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eduardo noriega

  • La Belle et la Bête (2014)

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    Il était une fois un riche Marchand (André Dussolier) qui vivait avec ses 6 enfants et qui possédait 3 navires. Malheureusement, ces navires furent déclarés perdus en mer et du jour au lendemain cette famille a été obligée de s’installer à la campagne. Un mois plus tard, la famille apprend qu’un de leurs bateaux, la Sirène, a été retrouvé mais lorsque le marchand se rend en ville avec son fils Maxime (Nicolas Gob), il découvre que tout ce qui était à bord a été confisqué pour régler ses créances. Séparé de son fils, le marchand quittera la ville dans la précipitation en pleine soirée et au milieu de cette dense foret va se retrouver face à un somptueux château où vit une étrange Bête (Vincent Cassel) !

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    Depuis son adaptation de Crying Freeman, Christophe Gans n’a cessé de nous démontrer ses grandes ambitions cinématographiques. Il nous le prouve une fois encore en nous livrant sa version de La Belle et la Bête qui rappellera évidemment celle de Jean Cocteau réalisée en 1946 tout en proposant quelque chose de différent. On a devant nous une interprétation moderne et cela se traduit à l’écran par une surabondance d’effets spéciaux du château jusqu’à la Bête entièrement numérisée. On y trouve également les origines du Prince qui sont davantage développés à travers quelques scènes dispersées ça et là mais qui nous font aussi remarquer que Cassel est plus crédible en Bête qu’en prince charmant.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de tenir les promesses que vous faites à votre femme !

     

    En savoir plus sur La Belle et la Bête (1946) ?

  • Shérif Jackson

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    Ancienne prostituée, notre pote Sarah (January Jones) mène désormais une nouvelle vie depuis sa rencontre avec Miguel (Eduardo Noriega). Ils sont heureux mais sont confrontés à des problèmes d’argent et voir leurs récoltes de nouveau saccagées par les moutons du Prophète Josiah (Jason Isaacs) n’arrange pas leurs affaires. Ce dernier nie les faits mais va également assassiner Miguel de sang froid quelques temps plus tard. Pendant ce temps en ville, il y a de l’animation puisque Jebediah Jackson (Ed Harris) vient de débarquer et devient le nouveau Shérif. Il enquête sur un double meurtre avec lequel il va vite faire le lien avec le prophète.

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    On nous annonçait un western décalé, on n’est pas déçu ! Déjà on a droit à un excellent casting avec Jason Isaacs en prophète tout puissant confronté à un  Ed Harris en shérif loufoque et dans une moindre mesure January Jones. Concernant la belle en robe on n’est pas totalement emballée car elle se retrouve éclipsée par les figures fortes que sont Josiah & Jackson sans quoi ce Kill Bill version Far West aurait pu être une excellente surprise. En plus de tout ça le fameux Shérif Jackson ne manque pas d’humour ce qui nous permet d’oublier un peu son scénario linéaire, non vraiment c’est une agréable découverte à faire !

     

    Il faut le voir pour : Suivre un cours de géographie sur une table d’acajou.

  • Le dernier rempart

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    Las Vegas. Un important dispositif a été mis en place dans le cadre du transfert de Gabriel Cortez (Eduardo Noriega), un dangereux criminel et en dépit de toutes les précautions prises, il est parvenu à s’évader. On retrouve vite sa trace à bord d’une Corvette ZR1 dont on a signalé le vol quelques jours plus tôt et il se dirige vers le Mexique accompagné d’un otage. Pour traverser la frontière, il va devoir passer par une petite ville d’Arizona ; Somerton dont le shérif se nomme Ray Owens (Arnold Schwarzenneger). Cet ancien officier des stups s’était retiré ici en pensant trouver le calme mais il va devoir reprendre les armes pour défendre avec ses potes d’enfance leur territoire et ça va être méchamment violent !

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    "I’ll be back" Il nous l’avait promis et après de brèves apparitions chez son pote Sly, Arnold Schwarzenneger est de retour au cinéma 10 ans après le peu mémorable Terminator 3. Pas de surprises, on a rendez-vous avec un film d’action rythmé par la chasse d’une Corvette boostée et quelques gunfights qui font plutôt mal pas étonnant quand on sait que derrière la caméra il y a Kim Jee-woon (Le bon, la brute et le cinglé / J’ai rencontré le diable …). Comme de tradition, le réalisateur effectuant sa première expérience aux states est quelque peu entravé par la machine hollywoodienne Pour détendre un peu l’atmosphère, Johnny Knoxville & Luis Guzman viennent instiller quelques notes d’humour dans cet univers de violence. Amusant tout simplement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous garer n’importe où !

  • Blackthorn

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    Notre pote James Blackthorn (Sam Shepard) s’est installé voilà 20 ans en Bolivie où il élevait des chevaux mais il a décidé de retourner dans son pays natal, les États-Unis. Après avoir réuni tout son argent, il débute un voyage qui s’annonçait long mais au cours de sa route, il croise Eduardo Apocada (Eduardo Noriega) et après un échange de coups de feu ; James perd non seulement son cheval mais également toutes ses économies. Les 2 hommes finiront toutefois par s’associer car Eduardo prétend avoir caché un vrai trésor, un pactole s’élevant à 50 000 dollars qu’il a dérobé à un certain Patiño. Ce qu’il ignore c’est que l’homme qui l’accompagne a pour véritable nom Robert LeRoy Parker autrement dit le célèbre bandit Butch Cassidy que beaucoup croyaient mort.

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    Si tous les aspects d’un bon western sont effectivement réunis, on pourrait reprocher à ce film des scènes d’action trop discrètes malgré la magnifique séquence se déroulant dans le désert de sel. Il ne faut pas s’attendre avec Blackthorn à vous retrouver devant un biopic de Butch Cassidy, les exploits du célèbre bandit ne sont que suggérés à travers de courts flashbacks. De plus, il faut savoir qu’on aborde là une partie de sa vie qui est totalement fictive. Le film s’intéresse essentiellement au personnage qu’il est devenu et il va sans dire que Sam Shepard offre aux spectateurs que nous sommes une prestation de haute volée. Avec son aspect road-trip, le réalisateur Mateo Gil propose davantage une immersion psychologique et grâce au charisme de Cassidy, on est absolument conquis !

     

    Il faut le voir pour : Essayer une bouteille de Chicha une fois que vous serez en Bolivie !