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billy zane

  • Titanic

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    On dit de lui qu’il est un chasseur de trésors mais notre pote Brock Lovett (Bill Paxton) est avant tout un passionné d’histoire. Il s’est ainsi mis en tête de retrouver un précieux bijou ; le Cœur de l’océan qui serait enfoui dans les profondeurs des mers auprès du célèbre Titanic. Pour le moment, ses recherches ne lui ont permis de ne trouver qu’un dessin où apparait justement le bijou ; une découverte qui va réveiller des souvenirs chez une certaine Rose DeWitt Butaker (Gloria Stuart/ Kate Winslet). Elle est l’une des rares survivantes du naufrage du Titanic et le fait de revoir ce portrait d’elle-même fait remonter à la surface de merveilleux souvenirs. Durant son voyage pour l’Amérique, elle avait connu sa plus belle histoire avec Jack Dawson (Leonardo DiCaprio).

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    Sur le papier, c’était déjà un projet monumental et James Cameron a su combler les attentes des spectateurs avec cette remarquable renaissance du Titanic. Devenu un classique du cinéma pour certains, il faut quand même dire que le film surfe sur les clichés à travers les personnages de Cal & Jack et que la romance entre Kate Winslet & Leonardo DiCaprio est un torrent de guimauve. Un reproche qui est habilement noyé en un tour de bras avec le spectaculaire naufrage si bien que les 3H10 coule aussi harmonieusement qu’une rivière. Aussi colossal que l’était le bateau, c’est un film qui ne peut laisser indifférent que ce soit pour cette belle d’histoire d’amuuur ou pour l’incroyable reconstitution de cet accident historique.

     

    La version 3D : Comment celui qui a su imposer la 3D au cinéma avec son Avatar pouvait manquer la conversion de son Titanic à l’occasion du 100ème anniversaire de cet évènement dramatique ? Le paquebot est plus vrai que nature, sur certains plans on a vraiment l’impression d’être dans les cales ou sur le ponton où on pourra se prendre pour le roi du monde ! Plus anecdotique lorsqu’il s’agit d’assister à la romance du couple, c’est surtout lors du (attention spoiler) fameux naufrage qu’on en prend plein les yeux. C’est un film gigantesque qui prend toute son ampleur sur le grand écran alors ceux qui n’ont pas encore eu l’opportunité de voir le film le plus vu dans l’histoire du cinéma français peuvent se jeter à l’eau !!

  • Love n’dancing

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    C’est à l’occasion d’une conférence donnée au sein de l’école où travaille notre pote Jessica (Amy Smart) que celle-ci a rencontré Jake (Tom Malloy). Il était venu pour parler de son handicap ; il est sourd mais cela ne l’a pas empêché d’être un grand danseur et de remporter à 2 reprises l’U.S. Open avec son ex-femme Corinne (Nicola Royston). Aujourd’hui, il donne des cours de danse et il a d’ailleurs invité Jessica à y assister et pour elle ça tombe bien car elle va prochainement célébrer son mariage avec Kent (Billy Zane). Alors que le couple s’était inscrit aux cours, le futur mari semble plus motivé par son travail que de faire plaisir à sa fiancée. Au contact de sa nouvelle élève, Jake voit naitre une envie folle : participer de nouveau aux U.S. Open.

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    De l’amour et de la danse, en voilà un programme réjouissant du moins pour les demoiselles car le public masculin risque lui de rapidement s’endormir si ce n’est de s’enfuir. Alors ici pas de super chorégraphies façon Sexy dance, c’est de la danse beaucoup plus classique à laquelle on a droit et si visuellement c’est moins impressionnant, ça n’en reste pas moins expressif. Dans son genre, Love n’dancing ne prend aucun risque, pire il se complait à nous proposer un personnage merveilleusement empathique - sourd mais aussi maladroit en séduction - histoire de se mettre les spectateurs dans la poche. On est quand même plus proche du téléfilm que du long-métrage de cinéma.

  • Retour vers le futur 2

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    A peine est-il revenu dans son présent - en 1985 si vous êtes perdus - notre pote Marty McFly (Michael J. Fox) doit déjà repartir pour un nouveau voyage dans le temps. Cette fois, Doc (Christopher Lloyd) va le conduire dans un lointain futur ; en 2015 (!?!) car à cette date précise la famille McFly connait un grand bouleversement. Marty apprend ainsi qu’il a épousé son amour de jeunesse Lorraine (Léa Thompson) avec qui il a eu des enfants et c’est justement pour sauver ces derniers qu’ils sont là. Alors qu’ils tentent de remettre un peu d’ordre, le vieux Biff Tannen (Thomas F. Wilson) découvre l’existence de la machine à remonter le temps et va complètement chambouler la réalité.

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    Le dénouement du 1er épisode annonçait clairement une suite mais il faut savoir qu’elle n’était pas vraiment prévue. C’est donc 4 ans après le succès de Retour vers le futur et avec la pression des fans qu’on voit apparaitre ce second épisode qui nous mène cette fois dans le futur. On sourit un peu puisqu’aujourd’hui nous sommes aux portes de 2015 et on attend toujours l’invention de l’Overboard ou des chaussures aux lacets automatiques. Retour vers le futur 2 ne bénéficie plus de l’effet de surprise mais on est heureux de retrouver tous les personnages et de voyager successivement dans le futur, un présent alternatif et dans le passé tout en distillant quelques détails pour l’ultime épisode qui a été tourné simultanément.

     

    La scène à ne pas louper : Le retour au bal de la féérie dansante des sirènes.


    En savoir plus sur Retour vers le futur ?

  • Alien agent

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    Sans le savoir, des extraterrestres vivent parmi nous ; ils ont investi des corps humains pour mener à bien leur mission : créer un portail entre leur monde et la Terre qui deviendra leur nouveau foyer. S’ils parviennent à leurs fins, cela signifierait la disparition de l’espèce humaine mais heureusement notre pote Rykker (Mark Dacascos) a débarqué à son tour pour nous protéger. Originaire de la même planète que ces envahisseurs ; il est convaincu que leur race peut survivre sans pour autant éteindre l’humanité. Un grand combat s’annonce donc d’autant plus que le tyrannique Saylon (Billy Zane), le big boss de cette rébellion vient lui aussi d’arriver sur Terre.

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    Voilà un scénario véritablement palpitant et si élaboré qu’il ne peut être que l’œuvre de l’un des enfants des producteurs. Allez savoir comment ils ont réussi à obtenir des fonds pour mettre en chantier ce chef d’œuvre de médiocrité et à embarquer le pauvre Mark Dacascos qui n’est plus l’ombre de lui-même. L’ex Crying Freeman tente bien de sauver les apparences notamment durant les scènes d’action où il peut se mettre en valeur mais c’est malheureusement peine perdue. Alien Agent figure parmi les plus grands navets du cinéma sauf que là c’est tellement mauvais qu’on a même pas envie d’en rire.