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comédie - Page 64

  • Un jour mon père viendra

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    C’est une période difficile pour notre pote Bernard Beu (François Berléand) qui vient de perdre sa femme laissant derrière elle une fortune colossale. Il va cependant découvrir un tout autre trésor ; un coffret renfermant toutes les lettres de Chloé (Olivia Ruiz), une fille dont il ignorait jusque-là l’existence. Il part donc à sa recherche et se rend en France où il apprend que sa fille a déjà un père en la personne de Gustave (Gérard Jugnot). Chloé quant à elle est en froid avec ce père et on la retrouve à Bordeaux où elle mène un casting aussi fastidieux qu’insolite puisqu’elle cherche un comédien pour incarner son père ! La jeune femme se marie bientôt et a quelque peu enjolivé la vérité pour séduire l’ancien champion de tennis Stephen (Jamie Bamber).

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    Un jour mon père viendra va surtout faire parler de lui par rapport à la première apparition sur le grand écran de l’artiste Olivia Ruiz car le reste est franchement anecdotique. La prestation de la chanteuse est correcte avec encore quelques approximations mais elle ne parvient en aucun cas à illuminer l’ensemble. Le scénario aurait bien eu besoin de plus de clarté, on a un peu l’impression que l’histoire nous est vite jetée à la figure pour dérouler le reste. Quant à la paire Jugnot / Berléand, elle est sympathique et réussit à nous arracher quelques timides sourires mais largement insuffisant pour dépasser le stade d’une comédie totalement quelconque.



    Il faut le voir pour : Ba .. euh… en fait… allez portons un toast !

  • Retour vers le futur 3

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    1955. Notre pote Doc (Christopher Lloyd) vient de renvoyer Marty (Michael J. Fox) vers son époque mais à peine a-t-il le temps d’exprimer son soulagement que le jeune homme est déjà de retour du futur ! Petit rappel des faits, après avoir arraché l’almanach des mains de Biff Tannen (Thomas F.Wilson), nos 2 compères s’apprêtaient à regagner l’année 1985 mais la foudre a frappé la DeLorean et Doc s’est ainsi retrouvé propulsé en 1885, en plein Far-West. Marty doit désormais, avec l’aide du Doc de l’année 1955, lui aussi prendre la direction du passé car son ami court un grand danger. Selon les livres d’histoires, Emmett Brown sera abattu le 07 Septembre 1885 par un certain Buford Tannen.

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    Suite et fin d’une saga qu’aucun spectateur ne pourra oublier, on avait eu quelques indices disséminés dans Retour vers le futur 2 et c’est donc en plein Far-West que nous embarquent Doc & Marty. C’était potentiellement un des épisodes les plus intéressants malheureusement on sent bien que ça s’essouffle malgré quelques bons moments. C’est notamment l’occasion d’entendre  des cow-boys se moquer de Clint Eastwood ou d’assister au premier lancer de frisbee. En dehors de ça, Retour vers le futur 3 manque tout de même d’idées pour nous offrir un voyage véritablement marquant. Une conclusion en demi-teinte qui ne doit cependant pas nous empêcher de saluer une saga qui est pour le moins intemporelle.



    La scène à ne pas louper : Le départ de la DeLorean poussé par la locomotive !

     

    En savoir plus sur Retour vers le futur ?

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  • Let my people go

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    A la suite d’une histoire assez folle, notre pote Ruben (Nicolas Maury) et son compagnon Teemu (Jarkko Niemi) se sont violemment disputés provoquant la rupture du couple. C’est donc avec une infinie tristesse que Ruben revient en France pour se consoler auprès de sa famille mais là aussi les choses sont compliquées. Le voyage avait déjà mal commencé avec la perte de ses bagages et cela ne va faire qu’empirer. Il apprend ainsi que sa sœur Irène (Amira Casar) est à 2 doigts du divorce ce qui serait un cataclysme pour cette famille juive mais en plus de cela, il découvre que son père Nathan (Jean-François Stévenin) a une maitresse. Comme si cela ne suffisait pas, Ruben va également passer la nuit avec Maurice Goldberg (Jean-Luc Bideau), un ami de la famille déterminé à faire sa vie avec le jeune homme.

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    Les premières minutes annoncent la couleur, Let my people go n’est pas une comédie ordinaire ; on a devant nos yeux une famille juive pour le moins atypique. Un fils homosexuel, une fille au bord de la séparation, un père épris par une autre femme et tout cela donne des situations totalement imprévisibles. C’est l’occasion pour nous de découvrir davantage Nicolas Maury qui porte le film sur les épaules même si son rôle mais également son environnement rassemble trop de clichés. L’humour tourne parfois au grotesque mais sur la durée ce n’est pas une comédie qui saura se faire remarquer et il a toutes les chances de partir … oui mais sans vous !



    Il faut le voir pour : Mettre un casque à vos enfants quand ils font de la balançoire !

  • Odile Deray & Le critique - La cité de la peur

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    Le critique : Madame je n'écrirai rien sur ce film : c'est une merde !
    Odile Deray : Mais ça mérite une seconde vision ! Rappelez-moi !
    Le critique : Madame, je vous pisse à la raie !
    Odile Deray : Deray ! Odile Deray !




    En savoir plus sur La cité de la peur ?

  • 30 minutes maximum

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    Entre Dwayne (Danny McBride) et son père Le commandant (Fred Ward), les relations sont tumultueuses au point que le fils vient d’engager un tueur à gages pour l’éliminer. Il faut dire aussi qu’il est motivé par l’héritage qui lui reviendrait car son père, ancien militaire, a touché la coquette somme de 10 millions de dollars à la loterie. Avec son pote d’enfance Travis (Nick Swardson), il met donc au point un super plan déjà pour récupérer 100 000 $ afin de payer le tueur. Pour éviter de se salir les mains, ils vont simplement obliger quelqu’un à braquer une banque, une personne n’ayant aucuns rapports avec eux et c’est là qu’entre en jeu Nick (Jesse Eisenberg). Banal livreur de pizzas, celui-ci va se retrouver avec une veste bardée d’explosifs et il a 10 heures pour récupérer le fric sous peine de provoquer un sanglant feu d’artifices !

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    Ce n’est pas 1 mais 2 duos comiques que nous propose 30 minutes maximum avec d’un coté Jesse Eisenberg & Aziz Ansari (qui font un peu penser à Harold & Kumar) et de l’autre Danny McBride & Nick Swardson. Il y avait donc matière à nous faire marrer et effectivement c’est une récréation assez amusante distillant ici et là quelques références cinématographiques (dont une très discrète à The social network). Pour le reste, le scénario tient sur une pizza pate fine mais on se console avec un Eisenberg vraiment à l’aise et surtout avec son brillant sidekick, une paire qui prend vite l’ascendant sur l’autre. S’il ne saurait constituer une comédie indispensable, on passe toutefois un bon moment qui vous permettra de faire un petit break au cours de vos folles journées.

     

    Il faut le voir pour : Prendre des renseignements sur les centres de bronzage près de chez vous.

  • Échange standard

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    Véritables potes d’enfance, Dave & Mitch ( Jason Bateman & Ryan Reynolds) n’ont pourtant pas grand-chose en commun. Le premier est un brillant avocat et un père responsable à l’emploi du temps surchargé tandis que le second essaye par tous les moyens de faire décoller sa carrière d’acteur et collectionne les conquêtes. Après une soirée à regarder un match de base-ball et à descendre quelques shots, ils ont naturellement besoin de se soulager et trouvent ainsi une fontaine. Perdus dans leurs pensées, leur ivresse les amène à s’imaginer une vie où ils pourraient échanger leurs places. A ce moment précis, toutes les lumières s’éteignent brusquement et ils sont loin de s’imaginer que leur vœu vient de se réaliser : Mitch se réveille dans la peau de Dave et vice-versa.

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    Bon déjà ce n’est pas le scénario de cette comédie qui va réussir à nous convaincre ; ce n’est ni la première et certainement pas la dernière fois qu’on a droit à cet échange si particulier. Il y a eu des substitutions entre une mère et sa fille (Freaky Friday) ou encore une femme qui se retrouve dans le corps d'un homme (Une nana au poil) et là ce sont donc 2 potes d’enfance qui vont vivre cette curieuse expérience. Comme d’habitude, c’est l’occasion pour chacun de remettre sa vie en question et de se rendre compte de la chance qu’ils ont etc etc. La chanson est connue et cette énième réinterprétation n’amènera rien de vraiment intéressant si ce n’est quelques brefs moments de rigolades. Échange standard est effectivement bien standardisé et on n’aurait pas été mécontent que les scénaristes se creusent un peu plus les méninges.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de pisser n’importe où !

  • Le Havre

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    Vous le croiserez parfois à la gare du Havre ou bien alors dans les rues à proximité des magasins de chaussures ; notre pote Marcel Marx (André Wilms) gagne sa vie en cirant les chaussures. Evidemment, il ne roule pas sur l’or mais s’estime pourtant chanceux puisqu’il a rencontré la femme de sa vie en la personne d’Arletty (Kati Outinen). Ce qu’il ignore c’est que celle-ci est gravement malade et va devoir être prochainement hospitalisée, les médecins sont plutôt pessimistes sur son avenir. Dans le même temps, Marcel va se retrouver face à face avec Idrissa (Blondin Miguel), un jeune congolais qui s’est enfui d’un container qui devait se rendre à Londres et qui a atterrit par accident sur les quais du port du Havre.

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    Avant toute chose il est nécessaire de vous prévenir qu’il ne faut pas appréhender ce nouveau film d’Aki Kaurismäki au 1er degré sans quoi vous pourriez vous enfuir au terme du premier quart d’heure. Le Havre c’est d’abord une atmosphère particulière ; alors que l’action est censée prendre place en 2007, tout dans le film renvoie plutôt dans les années 1970-80. Un esprit décalé qui se manifeste également par le jeu des comédies volontairement grossier (principe auquel il faudra tout de même un certain temps d’adaptation). Une fois qu’on a pris la température ce qui ne sera pas facile pour tout le monde, on est sous le charme du personnage de Marcel Marx et on se laisse porter tout doucement par cette comédie.

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos potes asiatiques leurs véritables prénoms.

  • L’irlandais

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    Il est flic mais surtout il est irlandais ! C’est vrai que notre pote Gerry Boyle (Brendan Gleeson) est un homme plutôt atypique et quand une affaire de meurtres surgit dans un petit village non loin de Galway, il se dit que les ennuis ne font que commencer. Déjà, on lui colle dans les pattes un collègue Aidan MCBride (Rory Keenan) dont il se passerait volontiers et puis quelques temps après ce n’est rien moins que Wendell Everett (Don Cheadle), agent du FBI qui fait son apparition. Celui-ci est en effet à la recherche de Clive Cornell (Mark Strong) et de ses sbires impliqués dans une grosse affaire de drogues estimées à 500 millions d’euros (oui, un demi-milliard !). Qu’ils le veuillent ou non, Gerry & Wendell vont devoir s’entraider pour résoudre leurs affaires respectives dont ils découvrent un lien intéressant.

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    C’est vrai que c’est un duo qu’on aurait eu du mal à imaginer ; un irlandais pure souche au verbe aiguisé et au parler franc avec un agent américain plutôt habitué aux courbettes. L’irlandais réserve ainsi quelques bons moments soulevant quelques sourires et d’ailleurs il semble impératif de le voir en Version Originale où même là vous risquez de passer à coté de quelques références. Il n’est ici pas question de retrouver un duo à la Rush Hour, Gleeson accapare l’attention avec son personnage bourru mais cette comédie a tout de même du mal à trouver son rythme de croisière. Ce sont les spectateurs à la recherche d’un peu de fraicheur qui sauront se contenter d’un film loin de pouvoir s’imposer mais dans l’ensemble plutôt sympathique.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les saisies de drogues sont toujours surévalués.

  • Les boloss

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    Le lycée appartient désormais au passé et en attendant de rentrer à la fac, les vacances d’été débutent. Cela démarre plutôt mal pour Simon (Joe Thomas) qui se fait plaquer par Carli (Emily Head), une rupture qu’il a vraiment du mal à encaisser. Pour lui remonter le moral, ses potes d’enfance Will & Jay (Simon Bird & James Buckley) organisent un voyage à Malia en Crète où le programme s’annonce festif avec de l’alcool et du sexe !  Du moins c’est ce qu’ils s’imaginaient. Débarqués dans un vieil hôtel délabré, le paradis qu’on leur avait promis n’est pas vraiment le même où ils ont atterri et puis drôle de hasard ; il se trouve que Carli est aussi à Malia !

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    Alors que le grand écran attend le retour des héros d’American pie, les amateurs d’humour pipi-caca pourront se mettre sous la dent ce lointain cousin britannique adapté d’une série télévisée. Le principe est le même à savoir une bande de mecs (avec des similitudes parfois frappantes comme cette ressemblance entre Simon Bird & Jason Biggs) partant en vacances pour s’offrir du bon temps arrosé de quelques bouteilles d’alcool et de leçons de séduction particulières. Ceux qui ne sont pas allergiques à cet humour graveleux peuvent prétendre à passer un bon moment mais au bout d’1 heure on a quand même fait le tour du sujet. On aurait toutefois aimé que Les boloss ne se contente pas d’être une pâle copie de la saga américaine.

     

    Il faut le voir pour : Trouver une bonne planque pour vos billets … mais la place est limitée !

  • Alvin et les Chipmunks 3

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    L’heure des vacances a sonné pour Dave (Jason Lee) et ses potes. Rien de tel pour se détendre qu’une belle croisière où calme et volupté deviennent vos compagnons de route oui mais ça c’était sans compter sur Alvin ! Ce tamia est vraiment intenable et Dave va même devoir faire des courbettes auprès du capitaine du bateau pour sauver les meubles mais tout ça n’a pas l’air de calmer les ardeurs d’Alvin. Alors qu’il était sous le coup d’une punition, il décide de transformer cela en funition !! Il parvient ainsi à dégoter un cerf-volant qui va lui servir de parachute ascensionnel seulement le vent souffle particulièrement fort. Le résultat était prévisible et voilà que les Chipmunks et les Chipettes sont emportés et atterrissent sur une ile déserte.

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    2 secondes, c’est le temps qu’il faudra au film pour lancer sa première chansonnette. Si vous avez vu les épisodes précédents alors vous savez déjà le supplice / plaisir (à vous de rayer la mention inutile) qui vous attend c’est-à-dire une compilation de récents tubes remixés à la sauce Chipmunks. Au programme du Lady Gaga, Destiny’s child, LMFAO ou encore Katy Perry pour mettre de l’ambiance dans ce Koh-Lanta version rongeurs. Il est évident que seuls les enfants de moins de 7 ans prendront leur pied devant Alvin et les Chipmunks 3 et ceux qui doivent jouer les accompagnateurs feraient bien de vérifier qu’ils ont bien emporté leurs boules quiès pour éviter de ressortir de la salle avec un méchant mal de crane.

     

    Il faut le voir pour : Conserver bien précieusement les colliers de pâtes de vos enfants ; ça pourrait vous dépanner si jamais vous échouez sur une ile déserte.

     

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    En savoir plus sur Alvin et les Chipmunks - A fond la caisse ?