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filippo timi

  • Comme le vent

    Armida Miserere, c’est un nom qu’on ne connait pas mais en Italie, cette femme s’est fait connaitre pour son combat contre les organisations mafieuses et leur influence dans les prisons. Comme le vent c’est donc un biopic signé Marco Simon Puccioni et on aura l’occasion de retrouver Valeria Golino dans le premier rôle.

    Date de sortie : 25 Juin 2014.


  • Un château en Italie

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    Ancienne actrice, notre pote Louise (Valeria Bruni Tedeschi) a tout abandonné du jour au lendemain et elle ne le regrette pas. Seulement aujourd’hui à 43 ans, elle commence à s’inquiéter pour son avenir puisqu’elle est célibataire et a envie de devenir mère et sa rencontre avec Nathan (Louis Garrel) pourrait tout changer. Pourtant ce jeune homme lui aussi comédien n’aspire pas vraiment à une relation sérieuse et encore moins à devenir père mais l’amour est au rendez-vous. Du coté de sa famille, c’est aussi une période difficile pour Louise qui voit son frère Ludovic (Filippo Timi) atteint du sida s’affaiblir jour après jour.

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    Réalisatrice mais aussi actrice, Valeria Bruni Tedeschi porte toutes les casquettes sur ce film puisqu’elle a aussi coécrit le scénario avec notamment Noémie Lvovsky. Un château en Italie nous dresse ainsi le portrait d’une quarantenaire qui voit bien malgré elle le temps défiler et qui naturellement ressent le besoin de s’accomplir en tant que femme. Dans ce parcours parfois chaotique il y quelques beaux moments de rigolades mais le style risque de diviser. Film d’auteur dont je ne raffole pas particulièrement surtout avec son coté bobo qui peut agacer plus d’un, il faut tout de même reconnaitre que les personnages et les dialogues sont d’une grande qualité.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention à ce qu’on ne vous confonde pas avec quelqu’un d’autre quand vous allez à l’hôpital !

  • L’ange du mal

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    Son premier forfait fut de libérer un tigre de sa cage en compagnie de ses potes d’enfance et depuis Renato Vallanzasca ( Kim Rossi Stuart) ne s’est pas vraiment assagi. Leur adolescence, ils l’ont passé à chaparder tout ce qu’ils trouvaient et revendaient pour une bouchée de pain dans leur quartier. Plus tard, Renato est passé au niveau supérieur en organisant de gros casses mais toujours en faisant en sorte de ne pas laisser de cadavres derrière lui. Pour lui, une arme à feu doit avant tout servir à effrayer celui sur qui elle est braquée, à se faire respecter mais certainement pas à semer la mort. Tout le monde n’a pas le même sens de valeurs que lui et plusieurs de ses propres compères vont commettre l’irréparable et parmi ces victimes se trouvent un policier.

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    A la manière d’un Jacques Mesrine ou d’un Albert Spaggiari ; Renato Vallanzasca est un criminel qui a défrayé la chronique italienne des années 1970 aussi bien par ses méfaits que par l’arrogance dont il faisait preuve. C’est le réalisateur Michele Placido qui signe ce biopic, lui qui nous avait littéralement enchanté avec Romanzo Criminale et l’on retrouve aussi pour l’occasion le beau Kim Rossi Stuart. On entendra d’ailleurs certainement parler de ce dernier (qui a également fait ses premiers pas de réalisateur avec Libero) pendant quelques années car il est véritablement envoutant dans la peau de Renato Vallanzasca. Pas vraiment de surprises avec L’ange du mal qu’elles soient bonnes ou mauvaises, c’est un thriller policier mené avec grande justesse bref tout ce qu’il y a de plus efficace et des films comme ça on en redemande sans problèmes.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais sous-estimer un cafard !