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sam karmann

  • Le ciel, les oiseaux … et ta mère !

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    Grace à un concours vidéo qu’ils ont brillamment remporté, nos potes Youssef, Christophe & Stéphane (Jamel Debbouze, Lorànt Deutsch & Stephane Soo Mongo) s’apprêtent à passer d’inoubliables vacances ! Ils prennent en effet la direction de Biarritz où un appartement est mis à leur disposition ; à eux la plage, la fête et surtout les femmes enfin c’est ce qu’ils s’étaient imaginé. La réalité est moins belle et ils déchantent vite en constatant que sans thunes il n’y a pas grand-chose à faire sur la cote. Heureusement, l’arrivée de Lydie (Olivia Bonamy) et de ses amis dans l’appartement d’à-côté tout comme celle de Mike (Julien Courbey) qui a décidé de taper l’incruste va apporter un peu d’animation à leur séjour.

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    Il faut être objectif, c’est loin d’être une comédie rayonnante mais elle avait au moins le mérite à l’époque de lancer la carrière ascendante de Jamel Debbouze. Un premier rôle qui a évidemment contribué au succès du film d’autant plus qu’il est bien accompagné avec Lorànt Deutsch & Julien Courbey, 2 acteurs qui font toujours preuve d’une certaine gouaille. La tchatche et le langage employé amuse un moment mais devient vite rédhibitoire et par chance ça s’allège un peu dans la seconde partie sans quoi la migraine nous guettait. Le ciel, les oiseaux … et ta mère ! marque également la première réalisation de Djamel Bensalah qui déroule une histoire bien trop balisée.

  • Radiostars

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    Notre pote Ben (Douglas Attal) est de retour de New-York où il était parti pour tenter sa chance en tant que comique mais les choses ne se sont pas très bien passées. A peine de retour en France, Sabrina (Ana Girardot) son ex-petite-amie le pistonne pour qu’il vienne travailler chez Blast FM et plus précisément dans l’émission du morning qui cartonne actuellement : le Breakfast. Il découvre ainsi ses nouveaux collègues, une joyeuse bande de drilles qui oublient parfois leur conscience professionnelle. Quand leur patron apprend que le dernier sondage place la radio en seconde position, le couperet tombe ; pas de vacances pour l’équipe et ils vont devoir partir en tournée pour booster les audiences sinon l’émission sera tout simplement supprimé.

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    C’est une belle équipe qu’a constitué là notre pote Romain Lévy et inutile de vous dire que cela constitue l’essence même de ce Radiostars. Ça ne se prend (presque) jamais au sérieux, ça n’arrête pas de se balancer des vannes et du coup cette bonne ambiance se ressent aussi bien dans les salles obscures. On pardonnera facilement certains personnages très caricaturaux comme Léonard de Vitry, Smiters ou Jérémie d’autant que pour ces derniers cela permet de faire fonctionner un superbe running-gag avec Daniel(le ?). A cela on peut aussi reprocher un manque de profondeur, on pensait tenir quelque chose avec l’excellent Pascal Demolon et puis ça s’envole aussitôt. Une comédie qu’on regarde avec l’esprit léger, le choix idéal pour qui veut se détendre sans se prendre la tête et prendre un vrai plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir le dernier mot !

  • La cité de la peur

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    Sortie dans une complète indifférence, Red is dead est promis à un désastreux avenir malgré les efforts de l’attachée de presse Odile Deray (Chantal Lauby). Un drame va cependant lui redonner le sourire puisque son projectionniste est retrouvé assassiné et il aurait été tué par un marteau et une faucille comme le monstre du film ! Les médias commencent donc à s’intéresser à ce drôle de fait-divers et Odile décide de profiter de l’engouement pour participer au Festival de Cannes. Elle réussit également à faire venir l’acteur vedette Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et vu le danger qui plane au-dessus de leurs têtes, elle va demander une protection rapprochée assurée par l’unique Serge Karamazov (Alain Chabat).

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    Premier et unique film de Les Nuls, La cité de la peur est une de nos références en matière de comédie française. Evidemment, il faut être adepte de leur esprit profondément absurde et dès lors c’est une cascade de rires qui nous est offerte. Les répliques cultes se ramassent à la pelle, des guests-stars (Eddy Mitchell, Tchéky Karyo ou Jean-Pierre Bacri) sont invités à se faire massacrer et on a même droit à l’apparition du regretté Bruno Carette dans la peau du célèbre pétomane Misou-mizou. A cela s’ajoute plein de références à des films comme Terminator, Basic Instinct ou bien encore Pretty woman. Le genre de film que 1000 personnes pourraient voir 1 fois … non qu’1 personne pourrait voir 1000 fois … bon bref cultissime !!



    La scène à ne pas louper : La poursuite du tueur par un Serge Karamazov ballonné !

  • Odile Deray & Le critique - La cité de la peur

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    Le critique : Madame je n'écrirai rien sur ce film : c'est une merde !
    Odile Deray : Mais ça mérite une seconde vision ! Rappelez-moi !
    Le critique : Madame, je vous pisse à la raie !
    Odile Deray : Deray ! Odile Deray !




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  • Patrick Bialès & Odile Deray - La cité de la peur

    Patrick Bialès : Vous voulez un whisky ?
    Odile Deray : Oh juste un doigt.
    Patrick Bialès : Vous vous voulez pas un whisky d'abord ?  



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