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comédie - Page 62

  • Love n’dancing

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    C’est à l’occasion d’une conférence donnée au sein de l’école où travaille notre pote Jessica (Amy Smart) que celle-ci a rencontré Jake (Tom Malloy). Il était venu pour parler de son handicap ; il est sourd mais cela ne l’a pas empêché d’être un grand danseur et de remporter à 2 reprises l’U.S. Open avec son ex-femme Corinne (Nicola Royston). Aujourd’hui, il donne des cours de danse et il a d’ailleurs invité Jessica à y assister et pour elle ça tombe bien car elle va prochainement célébrer son mariage avec Kent (Billy Zane). Alors que le couple s’était inscrit aux cours, le futur mari semble plus motivé par son travail que de faire plaisir à sa fiancée. Au contact de sa nouvelle élève, Jake voit naitre une envie folle : participer de nouveau aux U.S. Open.

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    De l’amour et de la danse, en voilà un programme réjouissant du moins pour les demoiselles car le public masculin risque lui de rapidement s’endormir si ce n’est de s’enfuir. Alors ici pas de super chorégraphies façon Sexy dance, c’est de la danse beaucoup plus classique à laquelle on a droit et si visuellement c’est moins impressionnant, ça n’en reste pas moins expressif. Dans son genre, Love n’dancing ne prend aucun risque, pire il se complait à nous proposer un personnage merveilleusement empathique - sourd mais aussi maladroit en séduction - histoire de se mettre les spectateurs dans la poche. On est quand même plus proche du téléfilm que du long-métrage de cinéma.

  • Recherche bad boys désespérément

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    Parce qu’elle a désespérément besoin d’argent, notre pote Stéphanie Plum (Katherin Heigl) a sollicité l’aide de son cousin. Tout ce que celui-ci a pu lui offrir c’est un job de chasseur de primes et malgré le fait qu’elle n’y connaisse strictement rien dans ce domaine, elle est plutôt motivée d’autant plus que sa première cible est une vieille connaissance : Joseph Morelli (Jason O’Mara). Il s’agit d’un flic accusé d’avoir assassiné de sang froid un homme et si jamais elle parvient à lui mettre le grappin dessus, elle pourrait empocher une belle récompense de 50 000 $. On ne s’improvise pas du jour au lendemain chasseur de primes aussi Stéphanie va-t-elle devoir faire appel au Ranger (Daniel Sunjata).

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    En survolant le scénario, on avait un peu peur que ce film de Julie Anne Robinson ne soit qu’une pale copie de Le chasseur de primes et cela n’aurait peut-être pas été plus mal ! Il n’y a vraiment que les fans de l’actrice Katherin Heigl (et encore…) qui sauront trouver leur compte devant cette comédie fadasse où le scénario inutilement complexe vient totalement anesthésier le peu d’humour présent. Le duo Heigl / Jason O’Mara offre autant de plaisir qu’une fête de Saint-Valentin pour des célibataires à partir de là, l’adaptation de l’héroïne de la romancière Janet Evanovich fonce droit vers le mur. Recherche bad boys désespérément est à l’image de son titre français c’est-à-dire ridiculement mauvais.

     

    Il faut le voir pour : Toujours répondre présent à une femme qui vous demande de l’aide … surtout quand elle est complètement nue !

  • Tucker & Dale fightent le mal

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    Tucker & Dale (Alan Tudyk & Tyler Labine) sont 2 potes d’enfance qui viennent de réaliser un de leurs rêves ; celui d’avoir une maison de vacances ! Beaucoup d’entre nous y verraient un macabre taudis mais pour eux, c’est un véritable manoir qui a à peine besoin d’être rafraîchi mais l’heure est venue d’aller à la pêche. Une fois sur le lac, ils remarquent la présence de jeunes étudiants qu’ils avaient croisé sur la route plus tôt dans la journée et Dale s’était notamment épris de la belle Allie (Katrina Bowden). Cette dernière justement est victime d’un accident et les 2 amis s’empressent de lui prêter main forte mais le groupe d’étudiants au lieu d’y voir un sauvetage considèrent cela comme un enlèvement.

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    Si vous êtes amateurs de films d’épouvante à l’américaine alors vous connaissez forcément ce schéma archi usité du groupe d’étudiants décimés par les freaks du coin. Tucker & Dale fightent le mal reprend donc de manière parodique ce concept en jouant à fond la carte de l’amalgame. Bien qu’il s’agisse d’une comédie, le film ne lésine pas sur l’hémoglobine et corps mutilé ou visage broyé viennent ainsi s’alterner avec quelques tranches de rires. Une bonne idée de départ qui rappelle un peu Shaun of the dead mais hormis 20 minutes assez jouissantes, le rythme prend par la suite un sacré coup de frein. Faute d’être véritablement génial, il y a juste de quoi passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Faire une bonne réserve de bières afin de soigner toutes vos blessures.

  • La vérité si je mens 3

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    Les affaires au Sentier ne sont plus ce qu’elles étaient et c’est pourquoi on retrouve désormais Eddie (Richard Anconina) et tous ses potes d’enfance à Aubervilliers où ils ont monté leur business. Là aussi, rien n’est facile car la communauté asiatique semble avoir la main mise mais les méthodes utilisées sont-elles réellement justes ? C’est la question qui se pose lorsqu’ils reçoivent coup sur coup une livraison de fausses montres suivi de la visite des inspecteurs de douane. Etrange coïncidence tout comme ce contrôle fiscal qui attend Patrick (Gilbert Melki) qui va devoir changer ses habitudes mais un mal pour un bien puisque sans s’y attendre, il va rencontrer le grand amour !

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    Yallah !! On ne l’attendait plus vraiment mais ça fait quand même bien plaisir de retrouver cette belle bande de potes, avec il faut le noter le retour de Vincent Elbaz dans le rôle de Dov, qui nous a tant fait rire. Difficile de trouver une véritable légitimité à La vérité si je mens 3 dont le scénario rappelle un peu trop celui de l’épisode précédent et des rôles féminins toujours aussi transparents. Le voyage de la joyeuse troupe en Chine aurait pu donner de beaux moments de comédie mais à peine a-t-on droit à un repas pas piqué des vers qui nous laisse clairement sur notre faim. Ce sont surtout les retrouvailles avec des personnages qu’on adore qui vous motivera (peut-être) à vous rendre dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Se procurer une amulette marocaine !


    En savoir plus sur La vérité si je mens ?

    En savoir plus sur La vérité si je mens 2 ?


  • The descendants

    cinéma, film, comédie, drame, The descendants, George Clooney, Shailene Woodley, Amara Miller, Nick Krause, Patricia Hastie, Kim Gennaula, Karen Kuioka Hironaga, Kaui Hart Hemmings, Matthew Lillard, Alexander Payne

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    Notre pote Matt King (George Clooney) n’est pas vraiment le père de famille idéal et ce rôle il va pourtant devoir l’assumer après l’accident de sa femme Elizabeth (Patricia Hastie). Cela fait plusieurs jours maintenant qu’elle est plongée dans un profond coma et malheureusement, plus rien ne pourra la sauver. Devant ce drame, il veut réunir sa famille et c’est accompagné de sa fille Scottie (Amara Miller) qu’il va récupérer sa cadette Alexandra (Shailene Woodley) qui avait été envoyée en pension. Cette dernière s’était violemment disputée avec sa mère lors des dernières vacances de Noel pour une raison qu’ignorait totalement Matt ; sa femme avait un amant, un certain Brian Speer (Matthew Lillard).

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    Portrait d’une famille disloquée qui va resserrer ses liens autour d’un évènement dramatique, The descendants offre un vrai rôle de composition pour notre pote George Clooney. Ce n’est pas pour autant qu’il faut passer sous silence les belles interprétations de ses "filles" Amara Miller et notamment une admirable Shailene Woodley, un trio qui compose un socle solide pour le film. On est également immédiatement séduit par cette atmosphère décalée prônée dès les premières minutes en situant cette histoire dramatique dans l’archipel d’Hawaï. On n’est certainement pas devant quelque chose d’extraordinaire mais on passe clairement un bon moment mêlant avec habilité humour et tendresse.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous moquer de ceux qui portent des chemises hawaïennes !

  • Decadent Evil 2

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    La confrontation avec Morella (Debra Mayer) s’est terminée avec sa mort mais aussi celle d’Ivan (Ricardo Gil) pourtant il existe encore une chance de le ramener à la vie. Le père de ce dernier Marvin avec l’aide de Sugar (Jill Michelle) et de son petit-ami Dex (Daniel Lennox) ont en effet l’intention de le ressusciter et pour cela, il leur faut récupérer du sang issu du nouveau Seigneur du clan des vampires. Grace à la croix d’Ivan qui agit comme une branche de sourcier, ils savent que la personne qu’ils cherchent se trouve dans une boite de strip-tease malfamé ; le Visions. Pour faire preuve de discrétion, ils décident de se faire engager afin de faciliter leur enquête et leurs premiers soupçons se dirigent vers le patron.

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    Attention, l’alerte Nanar est activée et plutôt deux fois qu’une ! Decadent evil premier du nom avait déjà fait fort dans le genre et ce qui est étonnant c’est qu’on ait pensé à en faire une suite. Un épisode qui réunit toutes les qualités (j’espère que vous avez compris que c’était ironique …) à savoir des effets spéciaux dignes de films amateurs et un scénario qui rivalise avec les meilleurs épisodes de Derrick. Entre quelques scènes, on a glissé quelques plans de femmes toutes nues histoire de renforcer l’authenticité de Decadent Evil 2 ; rien à voir avec la volonté de faire plaisir à nos esprits lubriques. Faut-il vraiment en dire davantage pour vous faire comprendre qu’on a là un épisode digne de son prédécesseur et qu’on gardera bien précieusement aux oubliettes !

     

    En savoir plus sur Decadent Evil ?

  • Jack & Julie

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    Notre pote Jack (Adam Sandler) travaille dans la pub et il a quelques sueurs froides à l’idée que son plus gros client Dunkin’ Donuts décide d’aller voir ailleurs. Seule solution pour les garder ; convaincre le grand Al Pacino de participer à leur prochaine campagne de promotion et c’est loin d’être gagné ! Coté vie privée, ce n’est guère plus réjouissant puisqu’il attend Julie (Adam Sandler), sa sœur jumelle qu’il a bien du mal à supporter. Alors qu’il fait tout son possible pour qu’elle retourne au plus vite dans le Bronx, un évènement inattendu vient changer la donne. Al Pacino a en effet eu le coup de foudre pour Julie, une aubaine pour Jack sauf que sa sœur semble totalement impassible face à cet immense comédien.

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    Une comédie où l’acteur principal joue un double rôle dont celui d’une femme part généralement avec un certain handicap. Certains films comme Miss Doubtfire évite de trop en faire quand au contraire un Big Mamma n’hésite pas à user et abuser de l’humour bien gras. Jack & Julie appartient à cette dernière catégorie et Adam Sandler en fait des tonnes pour essayer de nous divertir sans grands résultats. Cette comédie aurait mérité une sortie directe en vidéo mais Dieu seul sait comment, Al Pacino est venu jouer les invités vedettes et on pourra même apercevoir le célèbre Johnny Depp ou notre Gad Elmaleh ce qui a incité certains à l’exploiter au cinéma. Si vous n’avez pas de mal à supporter les comédies bien lourdes alors effectivement vous allez être servi.

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder un œil sur les jumeaux !

  • Sex addicts

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    Depuis sa rupture avec Cynthia après une relation qui a duré 5 ans, Andy (Josh Cooke) souffre de ne plus avoir une vie sentimentale normale. Impossible pour lui désormais de coucher avec une femme lorsqu’il n’y a pas de sentiments derrière. En attendant de retrouver la compagne idéale, il s’est installé chez son pote d’enfance et collègue de travail Jerry (Greg Grunberg) qui lui ne pense pas à des futilités comme l’amour. Un soir, alors qu’Andy se promenait, il finit par entrer dans un bar où il va entendre une magnifique femme chanter. Persuadé qu’il ne faut pas la laisser filer, il la suit et découvre qu’elle est partie rejoindre un groupe très spécial. Elle s’appelle Vanessa (Odette Annable) et … c’est une accro du sexe !

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    Du sexe et du rire, voici donc les 2 ingrédients promis par Sex addicts pour tenter de séduire les spectateurs et je dis bien tenter ! Difficile en effet de percevoir une quelconque alchimie dans le duo formé par Josh Cooke & Greg Grunberg et le reste du film ne réussit hélas pas davantage à relever le niveau. L’idée du groupe de soutien pour accros du sexe aurait pu permettre au film de jouer bien plus la carte de l’irrévérence histoire de ne pas passer pour une énième et banale comédie. La seule consolation ce sera de se contenter de la belle Odette Annable et surtout de l’apparition en guest-star de notre pote Henry Winkler a.k.a. Arthur Fonzarelli ! Un film qui ne risque pas de faire beaucoup d’accros.

  • Et si on vivait tous ensemble ?

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    Pas facile de vieillir ! On se découvre des problèmes de mémoire, une santé de plus en plus défaillante ou alors on se sent parfois très seul. C’est à l’occasion de l’anniversaire de Claude (Claude Rich) que nos potes d’enfance Jeanne, Annie, Albert & Jean (Jane Fonda, Géraldine Chaplin, Pierre Richard & Guy Bedos) se sont réunis et qu’a été évoqué cette idée folle de vie en communauté. Cette proposition à priori fantaisiste va cependant devenir une réalité après l’hospitalisation d’Albert et le placement de Claude en maison de repos. Après tout, ils s’entendent tous très bien et il n’y aucune raison que cela se passe mal à moins peut-être qu’une histoire vieille de 40 ans ne vienne jeter le trouble.

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    Ce n’est pas parce qu’on est vieux qu’on va s’arrêter de vivre ! C’est un peu la philosophie de ce film porté par son casting 5 étoiles avec entre autre les 2 stars internationales que sont Jane Fonda & Géraldine Chaplin. Et si on vivait tous ensemble ? est la photographie d’une génération un peu perdu dans une société où les personnes âgées semblent plus une gêne qu’autre chose et qui sont ainsi confinées à l’isolement. On regrettera juste que le rythme ne soit pas un peu plus soutenu bien que la présence de Daniel Brühl apporte un brin de vigueur à l'ensemble. Drôle et parfois même mordant, voici une gentille comédie qu’on appréciera tout d’abord pour ses interprètes mais qui risque tout de même de vous plomber le moral quant à votre avenir !



    Il faut le voir pour : Economiser dès maintenant pour vous faire construire une piscine si vous souhaitez voir plus souvent vos petits-enfants.

  • Les sous-doués

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    C’est intolérable ! Une fois encore le Cours Louis XIV de Versailles est la risée de la France affichant un taux d’admission au bac de 0%. Lucie Jumaucourt (Maria Pacôme), proviseur de cet établissement est bien décidée à redresser la barre quitte à employer la manière forte. L’année scolaire ne sera donc pas de tout repos pour les bacheliers même si Bébel (Daniel Auteuil) et sa bande sont bien décidés à ne pas se laisser faire. Ils vont tout mettre en œuvre pour glander tranquillement. Tout ça était vrai jusqu’à un évènement inattendu qui va les pousser à obtenir leur baccalauréat et ce par n’importe quel moyen !

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    Alors c’est sur ce n’est pas une comédie exempte de toutes reproches mais elle est restée culte pour toute une génération de spectateurs par la richesse de ses gags. C’est un peu comme si on retrouvait la bande des Bronzés en salle de classe et chaque rediffusion à la télévision fait aujourd’hui encore des millions d’heureux. Comment ne pas éclater de rire devant ces cancres et surtout face à l'imagination débordante dont ils font preuve pour passer les épreuves du bac ; des idées qui en ont peut-être inspiré certains d’entre vous ! Les sous-doués sont donc sans aucun doute entrés dans la légende du cinéma français, une référence en termes de comédie à mes yeux en tout cas.



    La scène à ne pas louper : La machine à claques !