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  • Mortal Kombat

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    Un nouveau tournoi Mortal Kombat est sur le point de débuter et il pourrait sceller le destin de la Terre. Après avoir remporté 9 victoires consécutives, le maléfique Shang Tsung (Cary-Hiroyuki Tagawa) pourrait en effet envahir notre monde s’il venait à être déclaré vainqueur mais le Seigneur Rayden (Christophe Lambert) n’entend pas le laisser faire. Parmi tous les participants, il va soutenir un trio prometteur composé de Liu Kang, Johnny Cage & Sonya Blade (Robin Shou, Linden Ashby & Bridgette Wilson) mais ils sont encore loin d’être prêts à vaincre leurs adversaires. Pour Liu Kang, ce tournoi a surtout un parfum de revanche car son jeune frère Chan (Steven Ho) fut vaincu par Shang Tsung qui s’est également emparé de son âme.

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    A l’époque de sa sortie au cinéma, j’avais adoré Mortal Kombat car il faut remettre les choses dans leur contexte, cela suivait la désastreuse adaptation de Street Fighter. Plus de 15 ans plus tard, je me rends maintenant compte que le film de Paul W.S. Anderson était loin d’être le résultat exceptionnel que je voulais bien croire. Le casting déjà est une catastrophe hormis peut-être Robin Shou qui est le seul à savoir se battre et puis il y a cette profusion d’effets spéciaux qui paraissent totalement désuets aujourd’hui. Il y a des films qu’il ne vaut mieux pas revoir et cette adaptation du jeu de Midway en fait clairement parti. Écrasante déception !! En tout cas, le film aura eu suffisamment de succès à l’époque pour nous offrir une suite, une merveilleuse perle de kitsch.

     

    En savoir plus sur Mortal Kombat Destruction Finale ?

  • Poulet aux prunes

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    Violoncelliste de génie, notre pote Nasser-Ali (Mathieu Almaric) a parcouru le monde grâce à sa musique et il vit aujourd’hui avec sa famille à Téhéran. Il est à la recherche d’un nouvel instrument depuis que sa femme Faringuisse (Maria De Medeiros) a cassé son violon mais il n’est pas évident de dénicher un instrument à sa mesure. Désespéré, il décide d’en finir avec la vie et dans exactement 8 jours, il ne sera plus de ce monde. Reste maintenant à savoir comment il va quitter ce monde, des méthodes les plus violentes à celles moins douloureuses rien ne semble lui convenir et il décide simplement de rester au lit en attendant que la mort vienne le chercher.

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    On avait découvert la première réalisation de Marjane Satrapi avec Persépolis, un formidable film d’animation à voir absolument et donc ce retour sur le grand écran était pour le moins attendu. Nouvelle adaptation d’une de ses œuvres, Poulet aux prunes s’humanise à travers Mathieu Almaric plongé dans un univers visuellement enchanteur. Si on se laisse séduire dans un premier temps par la magie de l’histoire, l’effet n’arrive malheureusement pas à perdurer pendant 1H30. On est même un peu confus lorsque se succèdent les scènes de flashback et de Flash forward ce qui n’empêchera pas ce film de séduire les spectateurs mais qui ne restera pas gravé dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Rechercher la recette du poulet aux prunes.

  • La couleur des sentiments

    cinéma, film, drame, comédie, Emma Stone, Jessica Chastain, Viola Davis, Bryce Dallas Howard, Allison Janney, Chris Lowell, Sissy Spacek, Octavia Spencer, Tate Taylor

    Son rêve est d’être journaliste et notre pote Skeeter (Emma Jones) va tout faire pour y arriver et pour le moment elle a besoin d’avoir plus d’expérience dans le métier. Ce travail au Jackson Journal est donc une belle opportunité pour elle même s’il n’est pas très intéressant mais elle va finir par trouver un sujet passionnant pour l’écriture d’un livre : la vie des femmes noires. Nous sommes dans l’Amérique des années 1960 et l’égalité entre blancs et noirs n’est encore qu’une belle utopie. Les femmes noires sont cantonnées aux taches ménagères et sont chaque jour victimes de discriminations. Avec les témoignages d’Aibileen & Minny (Viola Davis & Octavia Spencer), Skeeter a l’intention de révéler les difficiles conditions de vie de ces femmes courageuses.

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    C’est une époque pas si lointaine puisque la lutte pour l’égalité des droits civiques remontent au célèbre discours de Martin Luther King en 1963, révolution sociétale à laquelle La couleur des sentiments joue les prologues. Adaptation du roman du même nom, le film utilise un schéma bien classique mettant en opposition les mauvais patrons blancs face aux servantes victimes et au milieu un personnage, une "héroïne" qui va rétablir un semblant de justice. Malgré le fait qu’on ne soit pas submergé par l’originalité, on n’est pas complètement indifférent à cette jolie fable et on s’étonne même de voir les 02H26 défiler sans temps mort.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter définitivement les tartes au chocolat.

  • De force

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    Ils sont surnommés les All blacks et ont encore fait parler d’eux dans les médias après cette nouvelle attaque d’un fourgon blindé. Parmi les victimes se trouve le fils d’un ministre et dès lors, la recherche de ces criminels va devenir la priorité de la Procureure Danielle Canetti (Anne Consigny). Clara Damico (Isabelle Adjani), commandant de la BRB a désormais carte blanche pour arrêter ce gang et elle se tourne vers Manuel Makarov (Eric Cantona), ancien criminel reconverti mais celui-ci n’a aucune intention d’aider les flics. Ce choix, il ne l’aura plus lorsqu’il va se faire évader de force ; à lui désormais de prendre contact avec Jimi Weiss (Simon Abkarian) et découvrir leur prochain coup.

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    On va essayer de peser les mots : De force est une grosse daube ! Bon, voilà un poids en moins et si vous trouvez ce jugement sévère c’est que vous n’avez vraiment pas vu le film de Franck Henry. Déjà le scénario est d’une niaiserie déconcertante : un fils de ministre de passage dans un fourgon blindé se fait descendre et donc là les flics décident de faire leur travail. Vient s’ajouter à cela un jeu d’acteur désastreux à l’image de la participation de Francis Kuntz, une scène qu’on croirait sortie directement d’une émission du Groland. Tout tourne tellement au ridicule qu’on ne peut s’empêcher de s’esclaffer devant tant d’absurdités mais je ne suis pas sur que c’était l’effet espéré par le réalisateur.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si le réalisateur n’a pas interverti les répétitions avec son film ?


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Killer elite

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    Autrefois, Danny (Jason Statham) était un mercenaire et avec son pote d’enfance & mentor Hunter (Robert De Niro), ils formaient un duo du tonnerre jusqu’à cette dernière mission au Mexique. A partir de ce moment précis et après avoir croisé le regard d’un enfant innocent, il a raccroché et est parti vivre en Australie mais son passé va vite le rattraper. Il reçoit des photos montrant Hunter prisonnier, celui-ci est détenu par le Sheik Amr (Rodney Afif) qui n’acceptera de le libérer qu’à la seule condition que Danny se débarrasse de 3 cibles. Ces 3 personnes sont directement responsables de la mort des fils du Sheik qui réclame vengeance avant de s’éteindre mais ils sont également membres du Special Air Service (SAS) britannique.

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    Ce n’est pas encore pour cette fois qu’on va découvrir Jason Statham dans une comédie romantique et ce n’est pas plus mal ! Killer elite s’inspire d’évènements réels et notamment des agissements souvent obscurs du SAS à partir du témoignage écrit de Ranulph Fiennes. Un thriller bien rythmé même si on regrette que Robert De Niro fasse un peu de la figuration - au moins il sait commander du vin en France - rattrapé toutefois par un charismatique Clive Owen. Même si le scénario n’a rien de vraiment exceptionnel, il est suffisamment bien ficelé pour nous garder en haleine et on est absorbé par les phases d’action. Certainement pas le genre de film qui restera dans les mémoires mais pour les amateurs du genre, ça fera largement passer le temps !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vous battre lorsque vous êtes ligoté à une chaise.

  • Polisse

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    Chaque jour en France, plus de 260 enfants sont victimes de violences et nos potes de la Brigade de la Protection des Mineurs (BPM) de Paris en ont vu de toutes les couleurs. Chaque nouvelle journée apporte son lot de surprises, d’incompréhension, de honte mais aussi de révolter et c’est ce quotidien peu ordinaire que Melissa (Maïwenn) a décidé d’étudier. Grace à ses relations, cette photographe a en effet l’autorisation de suivre ces policiers d’un genre bien particulier dans leur travail. Récupérer des enfants dans un camp, trouver un toit pour héberger une mère et son fils ou rechercher un bébé kidnappé sont autant d’épreuves qu’elle va découvrir au cours de son reportage.

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    Les années passent et plus que jamais, la réalisatrice Maïwenn s’impose comme une figure à part entière du cinéma français et Polisse est là pour nous rappeler combien il faut compter sur elle ! Tranche de vie dans la BPM de Paris où les affaires sordides succèdent à des faits-divers plus légers, il y a des scènes de Polisse qui sont parfois édifiantes. Impossible de se retenir de rire devant les répliques de ces policiers confrontés à des situations incroyables, une façon d’extérioriser leurs véritables sentiments. Soutenu par un casting impeccable qui a su recréer une authentique ambiance de groupe, l’objectif était de faire passer ce film pour un documentaire et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est réussi !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas faire n’importe quoi lorsqu’on vous pique votre portable !

  • E.T. L’extra-terrestre

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    Au cœur d’une foret située à Los Angeles, d’étranges créatures ont posé le pied sur notre planète et lorsqu’un groupe d’hommes surgit brusquement, c’est l’affolement. Un engin spatial s’élève alors dans le ciel et disparait mais dans la précipitation, ils ont laissé derrière eux un des leurs ; celui-ci est totalement désorienté et va se retrouver dans un jardin. C’est Elliot (Henry Thomas) qui le premier entend des bruits étranges puis va découvrir et recueillir cet extraterrestre qu’il nommera E.T. Très vite, il confie son secret à son grand frère Michael (Robert MacNaughton) et à sa petite sœur Gertie (Drew Barrymore). Ils feront tout leur possible pour le dissimuler mais aussi pour l’aider à contacter les siens et lui permettre ainsi de retourner à sa "maison".

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    Steven Spielberg est à n’en pas douter l’un des plus grands cinéastes que l’on ait connu à ce jour et pour moi E.T. L’extra-terrestre restera son plus grand chef d’œuvre. Fantasme de toute une époque, la rencontre avec des extra-terrestres a souvent donné lieu à des films catastrophes et c’est l’une des premières fois qu’on nous présente un envahisseur pacifique. E.T. , c’était quand même le pote d’enfance qu’on rêvait tous d’avoir et ce film qui regorge de scènes inoubliables et, comme tout le monde le sait, a également a marqué les débuts de Drew Barrymore. Impossible de passer à coté de ce film culte qui a participé à l’éducation cinématographique de millions de spectateurs dans le monde et peut-être un jour dans l’univers !

     

    La scène à ne pas louper : La connexion entre E.T. & Elliot

  • Paranormal Activity 3

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    Septembre 1988. Julie & Dennis (Lauren Bittner & Christopher Nicholas Smith) et leurs 2 filles Katie & Kristi (Chloe Csengery & Jessica Tyler Brown) viennent de s’installer dans leur tout nouvelle maison où ils ont tout pour être heureux. Pourtant, d’étranges bruits attirent leur attention et plus particulièrement Dennis qui ne se sent pas rassuré et décide de tirer cette histoire au clair. Il installe ainsi 2 caméras dans sa chambre et dans celle des filles et va assister à de drôles de phénomènes. Il constate tout d’abord que la petite Kristi se réveille en pleine nuit pour discuter avec Toby, son ami imaginaire mais le couple va ensuite être témoin d’évènements surnaturels.

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    On ne peut pas dire que ce soit une surprise de voir débarquer sur nos écrans un Paranormal Activity 3, ce qui aurait été plus surprenant ça aurait été de voir un bon film ! Aucunes inspirations pour cet épisode qui revient aux origines de l’histoire et de soi-disant explications qui nous laissent plutôt interloqués. Pour le reste, c’est encore et toujours la même recette avec des caméras disséminés dans la maison dont une installée sur un ventilateur (la seule innovation du film !) et on n’a plus qu’à attendre de sursauter de son siège. Sauf qu’en la matière, il y a peu de choses pour nous donner des sueurs froides et la seule peur est que ce film ne connaisse pas de fin.

     

    Il faut le voir pour : Dire à votre fille d'arrêter de vouloir jouer à Bloody Mary !

     

    En savoir plus sur Paranormal Activity ?

    En savoir plus sur Paranormal Activity 2 ?

    En savoir plus sur Paranormal Activity 4 ?

    En savoir plus sur Paranormal Activity 5 : Ghost dimensions ?

    En savoir plus sur Paranormal activity : The marked ones ?

  • Johnny English, le retour

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    Depuis le désastre de sa mission au Mozambique, l’agent Johnny English (Rowan Atkinson) a été révoqué du MI 7 et s’est exilé au Tibet. Alors que plus personne ne s’attendait à le revoir au service de sa majesté, Pegasus (Gillian Anderson) est forcée de le réactiver pour une mission d’une extrême importance. Un contact localisé à Hong-Kong a en effet demandé à rencontrer English pour lui dévoiler les détails concernant le prochain assassinat du premier ministre chinois. Il y apprend par ailleurs qu’un groupe de tueurs à gages nommé Vortex est chargé d’exécuter ce contrat mais ils devront d’abord réunir une clé divisé en 3 parties.

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    On ne peut pas dire que le personnage de Johnny English ait laissé un souvenir impérissable au cinéma mais on apprécie toujours de revoir notre pote Rowan Atkinson. Une nouvelle mission attend l’agent britannique à qui aucune gaffe n’échappe et même si l’humour est relativement primaire, on se marre toujours de bon cœur. Comment ne pas rire devant cette mamie asiatique capable de transformer son aspirateur en fusil ou en tronçonneuse ? Bien entendu, si vous n’avez jamais supporté l’acteur dans la mythique série Bean, inutile de vous dire que vous n’avez pas du tout votre place devant Johnny English, le retour !

     

    Il faut le voir pour : Muscler votre P… !

  • Le fils du mask

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    Tania & Tim Avery (Traylord Howard  & Jamie Kennedy) vivent en couple et la jeune femme se sent prête à franchir un cap : elle veut un enfant ! Son compagnon est moins enthousiaste tout d’abord parce que sa situation professionnelle est encore précaire mais surtout parce qu’il craint d’endosser les responsabilités d’être père. Un jour, leur chien ramène un drôle de masque à la maison ; un objet qui est loin d’être anodin puisqu’il a été crée par le maléfique Loki (Alan Cumming) et quiconque le met sur son visage se transforme en un être extraordinaire. Ça ne rate pas avec notre pote Tim et le résultat neuf mois plus tard c’est la naissance d’Alvy (Liam & Ryan Falconer), un bébé qui va manifester de drôles de pouvoirs.

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    C’était presque inévitable, avec le succès de The mask, les studios hollywoodiens se sont dit qu’il y avait encore de l’argent à se faire et ont mis en chantier cette suite qui malheureusement n’a rien à voir avec le 1er épisode. Tout d’abord exit Jim Carrey & Cameron Diaz ce qui handicape déjà fortement Le fils du mask mais on aurait pu s’en accommoder si le scénario et la réalisation avaient été de qualité. C’est un peu à l’image du personnage du Mask qui se voit ici affublé d’une chevelure en plastique, tout ça parait vraiment artificiel ! Que ceux qui ont pu voir le volet précédent reste sur ce bon souvenir et évitent ce film au risque d’être dégoûté du vert pendant quelques semaines.