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bruno ricci

  • 3 days to kill

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    Non seulement sa dernière mission en Serbie a été un désastre mais en plus de cela, notre pote Ethan Renner (Kevin Costner) vient d’apprendre qu’un cancer va l’achever d’ici 6 mois. Le temps lui manque et celui qui était jusqu’ici un agent hors-pair de la CIA veut remettre un peu d’ordre dans sa vie. C’est ainsi qu’il fait ses valises pour Paris où vivent sa femme Christine (Connie Nielsen) et sa fille Zooey (Hailee Steinfeld) qu’il a bien trop délaissées ces dernières années. On ne s’improvise pas père du jour au lendemain et il y a aussi des rancœurs difficiles à effacer mais Ethan est prêt à faire des efforts. Cependant, il n’avait pas prévu sa rencontre avec Vivi Delay (Amber Heard) qui a besoin de ses talents et lui propose un traitement expérimental pour se soigner.

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    Le retour de Kevin Costner nous rendait déjà assez pessimiste mais à la réalisation on a McG  et un léger espoir persiste alors. Mais lorsqu’au générique apparait le nom de Luc Besson présent comme producteur mais surtout en tant que co-scénariste, un frisson nous parcourt. On ne va pas se mentir, l’histoire de 3 days to kill est à la fois dépassée et parsemée d’idées préconçues. Qu’il s’agisse des personnages ou des situations, on ne frôle même plus le ridicule on tombe à pied joint dedans. Le must étant tout de même cette belle leçon de vélo au Sacré cœur, il y a de quoi pleurer … de rire. Sinon, il parait aussi qu’il y a de l’action mais on se retrouve tellement désespéré par le reste que cela passe inaperçu. Vous avez 1H56 à tuer ? Allez vous promener !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre père de vous apprendre à faire du vélo !

  • La confrérie des larmes

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    Depuis la mort de sa femme, notre pote Gabriel (Jérémie Renier) n’est plus que l’ombre de lui-même ; cet ancien flic a noyé son désespoir dans l’alcool. Sa fille Juliette (Mélusine Mayance) reste sa dernière bouée de secours mais il a besoin d’argent pour régler notamment une dette de plus de 16 000 euros. A sa grande surprise, il apprend que quelqu’un a effacé son ardoise ; un homme qu’il connait bien puisqu’il avait témoigné en sa faveur il y a quelques années. Celui qui se faisait le Gitan (Antoine Basler) a bien changé, il mène une vie de luxe grâce à son job incroyable dont il va proposer à Gabriel d’en prendre la suite mais sait-il réellement dans quoi il s’engage ?

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    Un type en costard qui doit faire des livraisons, ça rappelle un peu le principe du Transporteur mais la comparaison s’arrête là. Malgré son talent Jérémie Renier n’étant pas Jason Statham, La confrérie des larmes veut mettre surtout l’accent sur le suspense seulement on s’interroge sur ce scénario dont la conclusion laisse pantois. Il est vraiment difficile d’avaler cette histoire et quand bien même ce serait le cas on n’est pas plus convaincu par le personnage de Gabriel, ancien flic désabusé par la mort de sa femme qui synthétise les clichés. Oui, ce thriller risque en effet de faire couler quelques larmes et pas de joie !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus prendre de vin à table.