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  • All inclusive

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    Notre pote Bruno (François-Xavier Demaison) avait remporté un séjour All inclusive en Guadeloupe dont il comptait en profiter en couple mais il y a eu un imprévu. Le passeport de sa fiancée est périmé si bien qu’elle ne peut pas voyager et cela va lui servir de prétexte pour régler ses comptes. Ce dernier ne sait toujours pas quoi faire ; la rejoindre pour recoller les morceaux ou partir et c’est à ce moment-là qu'apparaît Jean-Paul Cisse (Franck Dubosc). Bruno va finalement s’envoler et essayer de profiter de ce voyage mais lorsqu’il arrive au Club Princess, il apprend qu’il va devoir partager la suite nuptiale et pas avec n’importe qui. C’est Jean-Paul qui va partager son lit et inutile de vous dire que cette cohabitation va réserver son lot de surprises.

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    Nos potes Fabien Onteniente et Franck Dubosc se retrouvent de nouveau au bord de la plage pour ce Camping 4 … ah au temps pour moi, on me dit que le titre est All inclusive ! C’est donc un univers très familier qui se dévoile à nous et pour nous mettre encore plus à l’aise, l’ombre des Bronzés plane au-dessus de cette comédie. Mieux que ça, Josiane Balasko & Thierry Lhermitte viennent en quelque sorte passer le relais ou est-ce plutôt pour constater les dégâts ? Hormis un cadre idyllique et cet hommage appuyé à la troupe du Splendid, il n’y a pas grand chose qui ressorte de ce film surtout au niveau de l’humour. Il fallait s’en douter ; quand ces forfaits “Tout inclus”, la qualité n'est pas toujours au rendez-vous.


    Il faut le voir pour : Prévoir une parka pour vos prochaines vacances à la mer !

  • Arrête ton cinéma !

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    Elle vient à peine d'achever le tournage d'un film que notre pote Sybille (Sylvie Testud) est déjà prête à se lancer dans un nouveau projet. C'est en fait un coup de fil d'Ingrid (Zabou Breitman) qui a précipité les choses puisqu'elle a entendu dire que l'actrice était en train d'écrire un scénario basé sur son histoire personnelle. Ingrid & Brigitte (Josiane Balasko) sont productrices et veulent miser sur ce film mais dans le métier, elles n'ont pas une très bonne réputation. Malgré cela, Sybille se lance dans l'aventure et se jette à corps perdu - au grand dam de sa famille - sur l'écriture du scénario qui va cependant subir de nombreuses modifications !

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    La réalisatrice Diane Kurys adapte le roman C'est le métier qui rentre de Sylvie Testud et cette dernière s'est naturellement imposée pour le rôle de l’héroïne. Celles que l'on remarque surtout ce sont bien évidemment Zabou Breitman & Josiane Balasko merveilleusement horribles en productrices envahissantes. Que ce soit pour dénaturer un scénario, martyriser un assistant ou piquer une colère pour une histoire de toilettes, elles savent semer la zizanie. Arrête ton cinéma ! est une comédie loin de faire dans la finesse mais qui sait tout de même se montrer par moments amusante.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier que ce qui compte dans un film ce sont ses personnages !

  • Les vacances du petit Nicolas

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    Le meilleur moment de l’école ça reste quand même le moment où arrivent les grandes vacances et cette année, le jeune Nicolas (Mathéo Boisselier) et ses Parents (Valérie Lemercier & Kad Merad) partent à la mer ! Si son père savoure de pouvoir enfin profiter des joies de la plage, il se réjouira moins de devoir partir avec Mémé (Dominique Lavanant). De son coté, Nicolas est plutôt triste de devoir s’éloigner de la belle Marie-Edwige mais il lui écrira très régulièrement et puis il va aussi se faire plein de nouveaux potes d’enfance. La seule chose qu’il n’avait pas prévu ce sont les retrouvailles entre son père et M. Bernique (Bouli Lanners) et l’arrivée dans sa vie d’Isabelle destinée à devenir sa prochaine épouse !

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    A l’instar de notre pote Ducobu, c’est cette fois au héros de Goscinny & Sempé de profiter des vacances d’été et de se faire un lifting puisque le petit Maxime Godard est remplacé ici par Mathéo Boisselier. En dehors de ça, pas de chamboulements à l’horizon ; le duo Valérie Lermercier / Kad Merad répond présent, Dominique Lavanant joue les mamies 1 bonbon = 1 bisou et puis on a quelques guests par-ci par-là tout cela dirigé par Laurent Tirard. On peut d’ailleurs regretter que le réalisateur n’ait pas tenté d’apporter quoi que ce soit avec cette nouvelle adaptation. Les vacances du petit Nicolas ne vous proposera rien de surprenant, c’est une comédie calibrée pour un public purement familial avec son humour bon enfant tout ça les pieds dans le sable !

     

    Il faut le voir pour : Penser à envoyer une carte postale à votre patron !

     

    En savoir plus sur Le petit Nicolas ?

  • Les mondes de Ralph

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    30 ans que ce jeu existe et qu’il continue de ravir les joueurs d’arcade, c’est un évènement et l’heure est bien sur à la fête. Pourtant, Ralph n’a même pas été invité lui qui incarne le méchant de Fix-It Felix et qui aimerait bien être davantage apprécié. Et si jamais il était récompensé d’une médaille, peut-être qu’on le verrait autrement c’est ainsi qu’il décide de s’incruster dans un autre jeu Hero’s duty pour obtenir le fameux sésame. Son plan ne se déroule pas comme prévu et il va se retrouver propulsé dans un autre univers ; celui de Sugar Rush. Pendant ce temps, son absence se fait sentir dans Fix-It Felix et s’il ne revient pas très vite, le jeu risque d’être débranché définitivement.

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    C’est presque un passage obligé pour petits et grands, le Disney cru 2012 va aussi séduire quelques gamers puisqu’on célèbre l’univers du jeu vidéo. Il y a un certain temps de chargement avant que l’on pénètre pleinement dans Les mondes de Ralph et plus particulièrement dans l’univers coloré et acidulé de la mignonne petite Vanellope Von Schweetz. S’il rend hommage aux jeux  vidéos dans les 20 premières minutes et par la suite à travers quelques clins d’œil, on sent que le public enfantin est par la suite bien plus privilégié. Les grands fans vidéoludiques risquent d’être un peu déçu mais ça n’empêche pas ce film d’être un joli moment de bonheur.

     

    Il faut le voir pour : Vous replonger dans les jeux rétros !

  • Comme des frères

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    "Et si vous le faisiez quand même ce voyage ?", telles sont les dernières volontés de leur pote Charlie (Mélanie Thierry) et pour lui rendre hommage ils sont décidés à le faire immédiatement. Boris, Elie & Maxime (François-Xavier Demaison, Nicolas Duvauchelle & Pierre Niney) prennent ainsi la route pour la Corse avec l’espoir d’évacuer un peu de leur tristesse. Au fil de la route, des souvenirs remontent à la surface ; Charlie était pour eux plus qu’une amie et c’est d’ailleurs par son intermédiaire qu’ils se sont connus. Ils n’avaient rien en commun et l’entente n’était pas évidente au début mais au fil des années ils ont appris à se connaitre et sans vraiment s’en rendre compte ils sont devenus comme des frères !

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    Un road-movie croisé à un bon film de potes, voilà le cocktail préparé par Hugo Gélin pour sa toute première réalisation et dans l’ensemble c’est plutôt réussi ! On apprécie d’abord la bande qu’il a formé avec tout d’abord la rayonnante Mélanie Thierry mais les vraies vedettes sont évidemment ces frères Demaison/ Niney / Duvauchelle. Trois personnalités totalement différentes et, c’est là le principal reproche, un peu trop formatées mais qui parviennent à dégager une vraie complicité. Comme des frères fonctionne également grâce à quelques dialogues qui font mouche ; rires et émotion sont donc au rendez-vous et le grand public devrait sans difficultés y trouver son compte.

     

    Il faut le voir pour : Oublier le costume de Charlot pour votre prochaine soirée costumée.

  • Il était une fois, une fois

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    C’est avec plein d’espoir que Willy Vanderbrook (François-Xavier Demaison) débarque en France ; il a en effet rendez-vous pour un important rendez-vous qui pourrait lui ouvrir les portes de la conciergerie du prestigieux hôtel Westin Paris Vendôme. Malgré un CV impeccable, sa candidature n’est pas prise au sérieuse en raison de ses origines belges et cela il a bien du mal à l’accepter. Histoire de régler les comptes, il décide avec ses potes d’enfance Serge & Frank (Charlie Dupont & Jean-Luc Couchard) de retourner à l’établissement en se faisant passer cette fois pour un membre de la famille royale belge. Un subterfuge qui trompe tout le monde et même Jessica (Anne Marivin) mais lorsqu’elle découvre la vérité, elle s’en sert comme moyen de pression pour commettre un casse mémorable.

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    Nos voisins belges sont de nouveau à l’honneur et c’est bien évidemment à travers une comédie qu’ils viennent défendre leurs couleurs. Si on connait déjà bien Jean-Luc Couchard, on découvre un peu plus Charlie Dupont entourant le duo Marivin / Demaison dans un film où les blagues fusent avec quelques répliques bien senties. On notera également une succulente apparition en guest-star de Stéphane Bern, le spécialiste ès de la royauté. Au final, Il était une fois, une fois est une comédie tout ce qu’il y a de plus sympathique où l’ on retrouve un petit échantillon d'idées reçues pour mieux les tourner en dérision et qui saura vous faire passer un bon moment et vous donner la frite.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à reconnaitre les différents accents belges !

  • Zarafa

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    Alors qu’il avait été fait prisonnier par un marchand d’esclaves, Maki est parvenu à s’enfuir et a trouvé refuge en haut d’un arbre. A son réveil, il se retrouve face à un curieux animal ; une girafe accompagné de son enfant avec lesquels il va rapidement sympathiser. Malheureusement pour lui, l’esclavagiste est encore sur ses traces et Moreno tue froidement la grande girafe pour convaincre Maki de le suivre mais c’était sans compter sur l’intervention d’Hassan ! Ce bédouin est venu en aide au jeune garçon mais aussi pour récupérer la petite girafe désormais orpheline afin de satisfaire les vœux du Pacha d’Egypte. Pas question pour Maki d’abandonner son nouveau pote d’enfance à qui il va donner le nom de Zarafa.

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    L’histoire de Zarafa s’inspire d’une histoire vraie puisque la 1ère girafe à avoir foulé le sol français fut en effet un présent pour s’assurer du soutien de notre pays dans l’occupation égyptienne par les Turques. Tout de suite on est frappé par la qualité des dessins avec notamment de magnifiques arrière-plans qui nous font voyager du désert jusqu’aux rues de Paris. De ce coté là on est donc plutôt satisfait mais là où ça pèche c’est du coté de l’animation, les scènes manquent de fluidité si bien que dans l’ensemble cela parait assez statique. Notons pour l’anecdote qu’à la réalisation on retrouve Jean-Christophe Lie associé à un certain Rémi Bezançon (Un heureux évènement / Le premier jour du reste de ta vie …).

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais se mettre derrière un hippopotame !

  • Beur sur la ville

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    Villeneuve-sous-bois dans le 9-9. Alors que le préfet Flaubert (Roland Giraud) vient célébrer la nouvelle promotion de Lieutenants de police des Basses-Seines, il est interpellé sur le fait que parmi ces officiers aucuns ne soient réellement issus de ce qu’on appelle des minorités visibles. Il charge alors Picolini (François-Xavier Demaison) de régler cette affaire et celui-ci va se faire un plaisir de dénicher l’homme le plus incompétent au monde : Khalid Belkacem (Booder). Pour ne pas faire les choses à moitié, on confie à ce nouveau lieutenant de police une affaire sordides de meurtres qu’il va devoir résoudre. C’est la débâcle assurée pense-t-on d’autant que Khalid ne se sent pas très à l’aise dans ses nouvelles fonctions mais il n’est pas au bout de ses surprises.

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    Pour moi, le cinéma de Djamel Bensalah est proche de celui d’un Fabien Onteniente ; les 2 réalisateurs sont là pour nous faire rire et ils connaissent les ficelles de la comédie sur le bout des doigts. La seule chose c’est qu’ils peinent réellement à se renouveler mais tant que le succès est au rendez-vous, pourquoi changer ? Par son physique atypique, notre pote Booder se voit offrir le premier rôle de Beur sur la ville mais ça tire plus sur le one-man show qu’autre chose assisté par un parterre de guest-stars (Jean-Claude Van Damme, Frédéric Beigbeider, Ramzy Bedia, Popeck, Gérard Jugnot …). Une comédie trop poussive à l’image d’un scénario qu’on aurait apprécié plus simplifié et rarement drôle, ça se laisse voir mais peut-être pas sur le grand écran.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les pressings indiens.

  • Nicostratos, le pélican

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    Notre pote Yannis (Thibault Le Guellec) vit sur l’ile de Zora en Grèce dans un petit village où tout se sait rapidement. Un jour, en faisant les livraisons pour son père Demosthene (Emir Kusturica), le garçon tombe sur un oiseau dans un sale état et fait tout pour le recueillir. Il n’hésite pas à échanger la croix dont il avait hérité de sa mère disparue pour obtenir ce qui s’avèrera être un pélican. Il décide de l’appeler Nicostratos et fait tout son possible pour le cacher des yeux de son père mais difficile de garder la discrétion quand on a un pélican qui grandit. Il va apprendre à voler et sa présence va surprendre tous les habitants de Zora allant jusqu’à rendre l’ile célèbre et attirer de nombreux touristes.

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    C’est assez curieux de voir Emir Kusturica ou François-Xavier Demaison dans ce genre de films mais c’est vrai aussi que pour faire plaisir aux enfants, on peut s’autoriser quelques concessions. Oui, vous l’aurez compris, cette jolie histoire entre un jeune garçon et son pote d’enfance le pélican réunit tous les ingrédients indispensables pour un divertissement familial. Pour les spectateurs plus avisés ; Nicostratos, le pélican présente évidemment beaucoup moins d’intérêt que ce soit pour son scénario basique inspiré par le roman d’Eric Boisset que par le jeu parfois hésitant du jeune Thibault Le Guellec.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner de voir un pélican réclamer des olives pimentées !

  • Moi, Michel G, Milliardaire, Maître du monde

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    Réalisateur de documentaire, notre pote Joseph Klein (Laurent Laffitte) s’est bâti une réputation de  … peine à jouir mais cela ne l’empêche pas de se lancer dans un tout nouveau projet : suivre la vie trépidante de Michel Ganiant (François-Xavier Demaison). Tout le monde connait ce wonder-boy qui rafle tout ce qui se présente devant lui, un riche homme d’affaires qui n’a aucuns scrupules. Surpris que Michel ait accepté d’être suivi par les caméras, Joseph a bien conscience que ce self-made men entend utiliser ce film pour redorer son image auprès du grand public. D’ailleurs, il veut frapper un grand coup médiatique ; il s’apprête à racheter le groupe Provost appartenant à son plus grand rival Jérôme Prévost (Alain Doutey).

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    Toute ressemblance avec des personnes réelles serait totalement fortuite … ou pas ! Difficile en effet de ne pas penser à l’ex-Patron de Vivendi Jean-Marie Messier lorsque l’on voit Michel jouer au business-man ou encore à Carla Bruni devant cette femme milliardaire aux chansons engagées. Présenté à la manière d’un documentaire et comme son titre l’indique si bien, Moi, Michel G, Milliardaire, Maître du monde joue la carte de l’excès à l’image d’un homme atteint par la folie des grandeurs, portrait à peine voilé de tous ces patrons qui ne savent plus quoi faire de leur argent. Une comédie pas extraordinaire mais devant laquelle on passe un bon moment de détente.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’amener votre chien sur un yacht, il pourrait avoir le mal de mer ou être dévoré par un requin.