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valeria solarino

  • L’ange du mal

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    Son premier forfait fut de libérer un tigre de sa cage en compagnie de ses potes d’enfance et depuis Renato Vallanzasca ( Kim Rossi Stuart) ne s’est pas vraiment assagi. Leur adolescence, ils l’ont passé à chaparder tout ce qu’ils trouvaient et revendaient pour une bouchée de pain dans leur quartier. Plus tard, Renato est passé au niveau supérieur en organisant de gros casses mais toujours en faisant en sorte de ne pas laisser de cadavres derrière lui. Pour lui, une arme à feu doit avant tout servir à effrayer celui sur qui elle est braquée, à se faire respecter mais certainement pas à semer la mort. Tout le monde n’a pas le même sens de valeurs que lui et plusieurs de ses propres compères vont commettre l’irréparable et parmi ces victimes se trouvent un policier.

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    A la manière d’un Jacques Mesrine ou d’un Albert Spaggiari ; Renato Vallanzasca est un criminel qui a défrayé la chronique italienne des années 1970 aussi bien par ses méfaits que par l’arrogance dont il faisait preuve. C’est le réalisateur Michele Placido qui signe ce biopic, lui qui nous avait littéralement enchanté avec Romanzo Criminale et l’on retrouve aussi pour l’occasion le beau Kim Rossi Stuart. On entendra d’ailleurs certainement parler de ce dernier (qui a également fait ses premiers pas de réalisateur avec Libero) pendant quelques années car il est véritablement envoutant dans la peau de Renato Vallanzasca. Pas vraiment de surprises avec L’ange du mal qu’elles soient bonnes ou mauvaises, c’est un thriller policier mené avec grande justesse bref tout ce qu’il y a de plus efficace et des films comme ça on en redemande sans problèmes.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais sous-estimer un cafard !

  • L’amour a ses raisons

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    L’amour est un sentiment compliqué qui peut intervenir sans que l’on s’y attende et peut également vous réserver son lot de surprises quel que soit notre âge. Roberto (Riccardo Scamarcio) est un futur avocat et s’apprête à épouser Sara (Valeria Solarino), son destin semble tout tracé mais lors d’un voyage dans un village toscan, il va se laisser séduire par Micol (Laura Chiatti). Autre histoire, Fabio (Carlo Verdone) est un célèbre présentateur de télé qui a une vie tranquille mais qui va s’aventurer dans une relation extraconjugale avec l’imprévisible Eliana (Donatella Finocchiaro). Enfin, Adrian (Robert De Niro) est un miraculé de la vie, il a eu une greffe du cœur et celui-ci va battre pour les beaux yeux de Viola (Monica Bellucci).

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    Ah l’amour !! C’est un sujet intarissable et ce n’est pas le réalisateur Giovanni Veronesi qui dira le contraire puisqu’il clôt avec L’amour a ses raisons une trilogie sur ce thème universel. Divisé en 3 parties, le film nous fait passer un agréable moment par son ambiance vaudevillesque dommage que certains détails viennent gâcher la fête. On pense avant tout à ce narrateur étrange, Cupido censé être le Dieu de l’amour qui est ici un chauffeur de taxi (??) jouant les intermédiaires mais personnage qui s’avère plus ridicule qu’autre chose. Et puis il y a les histoires parfois poussives, la 1ère me faisant penser (je vais peut-être faire dresser les cheveux à quelques uns) à Benvenuti al Sud et qui auraient gagné à être raccourcies de quelques minutes.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir qu’un homme est plus rapide qu’une voiture !