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antoine de caunes

  • Cendrillon au Far West

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    Bienvenue à Felicity City où règnent Felicity et ses 2 filles Harmony & Melody et si vous vous présentez devant elles, mieux vaut avoir sous la main un beau cadeau ! Des présents dont ne profite pas réellement notre pote Cendrillon considérée par sa belle-mère Felicity comme une vulgaire domestique mais la visite du prince Vladimir va changer beaucoup de choses. Alors que la marâtre essaie de le marier à l’une de ses filles ; le shaman Petite fumée qui a promis de veiller sur Cendrillon va la transformer afin qu’elle puisse assister au bal. La soirée se termine de façon brutale avec une bagarre générale dans le bar où notre belle héroïne va finir par perdre une dent que s’empresse de récupérer Vladimir.

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    C’est un mariage aussi curieux qu’il aurait pu donner un résultat plutôt intéressant si techniquement ou du moins du point de vue créatif ça avait suivi. C’est dur de s’imposer Cendrillon au Far West quand on a connu l’excellence des studios Blue sky ou Pixar. Non seulement ici les graphismes ne sont pas loin d’être laids mais en plus de ça la mise en scène manque cruellement de dynamisme au point qu’on a parfois l’impression que l’action se passe au ralenti. Quant à la transposition de l’univers de la célèbre héroïne de Charles Perrault ou des frères Grimm au Far West, elle s’est effectuée sans réelle volonté de nous proposer quelque chose d’original. Un film qui s’est vite transformé en citrouille flétrie.

     

    Il faut le voir pour : Essayer la Verveine !

  • Coluche - L’histoire d’un mec

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    La France a besoin de rire et pour cela elle peut compter sur Coluche (François-Xavier Demaison) dont le succès va grandissant. Pourtant dans la vraie vie, Michel Colucci rit beaucoup moins au vu de la situation du pays et de l’anémie des politiques à cet égard. C’est un 29 Septembre 1980, en apercevant Giscard à la télévision que le déclic se fait ; il va devenir candidat aux élections présidentielles. Au départ, tout le monde prend ce projet fou comme une vaste plaisanterie mais lorsque les premiers sondages révèlent plus de 10 % d’intentions de vote, on le prend plus au sérieux. Devenu une menace pour le paysage politique, il va subir de nombreuses menaces pour se retirer de cette course présidentielle.

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    Faire un film sur Coluche, c’est toucher à un personnage cher au cœur des français, un homme qui aura marqué notre histoire. Pour son premier grand rôle au cinéma, François-Xavier Demaison est bluffant ; sur certaines scènes on a réellement l’impression de revoir l’humoriste disparu. Coluche - L’histoire d’un mec revient donc sur l’aventure politique du comique où il a été complètement été dépassé par les évènements. Si on apprécie le portrait de Coluche nuancé par ses vices (alcool, drogue), le film est terriblement plat. De Caunes fait le service minimum pour laisser ensuite s’exprimer les talents de Demaison, Drucker & Gourmet.

     

    Il faut le voir pour : Offrir des bottes.

  • 48 heures par jour

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    Ils vivaient heureux comme de nombreux couples mais leur quotidien a fini par exaspérer notre pote Marianne (Aure Atika), femme et mère de famille. Son mari Bruno (Antoine De Caunes) passe ses journées et une bonne partie de ses soirées au boulot et a finit par négliger sa vie famille au grand dam de ses enfants Pauline & Clément (Manon Boisseau & Tristan Aldon). Marianne en a marre de tout gérer et de se laisser marcher sur les pieds professionnellement parlant ; elle décide donc d’annoncer à son mari qu’elle doit partir pour une mission pour l’étranger durant 6 mois. Bruno est confronté à un cauchemar ; il va devoir s’occuper des enfants !

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    Une fois encore les histoires de couples viennent égayer nos écrans et 48 heures par jour vient épingler le comportement irresponsable des mâles. L’homme représenté ici par Bruno est un primate qui n’a pas beaucoup évolué depuis 10 000 ans, il est un work-addict et est souvent greffé à son journal L’équipe quand il n’est pas devant Téléfoot. Au pays des préjugés, le film de Catherine Castel est roi et si cela peut nous faire sourire pendant quelques instants ; on se retrouve vite devant la platitude du film. Le duo Antoine De Caunes/ Aure Atika n’est pas du tout convaincant et le manque de rythme et d’humour vous fait vite oublier le reste.

     

    Il faut le voir pour : Etre heureux de rester célibataire.

  • Désaccord parfait

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    30 ans ! Voilà plus de 30 ans que nos potes Louis Ruinard & Alice d’Abanville (Jean Rochefort & Charlotte Rampling) ne se sont pas revus. Ils furent autrefois un des couples les plus populaires de France mais leur histoire s’est mal terminée entre ce réalisateur et son actrice, sa muse. Aujourd’hui, Louis est venu en Angleterre dans le cadre de la promotion de son dernier film, l’occasion pour lui de se voir récompensé par un BATAR d’honneur remis par Alice. Les retrouvailles risquent d’être explosives.

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    Le film débute plutôt bien avec des répliques savoureuses et un duo Rampling/Rochefort charmant mais le reste ne suit pas du tout le même rythme. Passé les 20 premières minutes, cette comédie réalisée par Antoine De Caunes s’embourbe vite dans un profond ennui dont on attend péniblement la fin. Sans surprises, Désaccord parfait est une comédie légère qui ne vaut le coup d’œil que si vous appréciez les principaux interprètes. On est donc loin de la perfection promise !