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stephen rea

  • Underworld : Nouvelle ère

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    L’affrontement entre les vampires et les lycans a duré des siècles durant et ce à l’insu des humains. Lorsque ceux-ci ont pris conscience de l’existence de ces abominables créatures, la peur les a poussés à leur déclarer la guerre et c’est une véritable purge qui commençait alors. Le danger est partout et nos potes Sélène & Michael (Kate Beckinsale & Scott Speedman) vont en faire les frais puisqu’ils sont poursuivis avant d’être capturés. Au moment où Sélène reprend conscience, elle se retrouve dans un laboratoire mais ignore encore qu’elle est restée endormie pendant 12 ans ! Elle était le sujet d’expérimentations d’un groupe appelé Antigen mais il y a également un autre cobaye avec qui elle partage un lien particulier.

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    Mine de rien, la saga Underworld fait son petit bonhomme de chemin puisqu’on accueille là le 4ème épisode qui a des faux airs de reboot de la saga. Après le précédent volet qui empruntait la voix du prequel, on retrouve Kate Beckinsale 12 ans après l’avoir quitté (dans le scénario j’entends) l’occasion de découvrir de nouveaux visages et probablement les héros des éventuelles séquelles. A part ça, Underworld : Nouvelle ère propose quelques scènes d’action pêchues parfois un peu brouillonnes en revanche c’est très gore et donc plutôt réjouissant pour quelques spectateurs comme moi. Au début, le scénario prenait une direction intéressante mais on revient vite à du basique pour nous pondre un divertissement sans grandes prétentions.

     

    Il faut le voir pour : Prendre garde aux personnes qui ont des yeux bleus !


    En savoir plus sur Underworld 2 - Evolution ?

    En savoir plus sur Underworld 3 : Le soulèvement des lycans ?


  • Blackthorn

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    Notre pote James Blackthorn (Sam Shepard) s’est installé voilà 20 ans en Bolivie où il élevait des chevaux mais il a décidé de retourner dans son pays natal, les États-Unis. Après avoir réuni tout son argent, il débute un voyage qui s’annonçait long mais au cours de sa route, il croise Eduardo Apocada (Eduardo Noriega) et après un échange de coups de feu ; James perd non seulement son cheval mais également toutes ses économies. Les 2 hommes finiront toutefois par s’associer car Eduardo prétend avoir caché un vrai trésor, un pactole s’élevant à 50 000 dollars qu’il a dérobé à un certain Patiño. Ce qu’il ignore c’est que l’homme qui l’accompagne a pour véritable nom Robert LeRoy Parker autrement dit le célèbre bandit Butch Cassidy que beaucoup croyaient mort.

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    Si tous les aspects d’un bon western sont effectivement réunis, on pourrait reprocher à ce film des scènes d’action trop discrètes malgré la magnifique séquence se déroulant dans le désert de sel. Il ne faut pas s’attendre avec Blackthorn à vous retrouver devant un biopic de Butch Cassidy, les exploits du célèbre bandit ne sont que suggérés à travers de courts flashbacks. De plus, il faut savoir qu’on aborde là une partie de sa vie qui est totalement fictive. Le film s’intéresse essentiellement au personnage qu’il est devenu et il va sans dire que Sam Shepard offre aux spectateurs que nous sommes une prestation de haute volée. Avec son aspect road-trip, le réalisateur Mateo Gil propose davantage une immersion psychologique et grâce au charisme de Cassidy, on est absolument conquis !

     

    Il faut le voir pour : Essayer une bouteille de Chicha une fois que vous serez en Bolivie !

  • Ondine

    Colin Farrell, Tony Curran, Stephen Rea, plus

    Syracuse (Colin Farrell) était en train de remonter ses filets de pêche quand il s’est aperçu qu’il a fait une prise pour le moins inattendue. Une jeune femme s’est en effet retrouvée au milieu des poissons et si au départ il pensait avoir à faire à un cadavre, il a vite compris qu’elle était encore en vie. Alors qu’elle reprend connaissance, le pêcheur souhaite l’emmener à l’hôpital mais celle qui se fait appeler Ondine (Alicja Bachleda-Curus) refuse tout contact avec le monde extérieur. Lorsque Syracuse raconte cette histoire invraisemblable à sa fille Annie (Alison Barry), cette dernière lui révèle qu’Ondine n’est autre qu’une Selkie, une créature légendaire.

    Colin Farrell, Tony Curran, Stephen Rea, plus

    L’histoire se présente comme un conte de fée mais le cadre dans lequel il se déroule nous ramène à une tout autre réalité. Rêve ou réalité ? C’est la question que l’on se pose durant tout le film jusqu’à ce que la conclusion nous ramène les pieds sur terre. Ondine débute donc comme une fable, une femme attrapée dans les filets d’un pêcheur et considérée comme une créature fantastique : la Selkie. C’est la découverte d’un mythe irlandais à travers un film peu chaleureux, les couleurs sont sombres et donc on ne plonge jamais complètement dans ce coté fantasmagorique et puis l’accent irlandais de Farrell finit par nous taper sur les nerfs !

     

    Il faut le voir pour : Continuer à croire aux sirènes.