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comédie - Page 63

  • La vérité si je mens 2

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    Rien ne va plus dans le Sentier et notre pote Eddy (Richard Anconina) l’a compris à ses dépens et maintenant il souhaite développer son business auprès de la grande distribution. C’est en compagnie d’Yvan (Bruno Solo) qu’il est allé prospecter auprès de M. Vierhouten (Daniel Prévost), Directeur des achats de la chaine Euro Discount mais ce qu’il croyait être une belle opportunité va s’avérer être une belle arnaque. Pendant ce temps, Serge (José Garcia) a rencontré le grand amour en la personne de Chochona Boutboul (Elisa Tovati) mais pour la séduire, il a un peu enjolivé la vérité avec l’aide involontaire de son cousin Patrick (Gilbert Melki).

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    Avec le succès qu’a rencontré le premier épisode, il était presque naturel de voir apparaitre un second épisode et la bonne nouvelle c’est qu’on retrouve presque toute l’équipe. Presque oui car Vincent Elbaz laisse sa place à Gad Elmaleh en dehors de ça la bande potes est au complet et la vérité, la bonne humeur est toujours au rendez-vous ! Bon l’effet de surprise n’est plus là mais pour compenser on a droit à un Serge Benamou déchainé et qui éclipserait presque ses petits camarades. La vérité si je mens 2 est une comédie digne de son prédécesseur, le seul reproche c’est que les personnages féminins finissent par faire de la simple figuration.



    La scène à ne pas louper : Le passage sous le tunnel !


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  • L’amour dure trois ans

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    Son premier mariage s’est soldé par un véritable fiasco et notre pote Marc Marronnier (Gaspard Proust) n’a eu d’autres choix que d’augmenter à son tour les statistiques du divorce. Il ne fallait donc surtout plus parler d’amour à cet écrivain et pourtant c’est ce même thème qui va inspirer son futur succès en librairie L’amour dure trois ans. Son livre dresse un constat plutôt pessimiste des relations sentimentales et si vous deviez demander l’avis d’Alice (Louise Bourgoin), elle irait même jusqu’à vous dire que l’auteur de ce bouquin fait preuve d’une misogynie maladive. On comprend mieux pourquoi  Marc qui s’est épris d’elle fait tout pour lui cacher sa véritable identité mais la vérité finira bien par éclater au grand jour !

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    On le voyait déjà partout et voilà qu’il se décide de se lancer dans la carrière de réalisateur, Frédéric Beigbeider signe là une comédie sentimentale hélas sans grande passion. Difficile d’imposer sa patte dans un genre déjà bien encombré, l’écrivain tente bien quelques fantaisies mais rien qui ne permette à l’adaptation de son roman hautement autobiographique de marquer nos esprits. Il s’est trouvé un bon alter-ego en la personne de Gaspard Proust même si celui-ci se laisse parfois effacer par ses camarades de jeu d’un casting assez hétérogène. L’amour dure trois ans ne réussit donc pas à nous séduire outre-mesure, on dira juste que pour une première réalisation ça tient la route pour notre pote Beigbeider.



    Il faut le voir pour : S’interroger sur votre couple avant de fêter votre 3ème anniversaire !

  • Génial, mes parents divorcent !

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    Julien & Christian (Adrien Dirand & Gianni Giardinelli) étaient les meilleurs potes d’enfance au monde jusqu’au jour où les parents de Julien se sont séparés. Pour le jeune garçon, le monde s’écroule autour de lui et ceux qu’il croyait être ses amis lui tournent le dos pour la simple raison que ses parents ont divorcé. A l’école, il trouve du soutien auprès de Thomas (Volodia Serre) et d’autres camarades dont les parents sont également séparés et ils n’ont pas l’intention de se laisser faire. Désormais, c’est la guerre entre les mariés et les divorcés !! La bataille reste toutefois inégale et les enfants décident donc de provoquer des divorces pour grossir leur rang.

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    Ah voilà un grand classique du cinéma français qui fait toujours plaisir à voir et à revoir ! Evidemment, il faut savoir prendre Génial, mes parents divorcent ! pour ce qu’il est à savoir une gentille comédie sur un sujet beaucoup plus délicat. Une fois cela en tête, difficile de ne pas résister à cette version moderne (à l’époque) de La guerre des boutons avec des gags qui n’ont pas perdu de leur efficacité sans oublier l’entrain de cette belle bande de jeunes comédiens avec un impressionnant Volodia Serre. Bref, voilà un film qui a vraiment marqué une génération de spectateurs pour qui il n’a pas pris une ride, que de bons souvenirs !



    La scène à ne pas louper : La traversée du pont en bois et la visite de Nestor à la papeterie.

  • La vérité si je mens

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    Edouard Vuibert (Richard Anconina) est sur le point de se faire expulser. Au chômage, il ne lui reste que 200 francs pour vivre et n’a aucune solution à l’horizon. Alors qu’il voulait se refaire à un jeu de hasard, il atterrit dans la cour de Victor Benzakem (Richard Bohringer), un des grands patrons du sentier. Sur un malentendu, celui-ci pense qu’Edouard est juif et par solidarité lui offre un travail dans sa fabrique de tissu. Avec le temps, notre pote apprend les ficelles du métier et se crée de nombreuses relations qui vont lui permettre de lancer sa propre affaire ce qui risque de ne pas plaire à Victor. Une décision qui ne sera pas sans conséquence puisqu’en plus de cela il est tombé sous le charme de Sandra (Amira Casar), la fille de son ancien patron.

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    Succès surprise au box-office, La vérité si je mens est entré dans l’histoire du cinéma français grâce notamment à l’esprit de franche camaraderie qui régnait. Ancré dans la culture juive et communautaire du quartier populaire du sentier, Thomas Gilou a su constituer une vraie famille rassemblant tout de même Richard Anconina, Richard Bohringer, Vincent Elbaz, Bruno Solo, José Garcia et le regretté Elie Kakou. Généreux et drôle, on pourrait reprocher à cette comédie de tirer un peu trop sur les ficelles aisées de la caricature mais ça n’en reste pas moins un excellent film malgré le poids des années et qu’on a toujours plaisir à revoir.

     

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  • Parlez-moi de vous

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    C’est un rendez-vous immanquable pour de nombreux auditeurs, à 21 heures la radio s’allume pour assister à l’émission de Mélina (Karin Viard). C’est une libre-antenne où elle aborde bon nombre de sujets mais surtout où elle prodigue de précieux conseils, des conseils qu’elle devrait peut-être suivre. En effet, dans l’intimité elle s’appelle Claire Martin et souffre d’une profonde blessure : celle de n’avoir jamais connu sa mère. Aujourd’hui, après de nombreuses recherches, elle a enfin retrouvé sa trace en banlieue parisienne. Elle s’appelle Jaëlle (Nadia Barentin) et est à la tête d’une nouvelle famille ; de peur de révéler sa véritable identité, Claire va jouer les bénévoles pour approcher celle qui hante ses pensées.

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    Ça n’est peut-être qu’une impression personnelle mais au cours de ses dernières années, Karin Viard semble de plus en plus s’imposer comme une figure incontournable du cinéma français. Déjà savoureuse dans Ma part du gâteau, on la retrouve une nouvelle fois dans un rôle sur mesure où elle se glisse dans la peau d’une femme à la recherche d’une mère qu’elle n’a jamais connu. Animatrice populaire la nuit, elle se transforme ensuite en une femme solitaire à la vie complètement aseptisée et à l’affut du moindre microbe ce qui donne quelques jolis moments de rigolade. Si ce personnage sait nous séduire, on attendait davantage des retrouvailles avec cette mère qui auraient du être le point d’orgue du film. Parlez-moi de vous reste néanmoins un bon moment de cinéma.



    Il faut le voir pour : Toujours nettoyer avant de vous asseoir !

  • 10 jours en or

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    Beau parleur et séducteur devant l’éternel, notre pote Marc (Franck Dubosc) était voué à devenir commercial et d’ailleurs chez Man, c’est un excellent élément. C’est au cours de sa tournée qu’il fait une rencontre pour le moins particulière, celle de Marie (Tatiana Rojo) avec qui il va terminer la soirée. Une autre surprise l’attend au réveil puisqu’en partant à la recherche de la jeune femme, il tombe nez à nez avec un petit garçon du nom de Lucas (Mathis Touré). Marie, sa mère, se trouve en effet sous la menace d’un arrêté de reconduite à la frontière et a ainsi confié le destin de son fils à Marc. Individualiste et égoïste, le commercial se retrouve dans une drôle de situation et n’a d’autres choix que de ramener Lucas auprès de son père dans le sud de la France.

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    On savait Dubosc populaire en tant que comique, on avait beaucoup moins l’occasion de le découvrir dans des rôles plus dramatiques. 10 jours en or est un road-movie qui rassemble une galerie de personnages assez atypiques entre la jeune femme qui parle plus vite qu’elle ne pense et un grand-père adepte du canard WC mais tous sont unis par une profonde solitude. On retrouve du mec très égoïste qui va finir par se transformer au contact d’un enfant, le déroulement de l’histoire est malheureusement un peu trop classique. Il n’y a rien qui puisse donner un peu de caractère à ce film pas même la première prestation plus que correcte du petit Mathis Touré, aussi vite vu qu’oublié !



    Il faut le voir pour : Ne pas oublier d’acheter un siège rehausseur pour vos enfants !


    Découvre le film Dans la peau de Marc !

  • Marley & moi 2

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    Notre pote Bodi Grogan (Travis Turner) s’est vu confier la garde provisoire de Marley et il en est très heureux au point qu’il aimerait désormais lui aussi avoir un chien. Avant cela, il devra convaincre sa mère qu’il est assez responsable pour s’en occuper et puis surtout qu’il est capable de le dresser. Parce que sa mère doit s’absenter dans le cadre de son travail, Marley et lui sont donc recueillis par Fred (Donnelly Rhodes), le grand-père de Bodi et ils ne vont pas s’ennuyer. Ils entendent en effet parler du championnat des bébés chiens et c’est l’occasion ou jamais de faire ses preuves ! Il parvient à trouver 2 autres labradors d’une voisine et se lance dans un rigoureux entrainement car il faudra bien ça pour battre Hans (Alex Zahara) et son Woof gang.

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    Comment détruire le souvenir d’un film émouvant … Je vous l’accorde Marley & moi n’était pas du grand cinéma mais c’était tout de même un bon et respectable divertissement familial capable de vous tirer une petite larme des yeux. Voilà donc qu’ils ont eu la mauvaise idée d’en faire une suite et surtout d’en faire un pathétique film où nos potes à 4 pattes se voient doter de parole à l’instar de la saga des Toutous de chez Disney. Aucun rapport avec son prédécesseur donc en dehors d’une rapide allusion au couple vedette que vous n’apercevrez évidemment pas, Marley & moi 2 pourra à peine contenter les moins de 7 ans sauf si ceux-ci préfèrent aller jouer avec leur chien et franchement on ne leur en voudra pas !

     

    En savoir plus sur Marley & moi ?

  • La cité de la peur

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    Sortie dans une complète indifférence, Red is dead est promis à un désastreux avenir malgré les efforts de l’attachée de presse Odile Deray (Chantal Lauby). Un drame va cependant lui redonner le sourire puisque son projectionniste est retrouvé assassiné et il aurait été tué par un marteau et une faucille comme le monstre du film ! Les médias commencent donc à s’intéresser à ce drôle de fait-divers et Odile décide de profiter de l’engouement pour participer au Festival de Cannes. Elle réussit également à faire venir l’acteur vedette Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et vu le danger qui plane au-dessus de leurs têtes, elle va demander une protection rapprochée assurée par l’unique Serge Karamazov (Alain Chabat).

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    Premier et unique film de Les Nuls, La cité de la peur est une de nos références en matière de comédie française. Evidemment, il faut être adepte de leur esprit profondément absurde et dès lors c’est une cascade de rires qui nous est offerte. Les répliques cultes se ramassent à la pelle, des guests-stars (Eddy Mitchell, Tchéky Karyo ou Jean-Pierre Bacri) sont invités à se faire massacrer et on a même droit à l’apparition du regretté Bruno Carette dans la peau du célèbre pétomane Misou-mizou. A cela s’ajoute plein de références à des films comme Terminator, Basic Instinct ou bien encore Pretty woman. Le genre de film que 1000 personnes pourraient voir 1 fois … non qu’1 personne pourrait voir 1000 fois … bon bref cultissime !!



    La scène à ne pas louper : La poursuite du tueur par un Serge Karamazov ballonné !

  • Pigs

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    Elle s’appelle Gabrielle Xeropolous (Melanie Marden) et est devenue le centre d’attention de nombreux mecs. Oui c’est vrai qu’elle est d’une beauté renversante et pourtant l’intérêt de ces garçons se porte sur tout autre chose : un pari ! Miles (Jefferson Brown) est un beau gosse et il s’est spécialisé dans les relations à durée déterminée ce qui a donné une idée saugrenue à ses potes d’enfance. Au vu de son succès phénoménale auprès de la gente féminine, un pari est lancé : il devra coucher avec 26 filles dont les noms correspondent à l’alphabet. Certaines lettres passent plus facilement que d’autres et vient alors le tour du X !

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    Le sexe c’est toujours un thème qui marche au cinéma alors il suffit de trouver un scénario aussi bancal soit-il pour faire un film. Il aura suffit de réciter son alphabet pour trouver la trame de Pigs où un groupe de mecs jouent les parieurs sur les performances disons de séduction d’un de leur pote d’enfance pour se divertir un peu. Evidemment, il y a des mecs qui n’hésitent pas à prendre les femmes pour des objets et un autre gars offusqué par ce comportement néandertalien bref, vous connaissez déjà la chanson. A l’image du scénario, voilà donc un teen movie relativement affligeant qui ne trouvera aucun intérêt à vos yeux à moins de vouer un culte à la médiocrité.

  • Yamakasi

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    Non monsieur, tous les jeunes des cités ne sont pas des délinquants ; la preuve par 7 avec nos potes les Yamakasi, de jeunes athlètes capables de se mouvoir dans un environnement urbain tels des panthères. Hélas, à faire l’admiration des enfants ceux-ci tentent de reproduire les exploits de leurs ainées et un accident est vite arrivé ! C’est l’histoire de Djamel (Nassim Faid) qui a fait une grave chute et qui avait déjà des problèmes de santé ce qui rend son état encore plus préoccupant. Il a besoin d’une greffe du cœur en urgence et cette opération coute extrêmement chère et malheureusement sa famille n’a pas les ressources financières nécessaires. Les Yamakasi entrent alors en jeu et décident de remettre au gout du jour la légende de Robin des bois.

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    Si on peut être fier des Yamakasi et de leurs exploits physiques, on ne peut pas en dire autant de ce film qui repose sur une intrigue aussi élaborée que les chansons d’Eve Angeli. Producteur du film, Luc Besson a voulu tendre la main à ces jeunes prodiges qui sont loin d’être des comédiens nés et en dehors de les voir sauter à gauche et à droite pendant 1H30, il ne se passe strictement rien. Humour poussif, personnages bien caricaturés ; Yamakasi ressemble davantage à une belle opportunité commerciale qu’à une œuvre cinématographique. S’il fallait rendre hommage à ces artistes urbains, un documentaire sur leurs exploits aurait été mieux accueilli plutôt que ce concentré de médiocrité.