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paz vega

  • Grace de Monaco

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    Par amour, notre pote Grace Kelly (Nicole Kidman) a décidé d’abandonner sa carrière d’actrice et quitte ainsi Hollywood pour s’installer dans la Principauté de Monaco. Elle rejoint ainsi le Prince Rainier (Tim Roth). Quelques années plus tard, on la retrouve mère de 2 enfants mais surtout Princesse qui a cependant bien du mal à trouver sa place. C’est d’autant plus flagrant lorsque le grand Alfred Hitchcock (Roger Ashton-Griffiths) vient lui proposer un rôle dans son prochain film Pas de printemps pour Marnie. Au fond d’elle-même, Grace a envie de retourner au cinéma mais dans son entourage proche, ce n’est pas acceptable notamment pour son mari pris dans un conflit avec la France.

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    A croire que notre pote Olivier Dahan aime les femmes et les biopics. Après nous avoir présenté le portrait de La môme Edith Piaf, c’est désormais au tour de Grace de Monaco de se dévoiler sur le grand écran. On y découvre surtout une période spécifique de sa vie puisque la carrière d’actrice de Grace Kelly est vite zappée pour se focaliser sur sa vie de souveraine dans la principauté. Les regards se focalisent évidemment sur Nicole Kidman qui livre une prestation pas loin d’être insignifiante et ceux qui l’entourent ne brillent pas beaucoup plus. C’est donc un portrait amputé d’une part essentielle de sa vie et on n’a pas forcément choisi la partie la plus passionnante pour rendre un hommage digne de ce nom à cette grande dame.

     

    Il faut le voir pour : Ecouter davantage les femmes !

  • L’ange du mal

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    Son premier forfait fut de libérer un tigre de sa cage en compagnie de ses potes d’enfance et depuis Renato Vallanzasca ( Kim Rossi Stuart) ne s’est pas vraiment assagi. Leur adolescence, ils l’ont passé à chaparder tout ce qu’ils trouvaient et revendaient pour une bouchée de pain dans leur quartier. Plus tard, Renato est passé au niveau supérieur en organisant de gros casses mais toujours en faisant en sorte de ne pas laisser de cadavres derrière lui. Pour lui, une arme à feu doit avant tout servir à effrayer celui sur qui elle est braquée, à se faire respecter mais certainement pas à semer la mort. Tout le monde n’a pas le même sens de valeurs que lui et plusieurs de ses propres compères vont commettre l’irréparable et parmi ces victimes se trouvent un policier.

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    A la manière d’un Jacques Mesrine ou d’un Albert Spaggiari ; Renato Vallanzasca est un criminel qui a défrayé la chronique italienne des années 1970 aussi bien par ses méfaits que par l’arrogance dont il faisait preuve. C’est le réalisateur Michele Placido qui signe ce biopic, lui qui nous avait littéralement enchanté avec Romanzo Criminale et l’on retrouve aussi pour l’occasion le beau Kim Rossi Stuart. On entendra d’ailleurs certainement parler de ce dernier (qui a également fait ses premiers pas de réalisateur avec Libero) pendant quelques années car il est véritablement envoutant dans la peau de Renato Vallanzasca. Pas vraiment de surprises avec L’ange du mal qu’elles soient bonnes ou mauvaises, c’est un thriller policier mené avec grande justesse bref tout ce qu’il y a de plus efficace et des films comme ça on en redemande sans problèmes.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais sous-estimer un cafard !

  • Eyes of war

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    Nous sommes en 1988, Mark & David (Colin Farrell &Jamie Sives) sont deux potes d’enfance qui travaillent ensemble en tant que photographes de guerre. Cela fait déjà un mois qu’ils couvrent le conflit entre le Kurdistan et l’Irak et pour David, l’heure du retour à la maison a sonné. En effet, il n’en peut plus de rester éloigné de sa femme Diane (Kelly Reilly) d’autant plus que celle-ci est enceinte et devrait très bientôt accoucher. Les évènements font que les deux photographes se retrouvent séparés et après avoir échappé de peu à la mort, Mark retourne lui aussi en Angleterre. A son retour il est étonné de ne pas voir David et commence à se poser des questions.

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    Beaucoup de films ont souligné l’impact psychologique que pouvait revêtir une guerre sur les soldats mais on se rend moins compte des dommages collatéraux que cela peut provoquer sur des acteurs plus secondaires. Eyes of war s’intéresse ainsi aux reporters de guerre, spectateurs privilégiés mais néanmoins témoins directs des atrocités qui définissent ces conflits. Thème intéressant mais l’intrigue du film ne tient pas très longtemps, on devine rapidement de quoi sera fait le film et ce qui hante le personnage de Mark. Reconnaissons tout de même au film le mérite de nous faire découvrir le point de vue de ces photographes de l’extrême.

     

    Il faut le voir pour : Se contenter de prendre des photos de la nature.