Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

alexandre astier

  • Astérix - Le secret de la potion magique

    cinéma, film, animation,

    cinéma, film, animation,

    C’est une catastrophe, Panoramix s’est blessé alors qu’il cueillait du gui ! Rien de grave cependant il a une jambe immobilisée et cet incident lui a fait prendre conscience qu’il n’était pas éternel. Pour le bien du village, il faudrait qu’il puisse ainsi transmettre le secret de sa fameuse potion magique et veut donc trouver son successeur mais c’est un choix à ne pas prendre à la légère car la formule pourrait tomber entre de mauvaises mains. En parlant justement de ça, Sulfurix a été informé de cette succession et lui qui fut autrefois chassé du conseil des druides a une idée derrière la tête. Pendant ce temps, Astérix & Obélix vont accompagner Panoramix dans ses recherches et un invité inattendu va se joindre à eux.

    cinéma, film, animation,

    Astérix - Le domaine des Dieux avait acté l’arrivée d’Alexandre Astier dans l’univers des irréductibles gaulois, une formule qui a fait ses preuves et reprise ici. Les images de synthèse font toujours autant de merveilles, les romains continuent de se faire martyriser et tout cela avec une bonne dose d’humour qui séduira les enfants de tout âge. Astérix - Le secret de la potion magique s’offre même le luxe de nous proposer un scénario original donnant encore un peu plus d'intérêt à ces aventures ! A noter enfin un petit changement pour nos oreilles puisque Roger Carel cède sa place de doubleur d’Astérix à Christian Clavier qui avait incarné le héros dans les premières versions live.


    Il faut le voir pour : Apprendre qu’on ne peut pas s’improviser Druide, même quand on est poissonnier !

     

    En savoir plus sur Astérix - Le domaine des Dieux ?

  • Astérix - Le domaine des Dieux

    star 03.5.jpg

    AFF.jpg

    C’est en allant chasser le sanglier que nos potes Astérix, Obélix et Idéfix sont tombés sur Anglaigus. Ce romain a en fait été chargé par César de construire le Domaine des Dieux au cœur de cette foret d’Armorique. L’empereur romain espère ainsi que sous l’influence de la société, ce village d’irréductibles gaulois sera enfin sous sa coupe ! Bien sur, Astérix n’entend pas leur faciliter la tache mais les premiers romains prennent possession des lieux et leur arrivée est plutôt bien acceptée par les autres gaulois. Il faut dire qu’il s’agit là d’une nouvelle clientèle et certains y voient l’occasion de faire fructifier leurs commerces.

    01.jpg

    Après le film de Laurent Tirard, notre héros gaulois revient pour ses 9èmes aventures sous forme d’un film d’animation. Première grande révolution pour nos héros nationaux avec le passage à l'animation 3D et qu'on se rassure, le résultat est réussi avec des graphismes de toute beauté et on ne peut plus fidèles à l’œuvre originale. L'autre grande nouveauté c'est l'apport d'Alexandre Astier qui participe à la réalisation, au doublage et au scénario ce qui se ressent à travers certains dialogues où on retrouve la patte du créateur de l’univers de Kaamelott. Astérix - Le domaine des Dieux est une excellente adaptation qui redonne une seconde jeunesse à nos gaulois préférés !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir des gaulois civilisés !

  • Pop redemption

    star 01.jpg

    aff.jpg

    Avez-vous déjà entendu parler des Dead Makabés ? Non, c’est normal car le groupe de Black Metal de notre pote Alex (Julien Doré) se fait plutôt discret bien malgré lui. Pourtant ils vont se voir offrir une opportunité incroyable en participation au célèbre festival de musique le Hellfest. Profitant d’un désistement de dernière minute, ils vont pouvoir révéler leur talent au grand public, enfin il faut le dire vite. C’est vrai que JP, Pascal & Erik (Grégory Gadebois, Jonathan Cohen & Yacine Belhousse) ne partagent plus vraiment le même enthousiasme qu’avant car beaucoup de choses ont changé ; des enfants, des responsabilités font que leur priorité n’est plus forcément la musique. Ils vont pourtant vite devoir retrouver une cohésion puisqu’ils vont avoir sur les bras la mort accidentelle d’un homme !

    01.jpg

    C’est bien connu ; les métalleux sont tatoués, s’habillent en noir et ont les cheveux longs. A contrario, les amateurs de pop arborent des couleurs flashies et pourraient participer à un concours de sosies des Beatles. Oui Pop redemption ne manque pas de clichés par contre il y a beaucoup d’autres choses qui manquent à cette comédie et en premier lieu de l’humour. C’est à peine si j’ai esquissé un sourire (cette brève scène où Yue-You répond au téléphone d’abord avec l’accent asiatique qui a fait son effet) devant les mésaventures de ce quatuor de garçons qui luttent plus qu’ils ne sont portés par le vent et si la musique adoucit les mœurs ça ne nous rend pas moins impatient. Une comédie qui procure autant de plaisir que le Hellfest pour un amateur de Mozart.

     

    Il faut le voir pour : Participer à la prochaine fête de la fraise !

  • David et Madame Hansen

    star 03.jpg

    2860351406.8.jpg

    Notre pote David (Alexandre Astier) a fait les frais du chamboulement de planning. Il avait prévu de passer l’après-midi avec sa fiancée Clémence (Julie-Anne Roth) accompagnée de son petit-frère Hugo (Victor Chambon) qui fête son anniversaire mais cet ergothérapeute se retrouve à jouer les accompagnateurs. On lui a en effet confié une patiente : Madame Hansen-Bergmann (Isabelle Adjani) avec qui il doit se rendre en ville afin d’acheter une paire de chaussures. Fraichement arrivé dans cette clinique suisse, il ne s’imaginait pas refuser cette mission et se retrouve désormais avec une patiente au comportement imprévisible. Une sortie, loin d’être une partie de plaisir, qui va se terminer par une plongée dans le traumatisme passé de cette femme.

    01.jpg

    Les fans l’attendaient avec l’adaptation au cinéma de l’univers de Kaamelott et bien en fait Alexandre Astier surprend tout le monde avec sa première réalisation sur grand écran. Pour lui tenir compagnie, il n’a pas choisi n’importe qui puisque c’est Isabelle Adjani qui vient ici jouer les amnésiques et qui n’a pas sa langue dans sa pocher. On se laisse ainsi séduire par les échanges parfois acerbes entre ce médecin et sa patiente, un duo qui trouve immédiatement ses marques et qui imprègne totalement permettant de mieux faire passer un scénario bien trop prévisible. Astier entre dans la cour des grands sans trop de difficultés même si, comme pour l’héroïne, David et Madame Hansen ne restera pas dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à oublier parfois les procédures.

  • Philibert

    aff.jpg

    Il n’y a encore pas si longtemps, Philibert (Jérémie Rénier) était fils d’un cultivateur d’artichauts mais son monde s’écroule lorsqu’il apprend que son père n’était pas vraiment son père. Il est en fait fils de Fulgence Bérendourt de Saint-Avoise qui fut tué par l’infâme Clotindre (Alexandre Astier) et maintenant qu’il connait la vérité, il doit accomplir sa vengeance. Sur sa route, il croise tout d’abord Martin (Manu Payet) qui deviendra son valet mais surtout il va faire la rencontre de sa vie ; la belle Inès (Elodie Navarre). Il en est convaincu elle est la femme pour laquelle il s’est préservé durant toutes ces années et le destin va les réunir à Nevers.

    01.jpg

    Avec Philibert, on ne se prend pas au sérieux et donc il faut savoir apprécier le second degré pour s’offrir quelques tranches de rigolades. A titre de comparaison, on pourrait l’assimiler à un espèce de OSS 117 médiéval (pas étonnant puisque Jean-François Halin signe les scénarios des 2 films) si ce n’est qu’avec son collant moule-b…., notre héros n’a vraiment pas peur du ridicule. Il y a d’excellentes idées (le discours de la libération des galériens, les accolades très masculines …) mais la comédie de Sylvain Fusée offre un rythme inégal pour réellement nous emballer et c’est bien dommage. On passe toute de même du bon temps et Philibert mériterait qu’on le revoie dans de nouvelles aventures.

     

    Il faut le voir pour : Vous préparer une bonne salade de groin et réserver du croupion pour votre gente dame.

  • Lol (Laughing out loud)

    aff.jpg

    C’est la reprise des cours pour Lola (Christa Theret), c’est triste et excitant à la fois. Alors qu’elle se faisait une joie de retrouver son Arthur (Félix Moati), ce dernier lui avoue qu’il a couché avec une autre fille durant l’été juste pour voir comme il dit. Evidemment, Lola le prend très mal et leurs relations vont vite devenir délétères mais heureusement qu’elle est bien entourée notamment par son meilleur ami Maël (Jérémy Kapone). Ces deux là passent de plus en plus de temps ensemble et ce qui devait arriver arriva ; ils tombent amoureux l’un de l’autre. Le seul souci c’est que Maël est aussi le pote d’enfance d’Arthur et qu’il a l’impression de le trahir.

    02.jpg

    Comment ne pas repenser à La boum surtout lorsque Sophie Marceau elle-même vient remettre le flambeau à la jeune Christa Theret. Evidemment, Lol (Laughing out loud) s’est adapté à son époque et les SMS, la communication par MSN Messenger ou encore les sorties au McDo constituent désormais le quotidien des adolescents d’aujourd’hui. Cette comédie est réussie car fidèle, sans excès dans le portrait dressé des jeunes et surtout un humour tout public. C’est donc l’occasion pour les parents et leurs enfants adolescents de passer un peu de temps ensemble dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : ne plus s’étonner de la disparition du poulet du frigo.

  • Home sweet home

    aff.jpg

    Pour son anniversaire, on lui avait organisé une jolie fête mais Claire (Judith Godrèche) n’est revenue chez elle que le lendemain. En guise de surprise, elle n’a pas été déçue puisqu’elle a découvert son petit-ami Edwin (Nicolas Gob) au lit avec une autre femme. Ni une, ni deux, elle part se ressourcer dans la maison familiale auprès de son père Albert (Daniel Prévost) et de leur pote d’enfance Gédéon (Patrick Chesnais). Sa venue coïncide avec un fait divers qui chamboule tout le village, la mort suspecte d’un homme va déterrer un lourd secret familial concernant la jeune femme.

    01.jpg

    Nombreux sont les spectateurs qui seraient tentés de quitter la salle au bout de la première demi-heure tant on s’ennuie ferme ! Non pas que le reste de Home sweet home soit beaucoup mieux mais au moins il y a un peu plus d’animation et quelques scènes susceptibles de vous faire rire. Maigre lot de consolation avec le tête à tête entre Patrick Chesnais & Lorant Deutsch ou encore avec le personnage totalement caricatural du flic gaffeur. En dehors de ça, le manque de rythme et le peu d’humour rendent donc le film plus que quelconque.



    Il faut le voir pour : S’assurer que votre scooter volé n’as pas été volé/retrouvé par des flics