Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

hubert saint-macary

  • Un jour mon père viendra

    star 02.jpg

    aff.jpg

    C’est une période difficile pour notre pote Bernard Beu (François Berléand) qui vient de perdre sa femme laissant derrière elle une fortune colossale. Il va cependant découvrir un tout autre trésor ; un coffret renfermant toutes les lettres de Chloé (Olivia Ruiz), une fille dont il ignorait jusque-là l’existence. Il part donc à sa recherche et se rend en France où il apprend que sa fille a déjà un père en la personne de Gustave (Gérard Jugnot). Chloé quant à elle est en froid avec ce père et on la retrouve à Bordeaux où elle mène un casting aussi fastidieux qu’insolite puisqu’elle cherche un comédien pour incarner son père ! La jeune femme se marie bientôt et a quelque peu enjolivé la vérité pour séduire l’ancien champion de tennis Stephen (Jamie Bamber).

    01.jpg
    Un jour mon père viendra va surtout faire parler de lui par rapport à la première apparition sur le grand écran de l’artiste Olivia Ruiz car le reste est franchement anecdotique. La prestation de la chanteuse est correcte avec encore quelques approximations mais elle ne parvient en aucun cas à illuminer l’ensemble. Le scénario aurait bien eu besoin de plus de clarté, on a un peu l’impression que l’histoire nous est vite jetée à la figure pour dérouler le reste. Quant à la paire Jugnot / Berléand, elle est sympathique et réussit à nous arracher quelques timides sourires mais largement insuffisant pour dépasser le stade d’une comédie totalement quelconque.



    Il faut le voir pour : Ba .. euh… en fait… allez portons un toast !

  • L'enfance du mal

    aff.jpg

    C'est un soir en entendant un bruit dans l'abri de son jardin que le juge Henri Van Eyck (Pascal Greggory) a fait la découverte : il y a une jeune fille qui squatte les lieux depuis deux semaines. Elle s'appelle Céline (Anaïs Demoustier) et prétend ne pas avoir de parents, elle s'est échappée de sa famille d'accueil qu'elle ne supportait plus et erre depuis à droite à gauche. Pour l'heure, Henri et sa femme Nathalie (Ludmila Mikaël) décident de la laisser passer la nuit chez eux et le lendemain, ils vont l'accompagner aux services sociaux. Seulement Céline réapparait au domicile du couple et va tout faire pour rester avec eux car le juge a joué un rôle important dans la vie de la jeune fille.

    01.jpg

    Ce film c'est un peu un mixte de Esther & Chloé, une fille manipulatrice qui va briser la vie d'un couple et dont les réelles intentions se dévoilent au fil des minutes. Si la prestation des comédiens et notamment celle d'Anaïs Demoustier sont tout à fait correctes, L'enfance du mal pèche par une réalisation et une bande-son amorphe. On croirait faire face à un film des années 1980 ce qui au lieu de donner un certain charme au film ne fait que le foudroyer ; c'est d'autant plus dommage que certaines scènes sont particulièrement dérangeantes pour le spectateur. Pas un grand film de cinéma mais à découvrir éventuellement lors de sa sortie en DVD.

     

    Il faut le voir pour : Acheter un cadenas solide pour votre abri de jardin.