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film - Page 181

  • Love n’dancing

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    C’est à l’occasion d’une conférence donnée au sein de l’école où travaille notre pote Jessica (Amy Smart) que celle-ci a rencontré Jake (Tom Malloy). Il était venu pour parler de son handicap ; il est sourd mais cela ne l’a pas empêché d’être un grand danseur et de remporter à 2 reprises l’U.S. Open avec son ex-femme Corinne (Nicola Royston). Aujourd’hui, il donne des cours de danse et il a d’ailleurs invité Jessica à y assister et pour elle ça tombe bien car elle va prochainement célébrer son mariage avec Kent (Billy Zane). Alors que le couple s’était inscrit aux cours, le futur mari semble plus motivé par son travail que de faire plaisir à sa fiancée. Au contact de sa nouvelle élève, Jake voit naitre une envie folle : participer de nouveau aux U.S. Open.

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    De l’amour et de la danse, en voilà un programme réjouissant du moins pour les demoiselles car le public masculin risque lui de rapidement s’endormir si ce n’est de s’enfuir. Alors ici pas de super chorégraphies façon Sexy dance, c’est de la danse beaucoup plus classique à laquelle on a droit et si visuellement c’est moins impressionnant, ça n’en reste pas moins expressif. Dans son genre, Love n’dancing ne prend aucun risque, pire il se complait à nous proposer un personnage merveilleusement empathique - sourd mais aussi maladroit en séduction - histoire de se mettre les spectateurs dans la poche. On est quand même plus proche du téléfilm que du long-métrage de cinéma.

  • Une bouteille à la mer

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    Septembre 1997. Un nouvel attentat a frappé Jérusalem dans un café que notre pote Tal (Agathe Bonitzer) connait bien puisqu’il est situé tout près de chez elle. Cette violence la laisse totalement abasourdie et elle rédige alors une lettre qu’elle glisse dans une bouteille et qu’elle confie à son frère Eytan (Abraham Belaga) pour la jeter à la mer. Quelques temps plus tard, cette même bouteille est découverte par un groupe de jeunes hommes sur une plage de Gaza. Parmi eux, Naïm (Mahmud Shalaby) se décide à répondre au message de Tal en utilisant le pseudonyme de Gazaman. Mails après mails, une belle amitié commence à naitre mais pourra-t-elle résister face au conflit qui oppose leurs peuples ?

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    Le conflit Israélo-palestinien s’éternise et pose encore et toujours de nombreuses questions. Adaptation du roman de Valérie Zenatti, Une bouteille à la mer nous présente les interrogations et les espoirs d’une israélienne et la volonté d’un palestinien de vivre un jour libre. Autant on se sent concerné par le destin réservé au personnage de Naïm, autant on se désintéresse complètement de ce que traverse la jeune Tal. En faisant preuve de magnanimité, on sera sensible au message (un peu trop utopique) de paix et de fraternité qui se dégage de ce film par contre sa réalisation dépassée nous donne la sensation d’être devant un téléfilm plutôt que d’une œuvre de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Répondre aux messages que vous trouverez dans les bouteilles jetées à la mer !

  • Recherche bad boys désespérément

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    Parce qu’elle a désespérément besoin d’argent, notre pote Stéphanie Plum (Katherin Heigl) a sollicité l’aide de son cousin. Tout ce que celui-ci a pu lui offrir c’est un job de chasseur de primes et malgré le fait qu’elle n’y connaisse strictement rien dans ce domaine, elle est plutôt motivée d’autant plus que sa première cible est une vieille connaissance : Joseph Morelli (Jason O’Mara). Il s’agit d’un flic accusé d’avoir assassiné de sang froid un homme et si jamais elle parvient à lui mettre le grappin dessus, elle pourrait empocher une belle récompense de 50 000 $. On ne s’improvise pas du jour au lendemain chasseur de primes aussi Stéphanie va-t-elle devoir faire appel au Ranger (Daniel Sunjata).

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    En survolant le scénario, on avait un peu peur que ce film de Julie Anne Robinson ne soit qu’une pale copie de Le chasseur de primes et cela n’aurait peut-être pas été plus mal ! Il n’y a vraiment que les fans de l’actrice Katherin Heigl (et encore…) qui sauront trouver leur compte devant cette comédie fadasse où le scénario inutilement complexe vient totalement anesthésier le peu d’humour présent. Le duo Heigl / Jason O’Mara offre autant de plaisir qu’une fête de Saint-Valentin pour des célibataires à partir de là, l’adaptation de l’héroïne de la romancière Janet Evanovich fonce droit vers le mur. Recherche bad boys désespérément est à l’image de son titre français c’est-à-dire ridiculement mauvais.

     

    Il faut le voir pour : Toujours répondre présent à une femme qui vous demande de l’aide … surtout quand elle est complètement nue !

  • Underworld : Nouvelle ère

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    L’affrontement entre les vampires et les lycans a duré des siècles durant et ce à l’insu des humains. Lorsque ceux-ci ont pris conscience de l’existence de ces abominables créatures, la peur les a poussés à leur déclarer la guerre et c’est une véritable purge qui commençait alors. Le danger est partout et nos potes Sélène & Michael (Kate Beckinsale & Scott Speedman) vont en faire les frais puisqu’ils sont poursuivis avant d’être capturés. Au moment où Sélène reprend conscience, elle se retrouve dans un laboratoire mais ignore encore qu’elle est restée endormie pendant 12 ans ! Elle était le sujet d’expérimentations d’un groupe appelé Antigen mais il y a également un autre cobaye avec qui elle partage un lien particulier.

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    Mine de rien, la saga Underworld fait son petit bonhomme de chemin puisqu’on accueille là le 4ème épisode qui a des faux airs de reboot de la saga. Après le précédent volet qui empruntait la voix du prequel, on retrouve Kate Beckinsale 12 ans après l’avoir quitté (dans le scénario j’entends) l’occasion de découvrir de nouveaux visages et probablement les héros des éventuelles séquelles. A part ça, Underworld : Nouvelle ère propose quelques scènes d’action pêchues parfois un peu brouillonnes en revanche c’est très gore et donc plutôt réjouissant pour quelques spectateurs comme moi. Au début, le scénario prenait une direction intéressante mais on revient vite à du basique pour nous pondre un divertissement sans grandes prétentions.

     

    Il faut le voir pour : Prendre garde aux personnes qui ont des yeux bleus !


    En savoir plus sur Underworld 2 - Evolution ?

    En savoir plus sur Underworld 3 : Le soulèvement des lycans ?


  • Transformers 3 - La face cachée de la Lune

    Bonjour Humains !

     

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    01.jpgMon nom est Optimus Prime, je suis le leader des Autobots et nous nous sommes réfugiés sur Terre à la suite de notre guerre menée contre les Decepticons. Je viens d’apprendre que votre gouvernement m’a caché des informations cruciales : lorsque le 1er homme a posé le pied sur la Lune, il avait une tout autre mission !

     

    J’ai ainsi appris qu’un engin s’était écrasé sur la lune et qu’il s’agissait en fait de l’Arche mené par mon mentor Sentinel Prime contenant également une arme primordiale.

     

    02.jpgSentinel fut avant moi celui qui conduisait les Autobots et durant la guerre sur Cybertron et il avait mis au point un système de téléportation qui aurait pu nous permettre de vaincre nos ennemis. Désormais, les Decepticons veulent s’en emparer mais rassurez-vous nous vous protégerons de cette nouvelle menace !

     

     

    En savoir plus sur Transformers 3 - La face cachée de la Lune ?

    En savoir plus sur Transformers ?

    En savoir plus sur Transformers 2 La revanche  ?

  • La taupe

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    Le Circus. Siège des services de renseignements britanniques dirigés par Control (John Hurt). Une information capitale est parvenue à ses oreilles, il existerait une taupe parmi eux et il confie à Jim Prideaux (Mark Strong) le soin de se rendre à Budapest pour obtenir ce précieux renseignement. L’opération tourne au fiasco et l’agent Prideaux est froidement abattu. Un an plus tard, le gouvernement britannique reçoit un coup de fil d’un certain Ricky Tarr (Tom Hardy) qui relance la rumeur de la taupe. On fait alors appel à George Smiley (Gary Oldman), ancien membre du Circus et proche de Control afin de tirer toute cette histoire au clair et découvrir l’identité du traitre qui sommeille dans leurs rangs.

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    C’est l’un des rares films que j’ai été amené à revoir dans la foulée ! Non pas que j’ai été emballé mais tout simplement parce que j’avais été totalement largué lors de la première séance au point d’être incapable de vous résumer l’histoire. Il est ainsi impératif au spectateur de rester très attentif devant La taupe pour ne serait-ce que comprendre la trame scénaristique car un simple mot ou un nom évoqué suffit pour vous entrainer en un autre lieu ou  à une autre époque. La mise en scène de Tomas Alfredson, le papa de Morse, semble au premier abord amorphe mais j’avoue que ce n’est qu’à la seconde vision que j’ai pu entrevoir toutes les subtilités de la réalisation et apprécier comme il se doit les prestations d’un casting impressionnant. Une 3ème séance ne serait peut-être pas inutile !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il n’est pas si facile de déterrer une taupe !

  • La vida loca

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    Grandir au Salvador est un combat de tous les jours et l’avenir s’y écrit souvent en pointillé. Deux gangs ; les Mara Salvatrucha et les 18 se livrent une guerre sans merci pour des raisons qu’ils ont finit par oublier. Aujourd’hui, chaque coup porté à un clan est aussitôt rendu par l’autre, le sang coule à flot et le nombre de victimes ne cesse d’augmenter chaque année ; un cercle vicieux qui semble sans fin. L’appartenance à un gang est aussi fort que les liens du sang, une fierté que chacun n’hésite pas à arborer au travers de leurs nombreux tatouages faits de la tête au pied constituant dans le même temps de parfaites cibles pour leurs rivaux. Christian Poveda vit au Salvador depuis le début des années 1980 et a décidé de consacrer ce documentaire sur la vie de ces gangs.

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    Le cinéma s’était déjà intéressé au sujet à travers le film Sin nombre mais lorsqu’on se retrouve devant La vida loca, on se rend réellement compte que la réalité dépasse largement la fiction. Le réalisateur Christian Poveda a payé cher son investissement dans ce projet puisqu’il fut assassiné avant la sortie de ce documentaire dans nos salles obscures. Sa caméra suit le quotidien de ces membres ; certains tentent de retrouver une vie normale, d’autres ne pensent qu’à défendre l’honneur de leur clan quoi qu’il en soit la violence fait partie de leur vie. Un documentaire brut, sans complaisance et tout simplement fascinant qui nous fait ouvrir les yeux sur une bien triste réalité face à laquelle les autorités salvadoriennes semblent bien impuissantes.

  • Zarafa

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    Alors qu’il avait été fait prisonnier par un marchand d’esclaves, Maki est parvenu à s’enfuir et a trouvé refuge en haut d’un arbre. A son réveil, il se retrouve face à un curieux animal ; une girafe accompagné de son enfant avec lesquels il va rapidement sympathiser. Malheureusement pour lui, l’esclavagiste est encore sur ses traces et Moreno tue froidement la grande girafe pour convaincre Maki de le suivre mais c’était sans compter sur l’intervention d’Hassan ! Ce bédouin est venu en aide au jeune garçon mais aussi pour récupérer la petite girafe désormais orpheline afin de satisfaire les vœux du Pacha d’Egypte. Pas question pour Maki d’abandonner son nouveau pote d’enfance à qui il va donner le nom de Zarafa.

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    L’histoire de Zarafa s’inspire d’une histoire vraie puisque la 1ère girafe à avoir foulé le sol français fut en effet un présent pour s’assurer du soutien de notre pays dans l’occupation égyptienne par les Turques. Tout de suite on est frappé par la qualité des dessins avec notamment de magnifiques arrière-plans qui nous font voyager du désert jusqu’aux rues de Paris. De ce coté là on est donc plutôt satisfait mais là où ça pèche c’est du coté de l’animation, les scènes manquent de fluidité si bien que dans l’ensemble cela parait assez statique. Notons pour l’anecdote qu’à la réalisation on retrouve Jean-Christophe Lie associé à un certain Rémi Bezançon (Un heureux évènement / Le premier jour du reste de ta vie …).

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais se mettre derrière un hippopotame !

  • Elles

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    Anne (Juliette Binoche) travaille en tant que journaliste pour Elles et rédige actuellement un article sur un sujet sulfureux : les escort-girls. Derrière cette appellation bon chic bon genre, se cache tout simplement une nouvelle forme de prostitution et elle est parvenue à obtenir les témoignages de 2 jeunes femmes. Pour l’une comme pour l’autre, ce sont les événements de la vie qui les ont conduites à exercer une telle activité. Charlotte (Anais Demoustier) n’a aucune envie d’avoir une vie aussi insipide que ses parents tandis qu’Alicja (Joanna Kulig), étudiante étrangère s’est retrouvée dans une situation inconfortable à son arrivée en France.

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    C’est un thème peu évident à traiter et on reconnaitra à la réalisatrice Malgorzata Szumowska le mérite de ne pas considérer le monde de la prostitution à la légère. A travers l’implication de ses 2 actrices que sont Anaïs Demoustier & Joanna Kulig, on assiste à des scènes de sexe parfois crues dont l’intérêt est plutôt illusoire. Au-delà du portrait de ces 2 jeunes femmes s’esquissent ensuite les frustrations d’une épouse et mère de famille incarnée par Juliette Binoche et à partir de là on ne sait plus trop où donner de la tête. Les vies de ces 3 personnages finissent par se chevaucher les unes sur les autres sans parvenir à nous captiver bref Elles risquent de séduire que peu de spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous énerver contre votre frigidaire

  • Detachment

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    Il arrive lorsqu’un professeur vient à s’absenter. Notre pote Henry Barthes (Adrien Brody) est le nouveau professeur d’anglais du lycée de New-York, un remplacement qui durer 1 mois le temps qu’un titulaire soit désigné. Avec lui les choses sont simples : si vous n’avez pas envie d’assister à ses cours alors vous êtes libres d’aller voir ailleurs. Des méthodes expéditives à l’image d’un homme torturé, il vit seul mais veille sur son grand-père qui n’a plus toute sa tête. Un soir, après s’être rendu auprès de ce dernier, Henry croise le chemin d’Erica (Sami Gayle), une jeune prostituée qu’il va prendre sous son aile. Il l’invite ainsi à l’héberger dans son studio et va tenter de la remettre sur le droit chemin.

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    Au départ, je m’attendais à voir un film dans la lignée d’Esprits rebelles où un prof débarque dans un établissement difficile et parvient à tirer le meilleur de ses élèves. Finalement, Detachment porte plutôt bien son nom car il est bien loin de ce genre quelque peu idéaliste pour mieux proposer une analyste pour le moins pessimiste du système scolaire et de notre société. Si notre pote Adrien Brody est impressionnant dans son rôle, il est également bien accompagné avec l’actrice Sami Gayle malgré tout on reste assez impassible devant ce film très sombre. Difficile en effet de sortir de la salle avec la banane ; on nous confronte à un constat désastreux sans jamais réellement y proposer une quelconque issue ce qui nous laisse clairement sur notre faim.

     

    Il faut le voir pour : Vous rendre disponible pour la prochaine réunion avec les professeurs de vos enfants.