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dominic west

  • Pride

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    1984 en Angleterre. La politique de fer instaurée par Margaret Thatcher secoue le pays et provoque ce qui sera la plus grande grève des mineurs ; un mouvement qui ne se déroule pas toujours de manière pacifique. Cette situation, notre pote Mark (Ben Schnetzer) la connaît assez bien puisqu’il la vit tous les jours ; être homosexuel lui a valu de nombreuses discriminations. Il décide ainsi avec d’autres potes d’enfance de créer le LGSM en solidarité avec les mineurs et de récolter les fonds qui pourraient les aider. Seulement lorsqu’ils contactent les syndicats, ces derniers se montrent très frileux jusqu’au moment où la LGSM entre directement en contact avec un village du Pays de Galles.

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    Après de ce film, un constat s'impose : c'est une histoire tout de même merveilleuse qui méritait vraiment la peine d’être racontée sur le grand écran. Inspiré de faits réels, Pride nous invite ainsi à découvrir le destin commun de 2 mondes totalement différents à savoir les travailleurs et les homosexuels. Au niveau du récit, le réalisateur Matthew Warchus s'appuie sur un schéma très classique mais on se laisse entraîner avec grand plaisir par cet exemplaire élan de solidarité parcouru par quelques rires. Un feel-good movie qui redonne un peu foi en l'humanité et donc c'est à ne pas manquer d'où ce Coup de cœur Cin2909 !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que les lesbiennes sont végétariennes !

  • John Carter

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    C’est une aventure qui commence en 1868, notre pote John Carter (Taylor Kitsch) tente d’échapper à la cavalerie américaine qui souhaiterait l’enrôler de gré ou de force. Dans sa fuite et sous la menace des indiens, il trouve refuge dans une grotte où est renfermé un mystérieux signe inscrit dans la roche. Un homme vêtu de manière étrange apparait soudainement et dans la confusion, John  perd conscience. A son réveil, il est au milieu d’un désert mais le plus surprenant c’est qu’au départ il n’arrive même pas à faire un pas sans tomber. Il l’ignore encore pour le moment mais il a atterri sur une autre planète appelée Barsoom que nous humains connaissons sous le nom de Mars.

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    Né de l’imagination du romancier Edgard Rice Burroughs (connu aussi comme le papa de Tarzan), le personnage de John Carter pourrait bien devenir le héros d’une nouvelle saga cinématographique. Expédié sur la planète rouge, c’est l’occasion pour le spectateur de découvrir de drôles de créatures, des monstres gigantesques et 2-3 engins volants. Il est toujours amusant de découvrir un nouvel univers malheureusement ici on en fait rapidement le tour. Les héros n’arrivent pas non plus à nous emballer, Taylor Kitsch manque de charisme tandis que Lynn Collins essaie de faire concurrence à la Princesse Leïa dans Le retour du Jedi. Si techniquement le film a les moyens de ses ambitions, il n’offre pas du tout le spectacle divertissant qu’on était en droit d’attendre.

     

    Il faut le voir pour : Vous entrainer au saut en hauteur.

  • Johnny English, le retour

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    Depuis le désastre de sa mission au Mozambique, l’agent Johnny English (Rowan Atkinson) a été révoqué du MI 7 et s’est exilé au Tibet. Alors que plus personne ne s’attendait à le revoir au service de sa majesté, Pegasus (Gillian Anderson) est forcée de le réactiver pour une mission d’une extrême importance. Un contact localisé à Hong-Kong a en effet demandé à rencontrer English pour lui dévoiler les détails concernant le prochain assassinat du premier ministre chinois. Il y apprend par ailleurs qu’un groupe de tueurs à gages nommé Vortex est chargé d’exécuter ce contrat mais ils devront d’abord réunir une clé divisé en 3 parties.

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    On ne peut pas dire que le personnage de Johnny English ait laissé un souvenir impérissable au cinéma mais on apprécie toujours de revoir notre pote Rowan Atkinson. Une nouvelle mission attend l’agent britannique à qui aucune gaffe n’échappe et même si l’humour est relativement primaire, on se marre toujours de bon cœur. Comment ne pas rire devant cette mamie asiatique capable de transformer son aspirateur en fusil ou en tronçonneuse ? Bien entendu, si vous n’avez jamais supporté l’acteur dans la mythique série Bean, inutile de vous dire que vous n’avez pas du tout votre place devant Johnny English, le retour !

     

    Il faut le voir pour : Muscler votre P… !

  • The Punisher-Zone de guerre

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    Il y a encore 4 ans, il s’appelait Franck Castle (Ray Stevenson) et était un simple père de famille heureux. Aujourd’hui tout le monde le connait sous le nom du Punisher, un justicier qui traque les criminels et applique comme unique sentence la mort. Sa femme et ses 2 enfants avaient assisté involontairement à une exécution de la Cosa Nostra et ils ont été réduits au silence. Depuis, Franck fait le ménage dans les rues en éliminant tous les mafieux qui croisent son chemin mais ses méthodes ne sont pas du gout de tout le monde. Sa dernière victime Billy a.k.a. Jigsaw (Dominic West) ne dira pas le contraire, lui qui a eu le visage lacéré et qui réclame désormais vengeance.

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    Le Punisher n’en est pas à sa première adaptation cinématographique puisqu’on avait déjà eu le film de 1989 avec Dolph Lundgren puis plus récemment celui avec Thomas Jane en 2004. Première constatation, The Punisher-Zone de guerre est beaucoup plus violent que ses prédécesseurs ; on ne fait pas dans la dentelle et les têtes explosent les unes après les autres. C’est désormais Ray Stevenson (vu dans la série Rome) qui incarne le justicier sans foi ni loi et à mon gout c’est la meilleure interprétation à ce jour. On ne peut malheureusement pas en dire autant de son rival Jigsaw qui a plus l’air d’un clown que d’un mafieux et c’est d’ailleurs ce qui plombe le film !