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  • Premières vacances

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    C’était son premier rencard obtenu avec Tinder et notre pote Ben (Jonathan Cohen) n’est pas prêt d’oublier cette soirée. Il a fait la connaissance de Marion (Camille Chamoux) et ils ont plutôt bien accroché au point qu’ils vont immédiatement passer les vacances ensemble. A peine quelques jours après leur rencontre, les voilà à bord d’un avion à destination de la Bulgarie. Un voyage que Marion a organisé et elle a déniché un bon plan pour se loger chez l’habitant mais cela n’a pas l’air de plaire à son nouveau partenaire. Il faut dire que ce dernier n’a rien d’un aventurier et il est loin de se sentir à l’aise. Après un léger incident dans le jardin, le couple va devoir reprendre la route et d’autres surprises vont bientôt pointer le bout de leur nez !

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    Il s’était jusqu’à présent illustré à travers des clips vidéo et des publicités, le réalisateur Patrick Cassir s’attaque maintenant au cinéma avec ce premier long-métrage. Polyvalent, il s’occupe d’un scénario écrit à deux mains en collaboration avec sa compagne qui est aussi l'héroïne du film. Le résultat est une comédie qui repose plus sur la sympathie qu’on a envers le duo Camille Chamoux / Jonathan Cohen que sur l’humour qui est pour le moins assez discret. Ce qui n’arrange rien c’est également que le personnage de Ben est très caricatural. Il y a certes de bons moments mais rien pour que ces Premières vacances soient réellement inoubliables.



    Il faut le voir pour : Canyoning !!!

  • 16 ans ou presque

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    Avec un baccalauréat obtenu avec 3 ans d’avance, il était écrit que notre pote Arnaud Mustier (Laurent Lafitte) aurait un brillant avenir. On ne n’y est pas trompé puisqu’à 34 ans, c’est un homme accompli à la fois avocat pénaliste mais également philosophe et écrivain à ses heures perdues. Pour beaucoup c’est un modèle à suivre mais certainement pas au gout de son petit frère Jules (Victor George), un adolescent plus intéressé par les filles et les jeux vidéos que par la perspective de structurer son point de vue. Deux frères qui n’ont donc rien en commun cependant quand Arnaud apprend qu’il est atteint de LTCD et qu’il va vivre l’adolescence qu’il n’a pas vécue ça change tout !

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    Le retour à l’adolescence n’est pas un thème nouveau au cinéma si bien que Tristan Séguéla pour son premier n’a pas forcément choisi la facilité. Pas la peine d’aller plus loin pour révéler que le succès de 16 ans ou presque repose totalement sur les épaules de l’éclaboussant Laurent Lafitte. Que ce soit en philosophe tiré à 4 épingles ou en ado dévorant un Radical au grec, il est juste irrésistible. Beaucoup de rythme (et aussi de clichés) avec quelques barres de rire (oui moi aussi je suis resté jeune) notamment avec le ménage supervisé par Mouni. Voilà une bonne petite comédie convenue à souhait mais qui fait quand même du bien aux zygomatiques !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les femmes qui portent des doudounes !!

  • Pop redemption

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    Avez-vous déjà entendu parler des Dead Makabés ? Non, c’est normal car le groupe de Black Metal de notre pote Alex (Julien Doré) se fait plutôt discret bien malgré lui. Pourtant ils vont se voir offrir une opportunité incroyable en participation au célèbre festival de musique le Hellfest. Profitant d’un désistement de dernière minute, ils vont pouvoir révéler leur talent au grand public, enfin il faut le dire vite. C’est vrai que JP, Pascal & Erik (Grégory Gadebois, Jonathan Cohen & Yacine Belhousse) ne partagent plus vraiment le même enthousiasme qu’avant car beaucoup de choses ont changé ; des enfants, des responsabilités font que leur priorité n’est plus forcément la musique. Ils vont pourtant vite devoir retrouver une cohésion puisqu’ils vont avoir sur les bras la mort accidentelle d’un homme !

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    C’est bien connu ; les métalleux sont tatoués, s’habillent en noir et ont les cheveux longs. A contrario, les amateurs de pop arborent des couleurs flashies et pourraient participer à un concours de sosies des Beatles. Oui Pop redemption ne manque pas de clichés par contre il y a beaucoup d’autres choses qui manquent à cette comédie et en premier lieu de l’humour. C’est à peine si j’ai esquissé un sourire (cette brève scène où Yue-You répond au téléphone d’abord avec l’accent asiatique qui a fait son effet) devant les mésaventures de ce quatuor de garçons qui luttent plus qu’ils ne sont portés par le vent et si la musique adoucit les mœurs ça ne nous rend pas moins impatient. Une comédie qui procure autant de plaisir que le Hellfest pour un amateur de Mozart.

     

    Il faut le voir pour : Participer à la prochaine fête de la fraise !

  • Amour & turbulences

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    Elle pensait que c’était son jour de chance mais notre pote Julie (Ludivine Sagnier) va vite déchanter. Plutôt contente d’être surclassée pour ce vol reliant New-York à Paris, elle a la désagréable surprise d’avoir comme compagnon de route Antoine (Nicolas Bedos), un ex. Leur histoire date d’il y a maintenant 3 ans et ils ne se sont pas vraiment quitté en bons termes d’où une certaine tension pour ces retrouvailles inattendues. Tout avait pourtant bien commencé entre eux ; une rencontre dans des toilettes, une danse en haut de la Tour Eiffel et l’éternel séducteur qu’est Antoine était tout simplement tombé amoureux alors comment leur relation a-t-elle bien pu s’achever ?

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    La seule véritable surprise de cette nouvelle comédie romantique c’est d’avoir confié l’un des premiers rôles à Nicolas Bedos. Le comédien débutant signe par ailleurs les dialogues qui restent, dans l’ensemble, assez sages alors qu’on aurait apprécié retrouver la plume acerbe qui a fait sa réputation. En dehors de ça, pas grand-chose à signaler, on sait dès le départ dans quoi on s’est embarqué avec Amour & turbulences et on passe plutôt un bon moment. La participation de Clémentine Célarié mais aussi de Michel Vuillermoz, Jonathan Cohen & Jackie Boyer apportent également un petit plus.

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce qu’il faut faire au restaurant si votre femme vous demande de commander pour elle !

  • Un plan parfait

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    Dans la famille de notre pote Isabelle (Diane Kruger), il existe une malédiction qui fait que le 1er mariage est toujours un échec. C’est pour cette raison qu’elle hésite à épouser Pierre (Robert Plagnol), l’homme qu’elle aime depuis 10 ans mais sans mariage, elle ne pourra pas non plus connaitre les joies de la maternité. L’opération Stimorol est donc lancée : Isabelle part au Danemark pour épouser quelqu’un et divorcer aussitôt mais son plan connait un imprévu. Elle doit donc improviser et trouver le premier crétin venu qui acceptera de l’épouser et c’est ainsi qu’elle croise la route de Jean-Yves (Dany Boon), journaliste pour le guide du routard. Si l’épouser semble n’être qu’une formalité, se séparer de lui sera une autre paire de manche !

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    Après la belle surprise que fut L’arnacœur, Pascal Chaumeil continue de malmener les relations amoureuses avec cette famille frappée par cette incroyable malédiction. Un nouveau couple se forme pour l’occasion avec Diane Kruger & Danny Boon, vedettes d’une comédie qui ne manquera pas de vous faire voyager un peu. La découverte de beaux paysages sont aussi là pour dissimuler un scénario dont on a rapidement fait le tour et qui se repose sur un duo sympathique mais pas plus attachant que ça. Un plan parfait est loin d’être extraordinaire mais pour les amateurs de comédies romantiques légères, vous vous en contenterez largement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous donner des surnoms sinon vous êtes libres de donner une claque !

  • Le village des ombres

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    8 Aout 2008. Un groupe de 9 jeunes ont décidé de passer un séjour ensemble dans le petit village de Ruiflec où les attende une grande maison. Tout allait bien jusqu’à ce qu’ils approchent de ce village ; Hugo (Djédjé Apali) qui conduisait la seconde voiture a voulu partir en éclaireur mais quelques secondes après, on retrouve le véhicule abandonné au beau milieu de la route. Emma (Christa Theret) s’inquiète pour sa sœur qui était à bord de cette voiture mais dans un premier temps, ils vont devoir rejoindre la maison pour clarifier un peu la situation. A peine sont-ils entrés que Lucas (Axel Kiener) disparait à son tour et pour eux le cauchemar ne fait que commencer.

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    Un groupe de jeunes potes d’enfance, des disparitions inexpliquées et une malédiction antique ; vu comme ça l’histoire de ce film en rappelle mille autres. Le village des ombres n’a cependant rien pour vous faire sursauter du siège, le réalisateur Fouad Benhammou semble plus occupé à soigner les détails historiques qui illustrent son scénario qu’à vouloir nous donner des frayeurs. Réalisation parfois curieuse (la séquence de l’automobiliste très mal intégrée), des révélations qui surgissent alors que le spectateur ne cherche déjà plus à comprendre ; c’est encore un bel échec dans un genre qui ne réussit guère au cinéma français.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les vacances à Ruiflec, c’est mort niveau ambiance.