Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

eddy mitchell

  • Salaud, on t’aime

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Il ne supporte plus Paris c’est pourquoi il a décidé d’acheter ce splendide domaine de l’aigle situé près de Megève. Jacques Kaminsky (Johnny Hallyday) s’est fait un nom comme photographe de guerre et reste aujourd’hui encore une référence. Une belle carrière qui s’est construite non sans sacrifices et cela ses 4 filles Automne, Printemps, Eté & Hiver (Sarah Kazemy, Irène Jacob, Pauline Lefèvre & Jenna Thiam) pourront en témoigner. Toutes nées de mères différentes, Jacques est un amoureux indécis et vient d’ailleurs de quitter Bianca (Agnès Soral) pour se jeter dans les bras de Nathalie (Sandrine Bonnaire). Installé dans son domaine, le bonheur est cependant incomplet car il souhaite plus que tout la présence de ses filles auprès de lui.

    01.jpg

    Mine de rien, ce nouveau long-métrage du taulier Claude Lelouch est un petit évènement puisqu’il réussit à réunir à l’écran deux monuments de la musique française. On parle évidemment d’Eddy Mitchell et de Johnny Hallyday mais les véritables vedettes ce sont surtout les 4 filles du photographe. Dans son ensemble, le casting est tout simplement séduisant. Salaud, on t’aime c’est aussi un film en forme de rédemption pour le réalisateur français ; ça commence comme une émouvante réunion familiale et ça conduit forcément à des règlements de compte. On sera même pris de surprise par un évènement inattendu qui dévie le film vers un thriller un peu trop vite évincé et qui avec plus de développement aurait pu donner un second souffle bienvenu.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les 4 saisons réunies !

  • Les petits princes

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Repéré grâce à une vidéo qu’il a postée sur le net, notre pote JB (Paul Bartel) touche du doigt ses rêves. Il vient en effet d’intégrer un club de formation de football, la première étape pour espérer devenir un jour professionnel. A l’entrainement il n’hésite pas à mettre du cœur à l’ouvrage mais le jeune garçon a une malformation cardiaque qui rend impossible toute carrière dans le sport de haut-niveau. Pour continuer à vivre ses rêves, il a donc décidé de falsifier son dossier médical mais JB met sa vie en danger chaque fois qu’il entre sur le terrain. Son pote d’enfance El Malah (Ralph Amoussou) mais aussi l’entraineur-adjoint Reza (Reda Kateb) vont apprendre la vérité à son sujet mais pourront-ils le convaincre de raccrocher les crampons ?

    01.jpg

    On l’a encore constaté récemment avec Les seigneurs, football & cinéma ne font pas toujours bon ménage mais bonne nouvelle Les petits princes devrait pouvoir réconcilier les spectateurs. On suit le parcours d’un jeune prodige du ballon rond qui cherche à se faire une place sur le terrain en dépit de son état de santé. L’histoire est donc plutôt belle mais surtout elle est servie par un superbe casting à commencer par Paul Bartel sans oublier d’excellents seconds rôles tenus par Reda Kateb ou Eddy Mitchell. Des personnages touchants par leur vulnérabilité ce qui les rend donc véritablement attachants ; du vrai beau jeu proposé par Vianney Lebasque pour son premier long-métrage.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de comprendre les proverbes africains !

  • Populaire

    star 02.5.jpg

    3502058702.108.jpg

    Toutes les femmes rêvent de devenir secrétaire et notre pote Rose Pamphyle (Deborah François) n’échappe pas à ce phénomène, elle qui tente aujourd’hui sa chance chez Louis Echard (Romain Duris). La première impression n’est pas très brillante mais la jeune femme lui fait alors une démonstration de ses talents sur la machine à écrire et ça marche. Si elle s’avère être une piètre secrétaire, Louis voit en elle un incroyable talent à façonner et va ainsi la convaincre de participer au concours régional de vitesse dactylographique. Ce ne sera qu’une question de temps avant que Rose ne devienne championne de Basse-Normandie mais se profilent déjà à l’horizon les championnats de France et du Monde !

    01.jpg

    Et oui avant les ordinateurs et leurs logiciels de traitement de textes, nous avions l’archaïque machine à écrire. Par son sujet atypique, Populaire surfe sur la vague nostalgique d’une bonne partie des spectateurs à travers son atmosphère très rétro. Cela n’efface pas pour autant le défaut majeur de ce premier film de Régis Roinsard à savoir l’absence d’un véritable enjeu lors des différentes phases de concours. En dehors des cliquetis incessant des machines à écrire, les scènes se suivent et se ressemblent avant de nous offrir une conclusion écrite (à la machine) d’avance. L’idée était intéressante mais le plaisir n’est pas vraiment au rendez-vous.

     

    Il faut le voir pour : Oublier Word et ressortir votre vieille machine à écrire du grenier.

  • L’Oncle Charles

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Charles Doumeng (Eddy Mitchell) est à la tête d’un immense empire et vit actuellement confortablement en Nouvelle-Zélande mais il a une santé fragile. Alors que son médecin souhaitait le ménager, il apprend qu’il ne lui resterait que peu de temps à vivre et c’est alors qu’il se met en tête de retrouver sa sœur, son dernier lien familial. Corinne Beaujard (Valérie Bonneton)  tombe sur cet avis de recherche et flaire le bon plan pour soutirer un peu d’argent mais l’histoire qu’elle va inventer va prendre des proportions autrement plus importantes. Avec l’aide de sa cousine Louise (Alexandra Lamy), elle a l’intention de convaincre Charles qu’elle a retrouvé sa nièce pour espérer toucher ainsi une partie de l’héritage !

    01.jpg

    Dans le temps on prenait du plaisir à aller voir le cinéma d’Etienne Chatiliez, une époque qui semble bien révolue puisqu’après nous avoir infligé l’atterrante Agathe Cléry il remet le couvert avec L’Oncle Charles. Comédie peu inspirée à l’image d’Eddy Mitchell au jeu étrangement poussif dans les premières minutes avant de trouver un peu plus d’équilibre malheureusement le film s’enlise par la suite dans une profonde médiocrité avec ses personnages caricaturaux. Il n’y a encore que les tailleurs parfaitement coupés de Valérie Bonneton qui sauront nous distraire un peu ce qui est bien léger. A se demander ce qui arrive au réalisateur français, va savoir !

     

    Il faut le voir pour : Rendre visite au couvent pour refaire votre décoration !

  • La cité de la peur

    star 04.jpg

    aff.jpg

    Sortie dans une complète indifférence, Red is dead est promis à un désastreux avenir malgré les efforts de l’attachée de presse Odile Deray (Chantal Lauby). Un drame va cependant lui redonner le sourire puisque son projectionniste est retrouvé assassiné et il aurait été tué par un marteau et une faucille comme le monstre du film ! Les médias commencent donc à s’intéresser à ce drôle de fait-divers et Odile décide de profiter de l’engouement pour participer au Festival de Cannes. Elle réussit également à faire venir l’acteur vedette Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et vu le danger qui plane au-dessus de leurs têtes, elle va demander une protection rapprochée assurée par l’unique Serge Karamazov (Alain Chabat).

       01.jpg 02.jpg 03.jpg
    Premier et unique film de Les Nuls, La cité de la peur est une de nos références en matière de comédie française. Evidemment, il faut être adepte de leur esprit profondément absurde et dès lors c’est une cascade de rires qui nous est offerte. Les répliques cultes se ramassent à la pelle, des guests-stars (Eddy Mitchell, Tchéky Karyo ou Jean-Pierre Bacri) sont invités à se faire massacrer et on a même droit à l’apparition du regretté Bruno Carette dans la peau du célèbre pétomane Misou-mizou. A cela s’ajoute plein de références à des films comme Terminator, Basic Instinct ou bien encore Pretty woman. Le genre de film que 1000 personnes pourraient voir 1 fois … non qu’1 personne pourrait voir 1000 fois … bon bref cultissime !!



    La scène à ne pas louper : La poursuite du tueur par un Serge Karamazov ballonné !

  • Odile Deray & Le critique - La cité de la peur

    01.jpg

    Le critique : Madame je n'écrirai rien sur ce film : c'est une merde !
    Odile Deray : Mais ça mérite une seconde vision ! Rappelez-moi !
    Le critique : Madame, je vous pisse à la raie !
    Odile Deray : Deray ! Odile Deray !




    En savoir plus sur La cité de la peur ?

  • Au bistro du coin

    aff.jpg

    La mort de Jean Valjean, un SDF du quartier, a ému de nombreux habitants et notamment Bertrand (Guy Lecluyse) qui a eu l’initiative d’organiser un spectacle. Avec la collaboration des autres commerçants et habitants, il compte ainsi récolter des fonds et surtout sensibiliser les gens sur le sort des sans-abris. Pour l’occasion, il a demandé à son pote d’enfance Manu (Fred Testot) de lui rendre un service ; utiliser son café Le Chinon 3 pour y faire les répétitions. Alors que le grand jour approche, tout le monde est un peu sur les nerfs et les bouleversements ne manqueront pas de venir rythmer la journée.

    01.jpg

    Au bistro du coin c’est avant tout un concept particulier, un film choral à l’échelle d’un quartier avec comme point d’ancrage le fameux bistro. Autour de ce lieu se tisse alors d’autres histoires plus ou moins bien amenées avec une farandole de comédiens et d’autres qui apparaissent en simples guest-stars. On ne peut pas dire qu’on retrouve réellement la chaleur d’une vie de quartier, on ne s’attache pas à des personnages transparents et les clichés finissent de nous convaincre d’aller boire un coup ailleurs. Allez, je paye ma tournée mais pas pour ce film !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus vous étonner de voire des gens ne pas traverser le passage piéton quand le feu est vert.

  • Patrick Bialès & Odile Deray - La cité de la peur

    Patrick Bialès : Vous voulez un whisky ?
    Odile Deray : Oh juste un doigt.
    Patrick Bialès : Vous vous voulez pas un whisky d'abord ?  



    En savoir plus sur La cité de la peur ?