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  • Plan de table

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    Ils se sont rencontrés il y a 6 ans, c’était le grand amour entre Marie & Eric (Louise Monot & Lannick Gautry) et aujourd’hui, on s’apprête à célébrer le mariage … oui mais la jeune femme va épouser Paul (Tom Raynal) ! Pourtant, il n’y a pas 5 minutes elle était encore dans les bras d’Eric et dans la fougue de leurs ébats, ils dérangent une table d’invités. A lui la charge de remettre un peu d’ordre et en laissant son esprit vagabonder, il est en train de se dire qu’il n’y a pas de hasard dans la vie. Par exemple, s’il s’asseyait à coté de Marjorie (Audrey Lamy) est-ce que cela ne lui permettrait à terme de reconquérir la femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer ? Que se passerait-il si Edith (Shirley Bousquet) se retrouvait en compagnie de David (Arié Elmaleh), les possibilités sont infinies !

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    Le Plan de table d’un mariage n’est jamais complètement le fruit du hasard ; il faut parfois s’arracher les cheveux pour faire concorder les affinités des uns et des autres. De cette simple idée, Christelle Raynal en a fait sa première réalisation, un mélange de film choral et de réalités alternatives imaginées par notre pote Eric. A chaque disposition de table doit ainsi correspondre une histoire différente mais la facilité semble avoir été privilégiée si bien que chacune d’entre elle reste malheureusement trop semblable. Il faut aussi se rendre à l’évidence que le casting, bien que riche,  ne fonctionne pas ; il y a un manque de cohésion qui semble presque sauter aux yeux. Pas vraiment le bon plan ciné !

     

    Il faut le voir pour : Demander à jeter un coup d’œil au plan de table au prochain mariage où vous serez invité !

  • JC comme Jésus Christ

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    Son nom est d’ores et déjà inscrit dans le Guinness book des records, à seulement 15 ans il fut récompensé par une Palme d’or suivi ensuite d’un César ; pas de doute Jean-Christophe Kern (Vincent Lacoste) est un génie ! Parce qu’il n’a rien à cacher, il a accepté qu’une équipe de tournage le suive au quotidien que ce soit auprès de sa famille ou durant le processus de création de son prochain film. Il a eu une révélation : faire un biopic musical sur le criminel Ducroux et de nombreuses stars se battent déjà pour obtenir ce rôle en or. Acclamé partout où il passe, JC garde tout de même les pieds sur Terre car pour lui rien ne vaut un bon bol de Miel Pops.

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    Première réalisation pour Jonathan Zaccaï qui tente le pari osé de se lancer dans le vrai-faux documentaire à la manière d’un Moi, Michel G, Milliardaire, Maitre du monde. Là encore nous allons à la rencontre d’un personnage très imbu de lui-même et l’occasion d’un nouveau grand rôle principal pour Vincent Lacoste dont on attendait la confirmation depuis qu’il a été révélé dans Les beaux gosses et qui n’a depuis fait qu’enchainer les seconds rôles. Si on accueille avec plaisir l’idée qui nous réserve quelques bons moments avec un humour parfois irrévérencieux comme la production de cette comédie musicale, sur la longueur JC comme Jésus Christ peine à trouver et maintenir le rythme. Sympa à voir mais encore faut-il que Lacoste ne vous laisse pas indifférent.

     

    Il faut le voir pour : Oublier les autres céréales et acheter des Miel Pops.

  • Génial, mes parents divorcent !

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    Julien & Christian (Adrien Dirand & Gianni Giardinelli) étaient les meilleurs potes d’enfance au monde jusqu’au jour où les parents de Julien se sont séparés. Pour le jeune garçon, le monde s’écroule autour de lui et ceux qu’il croyait être ses amis lui tournent le dos pour la simple raison que ses parents ont divorcé. A l’école, il trouve du soutien auprès de Thomas (Volodia Serre) et d’autres camarades dont les parents sont également séparés et ils n’ont pas l’intention de se laisser faire. Désormais, c’est la guerre entre les mariés et les divorcés !! La bataille reste toutefois inégale et les enfants décident donc de provoquer des divorces pour grossir leur rang.

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    Ah voilà un grand classique du cinéma français qui fait toujours plaisir à voir et à revoir ! Evidemment, il faut savoir prendre Génial, mes parents divorcent ! pour ce qu’il est à savoir une gentille comédie sur un sujet beaucoup plus délicat. Une fois cela en tête, difficile de ne pas résister à cette version moderne (à l’époque) de La guerre des boutons avec des gags qui n’ont pas perdu de leur efficacité sans oublier l’entrain de cette belle bande de jeunes comédiens avec un impressionnant Volodia Serre. Bref, voilà un film qui a vraiment marqué une génération de spectateurs pour qui il n’a pas pris une ride, que de bons souvenirs !



    La scène à ne pas louper : La traversée du pont en bois et la visite de Nestor à la papeterie.

  • Les tribulations d’une caissière

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    C’est sûr que ce n’est pas ce qu’elle rêvait de faire lorsqu’elle était petite mais certains évènements ont conduit Solveig (Déborah François) à devenir caissière chez Parody. Avec un père dans le coma, il lui fallait absolument un boulot pour prendre soin de son petit frère Anatole (Jean-Baptiste Fonck) et c’est ainsi qu’elle est devenue caissière. Une expérience difficile mais également riche au point qu’elle a crée un blog appelé Caisse à dire qui rencontre un succès incroyable et qui est en train de mettre à mal toute la grande distribution. Tout le monde ignore que c’est Solveig qui est la rédactrice de ce blog et c’est pour la démasquer que Marie (Elsa Zylberstein), une journaliste, joue les fausses caissières.

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    Comme le dit si bien le film à un moment donné ; pour une fois qu’on parle des caissières et de leurs difficiles conditions de travail, on va prêter une attention toute particulière à cette petite comédie de Pierre Rambaldi. Avec Les tribulations d’une caissière, on a droit à la radiographie d’une catégorie professionnelle souvent invisible à nos yeux ; l’occasion d’ailleurs de reconnaitre des évènements que vous avez vous-mêmes vécu. Néanmoins, le thème abordé ne réussit pas à camoufler les faiblesses de cette comédie avec un développement pour le moins classique et quelques dialogues qui sonnent creux. A voir seulement si vous avez déjà fait toutes les courses de la semaine !

     

    Il faut le voir pour : Faire preuve d’un peu plus de respect envers les caissières quand vous irez faire vos courses.

  • Un baiser papillon

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    Cela fait 6 mois que Billie (Valeria Golino) a appris qu’elle était gravement malade ; atteint d’un cancer elle est condamnée et doit se résoudre à abandonner son mari Louis (Vincent Perez) et ses 2 filles Manon & Fleur (Roxanne Depardieu & Iman Perez). Jusqu’à présent elle avait gardé le secret sur sa santé mais avec sa chimiothérapie, elle ne peut plus leur cacher la vérité. Seule sa pote d’enfance Marie (Elsa Zylberstein) était au courant ; elle aussi traverse une période difficile. Elle tente désespérément de tomber enceinte mais à l’âge de 38 ans, il semble qu’il y ait peu d’espoir qu’elle connaisse la joie d’être mère.

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    Pour sa première réalisation au cinéma, Karine Silla a su s’entourer d’un casting particulièrement soigné notamment avec un trio de comédiennes qui ne manque pas de charmes. A notre grand regret, les présences de Valeria Golino, Elsa Zylberstein & Cécile De France ne suffisent pas à insuffler une âme à ce film. Dès les premières minutes, on est bombardé par une galerie de personnages dont on découvre progressivement les liens qui les unit mais on pressent qu’il manque déjà quelque chose. A force de vouloir faire à tout prix un film choral, Un baiser papillon se retrouve dénué d’émotions et donc d’intérêt ; un bel écrin mais pas de bijou pour l’accompagner.

     

    Il faut le voir pour : Croire aux miracles !

  • Il y a longtemps que je t’aime

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    C’est l’heure des grandes retrouvailles pour Léa & Juliette (Elsa Zylberstein & Kristin Scott-Thomas) ; deux sœurs qui ont été séparées depuis maintenant 15 ans. Juliette vient en effet de purger une longue peine de prison et pour privilégier sa réinsertion dans la société, il a été convenu qu’elle viendrait vivre avec Léa et sa famille. Pour l’entourage, l’arrivée de cette sœur mystérieuse est une vraie surprise car beaucoup ignoraient jusqu’à son existence. Quant à Juliette, elle reste encore repliée sur elle-même, la douleur est toujours présente jusqu’au plus profond de son être et rien ne semble pouvoir la soulager si ce n’est le soutien et l’amour de ses proches.

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    Ecrivain de métier, Philippe Claudel se lance désormais dans l’univers du cinéma en passant derrière la caméra. Un film qui brille avant tout par une magnifique interprétation du duo d’actrices Elsa Zylberstein/Kristin Scott Thomas mettant en valeur toute la dramaturgie de l’histoire. Il fallait bien une grande performance pour incarner ces 2 sœurs liées par une vérité suffocante où peine et souffrance semblent sans fin. A partir d’un sujet particulièrement difficile, le nouveau réalisateur fait preuve d’une grande pudeur évitant ainsi de tomber dans les facilités du mélodrame. Dans la plus pure tradition du genre, Il y a longtemps que je t’aime fera certainement craquer les plus émotifs d’entre vous.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus offrir des poupées aux petites filles.

  • La fabrique des sentiments

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    A bientôt 37 ans, Eloïse Hautier (Elsa Zylberstein) a une belle carrière qui s’ouvre devant elle ; si tout se passe bien elle deviendra prochainement notaire. Point de vue professionnel, c’est donc le grand bonheur mais on ne peut pas en dire autant de sa vie privée. Alors qu’autour d’elle les couples se forment, les familles se créent ou s’agrandissent ; notre pote n’a pas encore trouvé l’homme idéal. Lassé de son statut de célibataire, elle s’est décidée à sauter le pas et de s’inscrire à une soirée de Speed dating. Grand bien lui en a pris puisque c’est à cette occasion qu’elle rencontre Jean-Luc (Bruno Putzulu), bel avocat qui a tout du futur mari mais Eloïse sait que sa vie n’est pas aussi simple.

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    Le bonheur, concept ou réalité ? Comment dans son fonctionnement la société nous façonne selon ses propres règles de sorte que nous essayons tous de reproduire un même modèle social. Voilà en gros ce que vous propose La fabrique des sentiments où l’on suit le portrait d’une jeune femme indépendante perdue dans le labyrinthe de l’amour. Si Elsa Zylberstein est aussi charmante que convaincante on se lasse vite de son existence tortueuse. Si vous avez déjà le moral dans les chaussettes à cause de votre solitude fuyez vite car ce film risque de vous mettre plus bas que terre.

     

    Il faut le voir pour : Vite vous chercher quelqu’un pour ne pas finir seul(e).

  • Le concile de pierre

     

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    Les joies de la grossesse, notre pote d’enfance Laura (Monica Bellucci) ne les connaîtra jamais mais cela ne l’empêchera pas de profiter du bonheur d’être mère. C’est ainsi que le destin l’a conduit auprès de Liu-San (Nicolas Thau), un enfant qui fut abandonné alors qu’il n’avait que 2 mois. Quelques années plus tard, on les retrouve menant une vie totalement ordinaire jusqu’au jour où une mystérieuse marque apparaît sur le corps du jeune garçon. Chose d’autant plus étrange que sa mère et lui-même font des cauchemars similaires et si Liu-San n’était pas un enfant ordinaire ?

     

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    Le moins que l’on puisse dire c’est que ce film est assez mystique avec un scénario empruntant divers éléments à des récits mongols et virant vite au fantastique. C’est d’ailleurs assez troublant puisque le début du Concile de pierre vous plonge dans un quotidien tout ce qu’il y a de plus banal puis projette le spectateur au sein d’une histoire finalement peu crédible. Malgré la présence d’un trio féminin prestigieux avec Bellucci/Deneuve/Zylberstein, on est rapidement happé par un profond ennui et on oubliera vite ce film.

  • J'invente rien

     

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    Voilà 5 ans que Mathilde et Paul (Elsa Zylberstein & Kad Merad) se sont rencontrés et vivent ensemble mais le couple s’est installé dans la routine. Mathilde voudrait notamment que Paul se bouge un peu pour trouver un travail lui qui n’a pas vraiment de vocation mais qui a le don de s’intéresser à des choses totalement futiles. Après avoir effectué un essai sur le marché de son beau-père, notre pote sait ce qu’il veut faire : inventeur et très bientôt l’idée de la Poignette va révolutionner sa vie !

     

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    Rien que pour la belle Elsa Zylberstein je serais allé voir ce film mais comme les sorties sont assez pauvres en ce moment, une bonne petite comédie française c’est pas de refus ! J’invente rien ne restera pas dans les mémoires mais c’est un bon divertissement grâce essentiellement à ses comédiens avec le couple Zylberstein/Merad très rafraîchissant. Quelques bonnes idées (notamment pour le dénouement du film) mais ça manque de peps pour en faire une bonne comédie.