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philippe peythieu

  • Cendrillon au Far West

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    Bienvenue à Felicity City où règnent Felicity et ses 2 filles Harmony & Melody et si vous vous présentez devant elles, mieux vaut avoir sous la main un beau cadeau ! Des présents dont ne profite pas réellement notre pote Cendrillon considérée par sa belle-mère Felicity comme une vulgaire domestique mais la visite du prince Vladimir va changer beaucoup de choses. Alors que la marâtre essaie de le marier à l’une de ses filles ; le shaman Petite fumée qui a promis de veiller sur Cendrillon va la transformer afin qu’elle puisse assister au bal. La soirée se termine de façon brutale avec une bagarre générale dans le bar où notre belle héroïne va finir par perdre une dent que s’empresse de récupérer Vladimir.

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    C’est un mariage aussi curieux qu’il aurait pu donner un résultat plutôt intéressant si techniquement ou du moins du point de vue créatif ça avait suivi. C’est dur de s’imposer Cendrillon au Far West quand on a connu l’excellence des studios Blue sky ou Pixar. Non seulement ici les graphismes ne sont pas loin d’être laids mais en plus de ça la mise en scène manque cruellement de dynamisme au point qu’on a parfois l’impression que l’action se passe au ralenti. Quant à la transposition de l’univers de la célèbre héroïne de Charles Perrault ou des frères Grimm au Far West, elle s’est effectuée sans réelle volonté de nous proposer quelque chose d’original. Un film qui s’est vite transformé en citrouille flétrie.

     

    Il faut le voir pour : Essayer la Verveine !

  • Un monstre à Paris

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    1910. C’est un spectacle impressionnant ; Paris est sous les eaux depuis que la Seine a débordé et la capitale française n’a pas fini de faire la une des journaux. En effet, depuis quelques jours on rapporte qu’un horrible monstre hante les rues mais si vous voulez connaitre la vérité à ce sujet, il faut interroger Raoul et Emile. C’est en allant faire une livraison pour le professeur que tout a commencé ; ils se sont permis de s’amuser avec des potions et un accident est vite arrivé ! C’est ainsi qu’ils ont crée ce monstre qui n’est en fait qu’une puce inoffensive qui a pris taille humaine mais aussi à la voix mélodieuse qui va rapidement séduire la belle Lucille. Alors que le préfet Maynott cherche à tout prix à le neutraliser, nos potes vont tout faire pour protéger celui qu’ils appellent désormais Francœur.

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    Il était plutôt difficile de passer à coté de ce film d’animation puisque d’une part il s’agit d’une production française et d’autre part on retrouve pour l’occasion un duo de chanteurs très populaires. Vous aurez sans doute entendu La Seine interprété par Vanessa Paradis et Mathieu Chedid, une bande originale particulièrement soignée ce qui n’est pas forcément à l’image du reste. Bien entendu, Un monstre à Paris sait se montrer amusant notamment avec cette vision de la capitale inondée ou par quelques clins d’œil sympathiques (la coiffure de M ou l’apparition de Bourvil) mais on est quand même bien loin de la magie des œuvres de Pixar. Loin d’être un amateur du genre, le réalisateur Eric Bergeron sait comment faire rêver les petits mais il reste à séduire les plus grands !

     

    Il faut le voir pour : Avoir la puce à l’oreille !