jamais de revoir. Il faut dire que ça commence de manière tonitruante avec en bande originale le Summer in the city de The loovin’ Spoonful qui rythme le quotidien new-yorkais interrompu soudainement par l’explosion du magasin, j’adore !! Le charme légendaire de McClane fait ensuite le reste d’autant plus qu’il se trouve un camarade de jeu en la personne de Samuel L. Jackson, le syndrome L’arme fatale sans doute, mais c’est surtout le personnage de Simon génialement interprété par Jeremy Irons qui est subjuguant. Embarqué en même temps que nos héros, on est en plein jeu de piste avec des énigmes disséminées aux 4 coins de la grosse pomme mais je vous rassure l’action ne manque pas !  Une journée en enfer - (Die Hard 3) c’est THE film d’action que tout bon spectateur se doit d’avoir vu au moins une fois dans sa vie.

     

    La scène à ne pas louper : L’explosion dans le métro.


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  • 58 minutes pour vivre (Die Hard 2)

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    Il n’a vraiment pas de chance notre pote John McClane (Bruce Willis). Venu récupérer safemme Holly (Bonnie Bedelia) à l’aéroport de Dulles à Washington, sa voiture est embarquée et va atterrir à la fourrière, c’est sa belle-mère qui va faire la tête mais bientôt ce sera le cadet de ses soucis ! Alors qu’il attend l’atterrissage de l’avion de sa femme, il repère 2 hommes au comportement très suspicieux et ce lieutenant de police ne sait pas encore dans quoi il s’embarque. En effet, dans ce même aéroport, on attend d’un instant à l’autre l’arrivée du Général Esperanza (Franco Nero), un trafiquant de renom récemment capturé par les américains. Un commando conduit par le Colonel Stuart (William Sadler) a ainsi pour mission de le faire évader et pour cela ils vont tout simplement prendre le contrôle des lieux

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    Avant Jack Bauer, il y avait John McClane, le flic le plus poisseux au monde et qui se retrouve de nouveau embringué dans une attaque terroriste. Le Nakatomi Plaza laisse maintenant place à un aéroport de Washington et en termes d’action ça explose littéralement l’écran. Que ce soit la scène finale ou le guet-apens (où l’on peut reconnaitre le Terminator Robert Patrick), on ne s’ennuie pas une seconde ! Evidemment, si on veut être tatillon, on pointera du doigt un scénario simpliste et un peu trop semblable à Piège de cristal mais c’est un réel plaisir que de retrouver ce personnage culte avec ce film qui ne manque pas de percussions ! Si vous êtes fans de cinéma d’action alors 58 minutes pour vivre (Die Hard 2) est un film tout simplement indispensable.

     

    La scène à ne pas louper : Le crash du Windsor


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  • Les immortels

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    En des temps immémoriaux, époque où les Hommes n’avaient pas encore foulé la Terre il y eut une terrible guerre opposant les Immortels. Ceux qui sont sortis vainqueurs de cette bataille furent élevés au rand de Dieux et adorés tandis que les perdants appelés Titans furent emprisonnés au cœur du Mont Tartare. En Grèce, le roi Hypérion (Mickey Rourke) sème terreur et désolation afin de mettre la main sur un objet précieux : l’arc d’Epire qui lui permettra de délivrer les Titans. Dans sa quête, il va décimer le village de Thésée (Henry Cavill) et ira jusqu’à tuer sa mère sous ses propres yeux mais c’est de ce jeune homme que viendra la lumière. On lui prédit en effet un prestigieux avenir même si l’Oracle Phèdre (Freida Pinto) s’inquiète de cette vision où il se tient aux cotés d’Hypérion.

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    Ce n’est ni la première ni la dernière fois que la mythologie grecque inspire le 7ème art toujours est-il qu’avec Les immortels, l’histoire a été quelque peu arrangé. Si la mémoire vous fait défaut, Thésée c’est le mec qui a mis minable le Minotaure, créature fantastique qui fait une brève apparition dans ce film et encore il s’agit ici d’un simple humain masqué. Ici le héros joue les arbitres entre les Dieux et les Titans dont les 2 scènes de combat présentées façon Matrix sont les plus violentes mais aussi les plus réjouissantes. A part ça, on a vraiment ce qu’on est venu chercher à savoir un ersatz très artificiel d’un 300 où toi pas besoin réfléchir, regarder images et combats et toi te contenter de ça … Brrrr ça fait peur d’être réduit à cet état !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment on peut vous faire boire de l’eau avec sensualité !

  • L’ordre et la morale

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    Un appel au cœur de la nuit l’a réveillé et quelques heures plus tard, notre pote Philippe Legorjus (Mathieu Kassovitz) était dans l’avion avec des hommes du GIGN en direction de la Nouvelle-Calédonie. Des indépendantistes kanaks ont lancé une attaque faisant 3 victimes et détiennent désormais plus de 30 gendarmes en otages. Philippe se rend sur place en tant que négociateur et va tout faire pour obtenir leur libération de la manière la plus pacifique possible. Alors qu’un premier groupe de gendarmes a été relâché, le second retenu par le leader kanak Alphonse (Iabe Lapacas) va devoir s’en remettre à Legorjus. Les discussions s’annoncent âpres d’autant que nous sommes en pleine période de réélections présidentielles françaises et que le gouvernement n’entend pas céder à la pression.

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    Après un rapide détour aux Etats-Unis, Kassovitz revient chez nous et on ne peut que s’en satisfaire car ça nous permet de retrouver son réel talent et de découvrir avec plaisir L’ordre et la morale. Le réalisateur et acteur s’intéresse à un évènement que l’on connait assez peu à savoir l’exécution d’un groupe d’extrémistes kanaks. Le film est là pour dénoncer les décisions plus que controversées d’un gouvernement qui voulait faire de cet évènement un exemple qui se terminera dans un bain de sang. Si sur la longueur, le réalisateur français perd le spectateur dans cette dense jungle malgré de très belles scènes (dont une reconstitution de l’attaque splendide), on sort de la salle avec cette agréable sensation d’avoir enrichi sa connaissance de l’histoire française pour ceux qui comme moi en ont besoin !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais prendre pour argent comptant la parole d’un français !

  • Nuit blanche

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    Bien qu’ils aient préparé leur coup, nos potes Vincent & Manuel (Tomer Sisley & Laurent Stocker) ont du faire face à un imprévu mais au final ils ont réussi à piquer près de 10 kilos de cocaïne. Le seul problème c’est qu’on a reconnu Vincent et celui-ci reçoit vite un coup de fil de Marciano (Serge Riaboukine) qui veut récupérer sa came et qui a pour cela enlevé Thomas (Samy Seghir), le fils de Vincent. Sans hésiter, ce dernier décide d’aller rendre la drogue et il rejoint ainsi Le tarmac, une boite de nuit où la soirée s’annonce très longue. L’échange aurait pu se dérouler simplement mais le flic ripoux fait l’objet d’une enquête et dès lors rien ne va se passer comme prévu.

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    Notre pote Tomer Sisley troque le beau costume de milliardaire de Largo Winch pour celui d’un flic ripoux et ça donne un film assez plaisant. Nuit blanche nous invite à passer la soirée dans une boite, un huis-clos qui ne manque pas de rebondissements et de bonnes scènes d’action (incroyable tout ce qu’on peut faire dans une cuisine !) mais également avec un brin d’humour parfois trop répétitif. La nuit s’annonce donc plutôt bonne du moins dans la première heure, les derniers instants s’avèrent plus délicates pour le spectateur. Une désagréable impression de déjà-vu s’installe et fait s’envoler le plaisir qu’on avait jusqu’alors mais ça n’enlève rien au fait qu’on se laisse entrainer facilement dans l’aventure.

     

    Il faut le voir pour : Aller fouiller dans le plafond des toilettes des femmes, vous trouverez peut-être votre bonheur.

  • The king of fighters

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    Le King of fighters est un tournoi où les plus grands maitres sont invités à rejoindre une dimension parallèle afin d’y mener de violents combats et où seule compte la victoire. Actuellement, Rugal Bernstein (Ray Park) y sème le chaos en affrontant et surtout en exécutant chacun de ses adversaires avec un but bien précis : libérer l’Orochi. Pour que cela se produise, il doit encore s’emparer de l’épée Kusanagi qui se trouve auprès d’un certain Kyo (Sean Faris). Ce dernier a reçu la visite de Mai Shiranui (Maggie Q) et de Iori Yagami (Will Yun Lee) venus l’avertir du danger qu’il courait mais ce n’est pas cela qui arrêtera la destinée de Rugal !

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    Comment dire, si vous connaissez le jeu vidéo qui a fait la renommée de la Neo Geo ; des risques de révulsions sont possibles pendant toute la durée du film. Premier constat, le casting est une catastrophe car personne ne ressemble au personnage qu’il est censé incarné (La palme à Terry Bogard) et ce n’est pas parce qu’il y a des pseudo-stars comme Maggie Q ou Ray Park qu’on sera plus conciliant. On se demande également pourquoi les scénaristes se sont embarrassés de cette histoire abracadabrantesque, The king of fighters est un excellent jeu de baston donc on veut des combats et encore des combats ! Si vous pensiez qu’on ne pouvait pas faire pire que Street Fighter, jetez donc un coup d’œil à ce film.

  • Forces spéciales

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    La nouvelle vient de tomber : la journaliste Elsa Casanova (Diane Kruger) vient d’être enlevée par les Talibans sous le commandement de Zaief (Raz Degan) et est désormais prisonnière dans la zone tribale du Pakistan. Le gouvernement français réagit immédiatement et décide d’intervenir dans les plus brefs délais ; les forces spéciales sont déployés et ce sont 6 hommes qui vont être parachutés au Pakistan. La mission de sauvetage est une réussite malheureusement leur évacuation est rendue impossible par la réplique des Talibans et le groupe est obligé de s’enfuir à pieds. Commence alors une longue marche dans l’espoir de rejoindre l’Afghanistan mais ils devront rester extrêmement méfiants car Zaief est sur leurs talons.

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    Pour ce premier film de Stéphane Rybojad, ce réalisateur de reportages télévisés a voulu rendre un hommage aux reporters de guerre mais surtout à ces soldats qui risquent chaque jour leur vie. On pointera le doigt sur un scénario relativement basique pour ne pas dire naïf : une journaliste française enlevée et ce sont les Forces spéciales qui entrent en jeu. Malgré cela, ça reste un divertissement plutôt honorable grâce à un bon casting même si Djimon Hounsou se fait trop discret mais où Raphael Personnaz réussit à tirer son épingle du jeu. Si vous êtes du genre à pouvoir vous contenter de quelques bonnes scènes d’action pour vous évader alors vous saurez apprécier ce qu’offre ce film.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à 2 fois avant de vous évader des Talibans !

  • Mortal Kombat Destrution Finale

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    Liu Kang (Robin Shou) a vaincu le tyran Shang Tsung et remporté ainsi le Mortal Kombat assurant la paix sur terre pour au moins une génération. A peine sorti de son combat ; Il doit faire face à une nouvelle menace personnifiée par le terrible Shao Khan (Brian Thompson), venu tout droit d’Outre-monde et violant ainsi les lois édictées par les dieux anciens. Il a l’intention de faire fusionner son monde avec la Terre ; ses généraux vont ainsi pouvoir s’en donner à cœur joie et répandre la terreur. En compagnie de ses potes Rayden (James Remar), Sonya Blade (Sandra Hess) ou encore la princesse Kitana (Talisa Soto) ; Liu Kang va de nouveau combattre pour sauver le destin des humains.

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    Après un premier épisode plus ou moins réussi, le célèbre de baston sanglant se voit offrir une suite ; une nouvelle qui aurait pu ravir les fans mais ce n’est pas vraiment le cas. Dieu sait ce qui a traversé l’esprit du réalisateur John R. Leonetti qui nous inflige une terrible Fatality avec ce gigantesque navet. Dès les premières minutes, il est bien difficile de se retenir d’exploser de rire devant le ridicule de certaines situations. A cela s’ajoute le jeu branlant des comédiens, les décors en carton-pâte et le scénario bien évidemment inexistant. Mortal Kombat Destrution Finale a davantage les allures d’un téléfilm qu’autre chose et s’impose comme l’une des pires adaptations de jeux vidéos !

     

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