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  • Mortal Kombat Destrution Finale

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    Liu Kang (Robin Shou) a vaincu le tyran Shang Tsung et remporté ainsi le Mortal Kombat assurant la paix sur terre pour au moins une génération. A peine sorti de son combat ; Il doit faire face à une nouvelle menace personnifiée par le terrible Shao Khan (Brian Thompson), venu tout droit d’Outre-monde et violant ainsi les lois édictées par les dieux anciens. Il a l’intention de faire fusionner son monde avec la Terre ; ses généraux vont ainsi pouvoir s’en donner à cœur joie et répandre la terreur. En compagnie de ses potes Rayden (James Remar), Sonya Blade (Sandra Hess) ou encore la princesse Kitana (Talisa Soto) ; Liu Kang va de nouveau combattre pour sauver le destin des humains.

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    Après un premier épisode plus ou moins réussi, le célèbre de baston sanglant se voit offrir une suite ; une nouvelle qui aurait pu ravir les fans mais ce n’est pas vraiment le cas. Dieu sait ce qui a traversé l’esprit du réalisateur John R. Leonetti qui nous inflige une terrible Fatality avec ce gigantesque navet. Dès les premières minutes, il est bien difficile de se retenir d’exploser de rire devant le ridicule de certaines situations. A cela s’ajoute le jeu branlant des comédiens, les décors en carton-pâte et le scénario bien évidemment inexistant. Mortal Kombat Destrution Finale a davantage les allures d’un téléfilm qu’autre chose et s’impose comme l’une des pires adaptations de jeux vidéos !

     

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  • Mortal Kombat

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    Un nouveau tournoi Mortal Kombat est sur le point de débuter et il pourrait sceller le destin de la Terre. Après avoir remporté 9 victoires consécutives, le maléfique Shang Tsung (Cary-Hiroyuki Tagawa) pourrait en effet envahir notre monde s’il venait à être déclaré vainqueur mais le Seigneur Rayden (Christophe Lambert) n’entend pas le laisser faire. Parmi tous les participants, il va soutenir un trio prometteur composé de Liu Kang, Johnny Cage & Sonya Blade (Robin Shou, Linden Ashby & Bridgette Wilson) mais ils sont encore loin d’être prêts à vaincre leurs adversaires. Pour Liu Kang, ce tournoi a surtout un parfum de revanche car son jeune frère Chan (Steven Ho) fut vaincu par Shang Tsung qui s’est également emparé de son âme.

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    A l’époque de sa sortie au cinéma, j’avais adoré Mortal Kombat car il faut remettre les choses dans leur contexte, cela suivait la désastreuse adaptation de Street Fighter. Plus de 15 ans plus tard, je me rends maintenant compte que le film de Paul W.S. Anderson était loin d’être le résultat exceptionnel que je voulais bien croire. Le casting déjà est une catastrophe hormis peut-être Robin Shou qui est le seul à savoir se battre et puis il y a cette profusion d’effets spéciaux qui paraissent totalement désuets aujourd’hui. Il y a des films qu’il ne vaut mieux pas revoir et cette adaptation du jeu de Midway en fait clairement parti. Écrasante déception !! En tout cas, le film aura eu suffisamment de succès à l’époque pour nous offrir une suite, une merveilleuse perle de kitsch.

     

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  • Tekken

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    Une armée de Jacks a fait irruption dévastant sa maison et lorsque notre pote Jin Kazama (Jon Foo) s’est rendu sur les lieux, il n’a pu que constater la mort de sa mère Jun (Tamlyn Tomita). Pour le jeune homme, le responsable de sa mort est tout trouvé, ce n’est nul autre que Heihachi Mishima (Cary-Hiroyuki Tagawa) et il va tout faire pour assouvir sa vengeance. Il décide ainsi de participer au tournoi Iron Fist afin d’affronter les combattants Tekken ce qui le mènera directement auprès d’Heihachi. Avant cela, il va devoir se défaire de Marshall Law (Cung Le) mais pendant ce temps, quelqu’un d’autre cherche à faire chuter Heihachi. Il s’agit de son propre fils Kazuya (Ian Anthony Dale) qui souhaite s’emparer du pouvoir de son père.

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    Les amateurs de jeux vidéo auront bien entendu reconnu l’adaptation du célèbre hit de Namco dont les débuts remontent quand même à 1994 ! Généralement, passer de la console à l’écran est rarement salutaire, il y a eu des résultats désastreux et d’autres plus convenables. Tekken se situe entre les 2 ; on échappe au ridicule d’un Street fighter mais on est encore loin de l’adaptation idéale. Le casting des personnages est déjà un point négatif ; les femmes brillent par leur plastique tandis que les hommes manquent de charisme. Ajoutez à cela des combats chorégraphiés par Cyril Raffaelli mais qui manquent vraiment de panache et vous obtenez une nouvelle fois une belle déception. Allez, on va plutôt retourner jouer à la console !

  • Ong Bak II - La naissance du dragon

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    Thaïlande au XVème siècle. Tien (Tony Jaa), un enfant réduit à l’esclavage était promis à une mort atroce, jeté en pâture aux crocodiles mais fort heureusement il fut sauvé par Chernung (Sorapong Chatree). Orphelin, il s’est trouvé une nouvelle famille pour grandir et surtout pour devenir plus fort. Il n’y a pas un jour où Tien ne s’entraine pas, perfectionnant ses techniques de combat et devenant ainsi un guerrier redoutable. Alors que sa force est enfin reconnue de tous, il cherche désormais à se venger car durant son enfance, sa famille a été décimée et le seul responsable est le Seigneur Rat-Cha-Sei-Na (Saranyu Wongkrajang).

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    Tony Jaa s’était fait connaitre avec le personnage d’Ong Bak, on trouvait alors à cet acteur thaïlandais une habilité au combat digne d’un Bruce Lee. Gros succès en Thaïlande, Ong Bak II - La naissance du dragon s’annonçait donc énorme mais comme c’est souvent le cas l’attente ne valait pas forcément le coup. On peut déjà reconnaitre le mérite de ce film de ne pas avoir joué la carte de la facilité en proposant une suite banale (bonjour aux américains) mais un prequel. Tony Jaa (qui est aussi réalisateur) s’est lancé dans un projet très ambitieux en voulant dépasser le simple film d’action. Le scénario est malheureusement trop succinct mais on se console avec les phases de combat qui sont d’une précision implacable et d’un niveau rarement atteint. A voir seulement pour les fans de kung-fu.

     

    Il faut le voir pour : Prendre un cours accéléré d’arts martiaux et apprendre à sa battre avec un éléphant.