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  • Babycall

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    Pour fuir un mari violent, notre pote Anna (Noomi Rapace) et son fils Anders (Vetle Qvenild Werring) viennent de s’installer dans ce nouvel appartement où ils vont pouvoir redémarrer une nouvelle vie. La mère reste cependant encore très marquée par ce qu’elle vient de subir et craint pour la sécurité de son enfant et fait tout ce qu’il faut pour le protéger, un comportement parfois même excessif. Elle va jusqu’à aller acheter un baby-phone pour être sure qu’Anders dort tranquillement et un soir elle est réveillée en sursaut. Elle est rassurée lorsqu’elle se rend compte que cela ne provient pas de chez elle ; elle a capté la fréquence d’un autre baby-phone et ce qu’elle entend l’inquiète au plus haut point puisque l’enfant semble victime de violences.

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    Présenté au départ comme un simple drame familial, Babycall prend ensuite des chemins inattendus amenant une certaine confusion dans l’esprit des spectateurs. Difficile à partir de là de démêler le vrai du faux et on se laisse aisément mener par le bout du nez par une Noomi Rapace qu’on découvre dans tous les registres. L’intrigue entre progressivement dans le fantastique bien aidée aussi par son atmosphère très froide dommage que dans son déroulement l’histoire ne fasse pas davantage preuve de spontanéité pour nous emballer. Un thriller norvégien assez surprenant donc auquel je vous conseille de jeter un œil car un remake américain n’est pas à exclure dans les prochaines années !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de dormir avec votre maman surtout que vous avez déjà 29 ans …

  • Je te promets - The vow

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    Depuis qu’ils se sont rencontrés, la passion a toujours accompagné Paige & Leo (Rachel McAdams & Channing Tatum) mais un accident de la route va bouleverser leur couple. Tombée dans le coma, la jeune femme reprend doucement connaissance mais a perdu tout souvenir de ses 4 dernières années soit l’exacte période où elle a rencontré son mari. Elle a désormais besoin de retrouver une certaine routine et espérer que certains éléments lui permettront de recouvrer la mémoire. Tandis que Leo fait tout son possible pour l’aider, il voit Paige s’éloigner chaque jour un peu plus sous l’influence de ses parents. Ceux-ci s’étaient disputer avec leur fille avant qu’elle ne se marie avec Leo et veulent profiter de cet évènement pour la faire revenir auprès d’eux.

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    Au risque de paraitre un tantinet (mais seulement un tantinet) misogyne, Je te promets - The vow a tout du film destiné aux gonzesses au public féminin si raffiné. Rendez-vous avec une histoire très émouvante qui est inspirée d’un véritable fait-divers raison de plus pour laisser couler quelques larmes. Seulement, il suffit plus que le cul nu ou la musculature de Channing Tatum et une quelconque Rachel McAdams pour donner à ce film une véritable âme. On regrette que le scénario n’est pas davantage développé le combat de Leo pour retrouver sa femme ce qui nous aurait épargné cette bouillie romantique qui ne tient évidemment pas ses promesses !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de demander l’avis de votre compagnon, il n’est pas objectif (du moins s’il est vraiment amoureux)

  • Men In Black

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    Pour beaucoup d’entre nous, l’existence des extraterrestres n’est qu’un fantasme de l’homme et pourtant cela fait des années qu’ils cohabitent avec nous. L’agent K (Tommy Lee Jones) est d’ailleurs bien placé pour en parler puisqu’il est chargé de réguler les migrations sur notre bonne vieille planète ; il est un Men In Black ! Pour l’heure, il doit trouver un nouvel équipier capable de l’épauler et surtout prêt à tout abandonner pour cette mission d’un genre particulier. C’est ainsi qu’il tombe sur l’agent de police James Edwards (Will Smith), un flic dynamique de New York qui va devenir l’agent J. Un travail pour le moins insolite et les débuts sont assez mouvementés car qui aurait cru que nous étions entourés par des milliers d’extraterrestres !

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    Si ce film n’a pas vraiment les atouts pour être une grande œuvre cinématographique, il faut quand même reconnaitre que Men in Black a marqué une génération. Plusieurs éléments sont devenus des références à commencer par le costume impeccable des agents accompagnés de l’accessoire indispensable que sont leurs lunettes noires mais aussi le désormais célèbre neuro neutraliseur. Reprenant le concept du duo comique au sein d’une histoire aussi drôle, décalée et innovante ; Barry Sonnenfeld n’a pas eu de grandes difficultés pour imposer son film. Que du fun donc en compagnie des agents J & K et on ne rechigne jamais à rejeter un œil à leurs aventures !

     

    En savoir plus sur MIIB ?

    En savoir plus sur Men In Black 3 ?

  • La cerise sur le gâteau

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    On dit d’elle qu’elle est androphobe ; Amanda (Laura Morante) semble en effet avoir un sacré problème avec les hommes qui lui plaisent. A travers toutes ses relations passées, il y a toujours eu ce moment où elle a éprouvé un blocage psychologique et c’est d’ailleurs ce qu’elle traverse actuellement avec Bertrand (Frédéric Pierrot). En couple depuis 1 an, ils ont pour projet de s’installer ensemble mais Amanda se montre de plus en plus distante et elle s’apprêtait à passer le réveillon du nouvel an seule dans son coin. Sa pote d’enfance Florence (Isabelle Carré) la convainc de se joindre à elle pour un diner où elle fera la connaissance d’Antoine (Pascal Elbé) avec qui elle accroche immédiatement mais manque de chance pour elle, il est homosexuel … du moins c’est ce qu’elle pense !

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    Pour sa première réalisation, Laura Morante se met également en scène dans une comédie romantique intrigante au départ mais qui finit par se révéler en fait juste dépassée. On se laisse déjà perturber par une trame historique parfois brouillonne avant qu’elle ne finisse par tomber dans une affligeante banalité. Difficile également d’accrocher aux personnages ; Amanda finissant presque par être agaçante, Antoine a autant d’énergie que Droopy tandis que Maxime fait la part belle aux clichés. La cerise sur le gâteau n’a donc rien d’appétissant et les quelques notes d’humour ne résident finalement que dans les quelques expressions lâchés par le mari de Florence. A l’image de l’héroïne qui n’aime pas le pétillant, voilà une comédie tout ce qu’il y a de plus plate !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la cerise du gâteau !

  • Contrebande

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    Si aujourd’hui notre pote Chris Farraday (Mark Wahlberg) est un chef d’entreprise et un père de famille heureux, dans le passé il s’est forgé une sacrée réputation en tant que contrebandier. Il s’était juré de ne plus jamais retourné dans ce milieu mais son beau-frère va le précipiter dans un sacré pétrin. Andy (Caleb Landry Jones) pensait en effet pouvoir se faire un nom au lieu de quoi il n’a réussi qu’à provoquer la colère de Tim Briggs (Giovanni Ribisi) après avoir paumé une cargaison de drogue. C’est à Chris que revient la charge de rembourser la dette et pour cela il va devoir se rendre au Panama pour réaliser un énorme coup : ramener plus de 15 millions de dollars en faux billets !

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    Il y avait quelque chose à creuser avec le principe de Contrebande qui s’apparente à un film de braquage. Comme dans ces films, une équipe est constituée mais ces rôles secondaires participent davantage aux décors qu’à donner le moindre relief à l’histoire. Même notre pote Mark Wahlberg dans la peau de ce contrebandier de génie désormais repenti ne semble pas y croire et on aurait pu espérer que le personnage de Ben Foster vienne rattraper le coup mais il ne faudra pas trop y compter ! Ce remake d’Illegal Traffic n’a rien d’un navet mais ne nous réserve rien de surprenant et ne nous donne pas vraiment envie de se ruer dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la combine pour vous offrir une Ferrari à moindre cout.

  • Sans issue

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    Les vacances ont débuté sous de mauvais auspices pour notre pote Will Shaw (Henry Cavill) ; à peine arrivé en Espagne, il apprend que sa valise est restée bloquée aux États-Unis. Il se réjouissait pourtant à la perspective de retrouver sa famille mais un coup de fil professionnel va l’obliger à écourter son séjour ce qui ne semble pas plaire à son père Martin (Bruce Willis). L’ambiance est électrique sur le bateau familial et Will décide d’aller se calmer en ville mais à son retour, il découvre un voilier vide et vraisemblablement il s’est passé quelque chose de grave. Après avoir sollicité l’aide de la police locale qui va s’avérer inutile, son père vient à sa rescousse avec une révélation de taille : il n’est pas attaché culturel mais un agent d’une branche de la CIA !

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    Il nous avait étonné avec son JCVD, Mabrouk El Mechri signe cette fois Sans issue, un thriller au fort accent hispanique mais le résultat final est loin de combler nos espérances. S’il y a un certain plaisir à revoir Sigourney Weaver, son rôle est insipide tout comme la participation de Bruce Willis, reste alors Henry Cavill et sa belle gueule mais qui ne possède pas le charisme nécessaire pour porter sur ses épaules ce film d’action comme c’était déjà le cas avec Les immortels. Les scènes se succèdent sans conviction faisant au passage une petite visite guidée de Madrid mais devant un spectacle aussi soporifique, le spectateur sera plus tenté de trouver l’issue de secours de la salle !

     

    Il faut le voir pour : Lâcher votre portable quand vous êtes en famille ou sinon on s’en occupera pour vous !

  • La cabane dans les bois

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    C’est un week-end entre potes d’enfance qui s’annonce mortel ! Curt (Chris Hemsworth) a en effet la chance de se voir prêter une maison près d’un lac par son cousin et il n’a pas manqué l’occasion pour inviter sa copine Jules (Anna Hutchison) ainsi que Dana, Marty & Holden (Kristen Connolly, Fran Kranz & Jesse Williams). Une fois sur place, ils découvrent une cabane assez morbide et ce n’est pas avec ce qu’ils vont trouver dans la cave qu’ils vont être rassurés. Dana tombe en effet sur un journal et en lisant son contenu elle ignore encore qu’elle vient de signer son arrêt de mort et celui de ses amis car elle vient de réveiller une famille de zombies !

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    Enième slash-movie où une bande de jeunes se font massacrer … oui mais non !! Les apparences sont trompeuses et La cabane dans les bois renferme une belle surprise qui évoque un peu celle qu’on avait eue avec la sortie de Scream au milieu des années 1990. Le film reprend ainsi tous les codes du slasher de base avec un second degré assumé tandis que de courtes séquences nous dévoilent progressivement le véritable scénario. Enfin un peu d’originalité j’ai envie de dire et puis surtout une conclusion déjantée qui nous réserve un bain de sang digne de ce nom et même si tout n’est pas parfait c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais descendre dans une cave dont la cave s’ouvre toute seule !

  • Dépression et des potes

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    Pour Talia & Franck (Gyselle Soares & Fred Testot), ces vacances à l’Ile Maurice aurait du être un avant-gout de paradis au lieu de quoi le couple n’a cessé de se disputer jusqu’à provoquer une inévitable rupture. Cette déception sentimentale va alors peu à peu tirer le jeune homme vers la dépression et quand il confie cela à ses potes d’enfance William, Benoit & Romain (Jonathan Lambert, Arié Elmaleh & Ary Abittan) ; ces derniers s’affolent un peu. Enfin, c’est surtout William qui devient clairement parano persuadé que Franck va vouloir mettre fin à ses jours ce qui n’est évidemment pas le cas. En tout cas, si jamais il a besoin de ses meilleurs amis, il pourra toujours compter sur eux !

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    Rien de plus indiqué pour sortir d’une dépression qu’une petite comédie mais encore faut-il que celle-ci réussisse à nous faire rire ! Alors que notre pote Fred Testot commence à broyer du noir après sa rupture, il se voit plus ou moins réconforté par sa bande d’amis qui vont eux aussi connaitre à leur tour cette période trouble. Tous les thèmes sont bons pour nous plonger dans la dépression ; le gars qui galère professionnellement parlant, l’autre incapable de trouver une relation stable ou encore celui qui souffre de ne pas pouvoir connaitre les joies de la paternité. Dépression et des potes fait donc office de fourre-tout autour d’un thème qui n’est qu’un faible alibi pour nous servir un énième film de potes à l’ambiance trop artificiel et aux gags éculés.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’utiliser des expressions dépassées !

  • Alien, le huitième passager

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    Au cœur de l’espace, un vaisseau spatial du nom du Nostromo se dirige vers la Terre mais les occupants sont réveillés de leur profond sommeil car une anomalie a été détectée. Selon leur ordinateur de bord Maman ; une transmission d’origine inconnue a été captée et Dallas (Tom Skerritt) et son équipage doivent y jeter un œil, un devoir qui ne réjouit pas tout le monde. Alors qu’ils posent le pied sur la planète LV-426, cette mission de reconnaissance tourne au désastre lorsque Kane (John Hurt) est attaqué par une mystérieuse créature. Alors que Ripley (Sigourney Weaver) avait refusé de le rapatrier dans le vaisseau, le reste de l’équipage ne se pose pas la question, une imprudence qui va leur couter cher !

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    Sur certains aspects il est indéniable que le chef-d’œuvre de Ridley Scott peut prêter à sourire mais Alien, le huitième passager a bel et bien marqué le cinéma américain. Ce qui n’a par contre pas pris une ride, c’est bien le design de la créature signé Hans Ruedi Giger qui en impose toujours autant ; un élément loin d’être un simple détail dans le succès de la saga. On ne peut pas non plus oublier le rôle de la vie de Sigourney Weaver, Ripley est devenu une icône en devenant la première héroïne véritable d’un film d’action à une époque où cela est loin d’être une évidence. Pour toutes ces raisons, tout amateur du 7ème art ne pourrait faire l’impasse sur cette œuvre qui allait se poursuivre à travers une saga inoubliable.

     

    La scène à ne pas louper : La naissance de l’Alien !


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  • Tue-moi

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    Seule au bord de la falaise, quelques pas de plus auraient suffi pour précipiter notre pote Adèle (Maria-Victoria Dragus) mais elle n’a jamais pu se résoudre à faire le grand saut. Ses parents ne se doutent de rien, il ne voit qu’une adolescente dévouée à leur donner un coup de main pour faire marcher leur ferme. Un jour, en rentrant chez elle, Adèle constate la présence de gendarmes car un prisonnier Timo (Roeland Wiesnekker) est actuellement en fuite. Ce dernier s’est réfugié chez la jeune fille qu’il va prendre en otage mais elle a une réaction étrange ; plutôt que de le dénoncer, elle accepte de l’aider à s’enfuir. La seule condition à cela est qu’une fois qu’il sera à l’abri, il devra la pousser d’une falaise.

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    Pas de mystères, le titre mais aussi la scène d’ouverture résument les intentions du film d’Emily Atef. Les 20 premières minutes sont plutôt soutenues avant de laisser place à une banale cavale où vont se disséminer ça et là quelques éléments de la vie d’Adèle & de Timo censés éclaircir un peu notre lanterne. S’il n’y a rien à reprocher au tandem constitué par Maria-Victoria Dragus & Roeland Wiesnekker, leurs personnages respectifs manquent très clairement de profondeur et rendent ainsi Tue-moi très fade. D’un sujet plutôt intense on se retrouve donc au final avec un film qu’on considérera inachevé et qui ne nous laissera pas un grand souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Voler autre chose qu’un poireau quand vous êtes en cavale et que vous devez vous nourrir !