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slimane dazi

  • 96 heures

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    C’est une nouvelle journée qui commence pour le Commissaire Gabriel Carré (Gérard Lanvin) mais il va avoir une désagréable surprise. Alors que sa femme Françoise (Anne Consigny) venait à peine de franchir la porte de leur appartement qu’elle est prise en otage par des hommes armés. Leur cible c’est le flic et Gabriel ferait mieux de leur obéir s’il tient à la vie de Françoise, leur objectif est de faire libérer leur boss Victor Kancel (Niels Arestrup). Une évasion planifiée dans ses moindres détails et qui se déroule sans problèmes mais le commissaire n’est pas au bout de ses peines car il va être retenu. Si Victor a plongé, il sait que c’est à cause d’un traitre et veut qu’on lui donne le nom de cette balance.

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    Face à face musclé entre Gérard Lanvin & Niels Arestrup, deux grandes figures du cinéma français le tout arbitré par Frédéric Schoendoerffer. Ça nous donne 96 heures, un thriller qui repose à la fois sur un combat psychologique et sur une histoire qui se dévoile au fil des minutes. S’il est difficile de reprocher quoi que ce soit au duo d’acteurs qui s’imposent naturellement par leur charisme, ce sont les personnages autour qui nous laissent de marbre avec un Slimane Dazi en simple valet et une Laura Smet tout aussi peu convaincante. Le réalisateur français signe donc un bon film qui a largement de quoi contenter le spectateur mais manque quand même de surprises pour remporter totalement notre adhésion.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir une garde à vue originale !

  • Only lovers left alive

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    Elle s’appelle Eve (Tilda Swinton) et vit à Tanger, lui se nomme Adam (Tom Hiddleston) et a fait sa vie à Detroit. Tous deux ont vécu beaucoup d’expériences et ont traversé les années et même les siècles puisqu’il s’agit de vampires ! Pour survivre, ils ont besoin de sang mais pas n’importe lequel, si Eve peut se fournir auprès de Christopher Marlowe (John Hurt), Adam a lui trouvé un médecin qu’il paye grassement. Le couple va se réunir puisqu’Eve va faire un long voyage pour rejoindre son bien-aimé. Des retrouvailles auxquelles va s’inviter Ava (Mia Wasikowska) ce qui n’est pas forcément une bonne nouvelle aux yeux d’Adam qui se souvient encore de ce qu’il s’est passé à Paris il y a 87 ans !

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    C’est une vraie curiosité que ce film de Jim Jarmusch parce qu’il traite de vampires mais surtout qu’il fait ça de façon originale. Ici pas de cou mordu tout au long du film, le sang se déguste et vous fait monter au 7ème ciel sans compter cette atmosphère musicale dans lequel on est plongé et vous serez fini d’être persuadé qu’on a bien là quelque chose de différent. Malgré tout, Only lovers left alive peut aussi vite se montrer soporifique car il ne s’y passe presque rien. On a même un peu de mal à entrer dans l’histoire tant les premières minutes sont contemplatives et ça n’aurait pas été du luxe d’avoir un scénario apportant un peu plus de surprises.

     

    Il faut le voir pour : Choper une recette originale pour des esquimaux !

  • Je ne suis pas mort

    cinéma, film, drame, Je ne suis pas mort,  Mehdi Dehbi, Maria de Medeiros, Emmanuel Salinger, Driss Ramdi, Judith Davis, Laurent Bateau, Albert Delpy, Slimane Dazi, Mehdi Ben Attia

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    Notre pote Yacine (Mehdi Dehbi) vit avec son frère Jamel (Driss Ramdi) ; il est étudiant et doit aussi gagner sa vie en jouant les coursiers mais difficile pour lui de concilier études et travail. A l’occasion d’une course, il est amené à croiser Richard (Emmanuel Salinger) qui se trouve être un de ses professeurs et les deux hommes semblent s’entendre à merveille. Le professeur invite d’ailleurs l’étudiant à assister à sa remise de la légion d’honneur ce que Yacine accepte avec plaisir mais la soirée va se terminer de façon bien étrange. Une rupture d’anévrisme emporte Richard du moins c’est ce que croient ses proches puisqu’en fait il s’est réveillé dans le corps de Yacine !

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    Son premier film Le fil était déjà déconcertant, celui-ci l’est tout autant puisqu’on assiste au transfert d’un esprit dans un autre corps. Un scénario qui laissait augurer d’une comédie mais Je ne suis pas mort s’oriente davantage vers le drame ; Richard découvrant la vie de Yacine et les difficultés qu’il traverse. En parlant des personnages justement, on tombe assez vite sous le charme d’Emmanuel Salinger et de Mehdi Dehbi formant même un trio avec Maria de Medeiros. Un film atypique c’est certain qui traite aussi bien de l’identité que des rapports Père / Fils mais des sujets qui sont à peine effleurés qui ternissent l’intérêt de l’ensemble.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais porter le costume d’un autre, on ne sait jamais …

  • Rengaine

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    Sabrina & Dorcy (Sabrina Hamida & Stephane Soo Mongo) s’aiment et veulent célébrer leur union par un mariage mais la vie n’est pas aussi simple. Elle est musulmane et est entourée de rien moins que 40 frères, lui est noir et chrétien à cause de tout cela leurs familles respectives n’accepteront jamais leur amour. Slimane (Slimane Dazi), l’un des frères de Sabrina, entend parler de ce mariage qu’il considère non seulement comme une terrible erreur mais également comme une profonde humiliation pour sa famille. Il répand la nouvelle auprès de la fratrie et cherche dans le même temps à rencontrer Dorcy ; il apprend en outre que celui-ci est un comédien dont la carrière peine à décoller.

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    Apparu dans quelques seconds rôles, Rachid Djaïdani s’essaie dans le rôle du réalisateur avec ce premier long-métrage. L’histoire est assez simple ; un amour impossible faisant ressurgir les clivages raciaux & religieux qui n’ont de cesse de perdurer. C’est au-delà de ce scénario commun qu’il faut aller pour trouver les magnifiques interprétations de Sabrina Hamida et surtout de Stephane Soo Mongo (la scène de la chaise risque de vous scotcher !). N’oublions pas non plus une réalisation qu’on qualifiera de dynamique même si on aurait bien apprécié qu’elle nous évite quelques maux de tête. Loin de la Rengaine cinématographique, c’est sans aucun doute la séance découverte du moment.

     

    Il faut le voir pour : Epouser quelqu’un qui est fils ou fille unique, ça vous facilitera les choses !

  • De force

    Bonjour, je m’appelle Manuel Makarov (Eric Cantona).

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    01.jpgJ’ai fait des conneries dans ma vie ; j’ai été braqueur et je me suis tapé 15 ans de prison. J’avais décidé de reprendre ma vie en mains et de tourner une page et pour cela je n’attendais plus que ma conditionnelle pour retrouver ma femme et ma fille.

     

    Et puis vous avez certainement entendu parler de mon évasion mais croyez-le ou non, j’ai été évadé de force ! L’ordre est venu d’en haut, ce sont les flics qui ont tout organisé pour m’obliger à les aider, à devenir une balance.

     

    02.jpgJe devais prendre contact avec Jimi Weiss (Simon Abkarian), celui que l’on soupçonne d’être à la tête d’une bande de braqueurs appelé les All blacks. Et puis ça a fini par mal tourné et je me retrouve ainsi avec ces 3 otages mais je tenais à témoigner pour que la vérité éclate au grand jour !

     

     

     

    En savoir plus sur De force ?

  • De force

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    Ils sont surnommés les All blacks et ont encore fait parler d’eux dans les médias après cette nouvelle attaque d’un fourgon blindé. Parmi les victimes se trouve le fils d’un ministre et dès lors, la recherche de ces criminels va devenir la priorité de la Procureure Danielle Canetti (Anne Consigny). Clara Damico (Isabelle Adjani), commandant de la BRB a désormais carte blanche pour arrêter ce gang et elle se tourne vers Manuel Makarov (Eric Cantona), ancien criminel reconverti mais celui-ci n’a aucune intention d’aider les flics. Ce choix, il ne l’aura plus lorsqu’il va se faire évader de force ; à lui désormais de prendre contact avec Jimi Weiss (Simon Abkarian) et découvrir leur prochain coup.

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    On va essayer de peser les mots : De force est une grosse daube ! Bon, voilà un poids en moins et si vous trouvez ce jugement sévère c’est que vous n’avez vraiment pas vu le film de Franck Henry. Déjà le scénario est d’une niaiserie déconcertante : un fils de ministre de passage dans un fourgon blindé se fait descendre et donc là les flics décident de faire leur travail. Vient s’ajouter à cela un jeu d’acteur désastreux à l’image de la participation de Francis Kuntz, une scène qu’on croirait sortie directement d’une émission du Groland. Tout tourne tellement au ridicule qu’on ne peut s’empêcher de s’esclaffer devant tant d’absurdités mais je ne suis pas sur que c’était l’effet espéré par le réalisateur.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si le réalisateur n’a pas interverti les répétitions avec son film ?


    Découvrez le film Dans la peau du héros !