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  • Chercher le garçon

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    Marseille, le 31 Décembre. Notre pote Emilie (Sophie Cattani) se verse une coupe de champagne bien méritée pour célébrer la nouvelle année à venir avec une résolution : mettre fin à son célibat ! Elle a donc sauté le pas et s’est inscrite sur le site de rencontres MeetMe avec l’espoir d’y trouver l’homme de sa vie. Les premiers rendez-vous ne sont pas de franches réussites et certains prétendants sont même curieux pour ne pas dire collants. Alors que les rencontres s’enchaînent, Emilie commence à désespérer de sa situation et se demande si prince charmant se présentera un jour.

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    Véritable révolution sociétale, les rencontres par Internet ont bouleversé la vie de nombreux célibataires à l’image de notre héroïne Emilie. Chercher le garçon invite ainsi les spectateurs à suivre les nombreuses rencontres pleines de surprises et plus étonnantes les unes que les autres. Entre le fan absolu d’Hugh Grant, l'amateur de Playmobil ou encore celui qui se prend pour un bonobo ; les situations invitent facilement au sourire. Il faut concéder en revanche que le scénario de ce premier film de Dorothée Sebbagh est des plus légers cependant la présence de la pétillante & attachante Sophie Cattani offre une vraie bouffée d’air frais.

     

    Il faut le voir pour : Se mettre au jogging !

  • Dark Shadows

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    1972 à Collinsport dans le Maine. Notre pote Vicky Winters (Bella Heathcote) vient tout juste d’arriver, elle a été engagée par la famille Collins afin de devenir la nouvelle préceptrice du petit David (Gulliver McGrath). Si leur demeure apparait majestueuse, il manque clairement d’entretien mais il faut dire que la famille n’a plus son prestige d’antan. En voyant cela, certains pourraient se retourner dans leur tombe et c’est notamment le cas de Barnabas Collins (Johnny Depp), un vampire qui se retrouve libéré après 196 ans de sommeil. Sa malédiction il la doit à Angelique Bouchard (Eva Green), une sorcière qui n’a pas supporté d’être rejeté par l’homme qu’elle aimait et non seulement il va devoir apprendre à notre époque mais aussi aider ses descendants à redorer leur blason.

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    Une sorcière, un vampire et même un loup-garou ; notre pote Tim Burton ne risquait pas de se sentir dépaysé en adaptant la série homonyme des années 1960. Embarqué dans cette nouvelle aventure, il compte une fois encore sur Johnny Depp grimé en suceur de sang associé à une Eva Green plus femme fatale que jamais. Un cocktail fantastique et morbide assez alléchant au départ  mais l’intrigue fait vite du sur-place et certains personnages comme Elizabeth & Carolyn apparaissent clairement sous-exploités. A défaut de réussir à nous émerveiller, Dark Shadows parvient tout simplement à nous amuser pendant 1H50 mais ne fera pas date dans la filmographie de ce réalisateur à l’imaginaire fantasmagorique.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la marque de Méphisto !

  • W.E.

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    Son prénom, elle le doit à Wallis Simpson (Andrea Riseborough), une américaine du début du XXème siècle qui bouleversa la royauté anglaise par la relation qu’elle entretenait avec Edouard (James d'Arcy), Prince de Galles et futur roi d’Angleterre. La vie de Wally Winthrop (Abbie Cornish), à son grand regret, est loin d’être un conte de fée ; elle vit avec William (Richard Coyle), un médecin prestigieux mais qui se montre rarement disponible difficile alors pour le couple d’envisager de fonder une famille. Tout comme sa mère et sa grand-mère avant elle, Wally est obnubilée par la vie qu’a mené le duc et la duchesse de Windsor et lorsque Sotheby’s organise une vente aux enchères des objets ayant appartenu au couple royal, elle passe ses journées à l’exposition précédant l’évènement laissant parfois son esprit vagabonder.

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    Ce n’est pas 1 mais 2 histoires que nous dévoile W.E., la dernière réalisation de Madonna. Nous découvrons ainsi les vies parallèles de 2 femmes de différentes époques impliquant un perpétuel va-et-vient temporel assez troublant au départ. Le problème est que si la vie de Wallis Simpson, future Duchesse de Windsor reste assez passionnante à suivre, ce n’est pas le cas avec l’histoire de la pauvre Wally malgré tout le talent d’Abbie Cornish. Les points de vue alimenteront les discussions mais à mes yeux, ce film n’est ni plus ni moins qu’un biopic sur Simpson que la reine de la pop a voulu naïvement embellir. A voir juste pour compléter votre connaissance de la famille royale anglaise d’autant plus si vous avez apprécié Le discours d’un roi.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre femme participer à une vente aux enchères, ça pourrait vous couter cher !

  • Sea, No sex and sun

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    Qui dit été dit forcément Grandes vacances mais pour l’heure si Alex (Arthur Mazet) a rejoint Carnac, c’est avant tout pour travailler afin de financer son prochain voyage en Grèce. Il a été embauché au club de tennis dirigé par Raphaëlle (Armelle Deutsch) et il va avoir la très bonne surprise de croiser Diane (Alma Jodorowsky), une fille qu’il a côtoyé au lycée et sur laquelle il fantasme depuis toujours. Il est évident qu’il s’agit là d’un signe du destin et Alex va mettre tous les atouts de son coté pour la séduire mais certains imprévus risquent de ruiner ses plans. La Bretagne, c’est aussi la destination de Justine & Guillaume (Julie Ferrier & Fred Testot) et de leur fille. Il y a passé toute son enfance et veut faire découvrir la région à sa femme mais ce retour aux sources va aussi lui permettre de revoir un pote d’enfance !

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    Voilà de quoi vous donner un petit avant-goût des vacances avec ce film choral qui nous présente de jolis paysages de Bretagne. Sans grandes prétentions ; Sea, No sex and sun a de quoi nous faire passer un bon moment grâce à quelques bonnes idées comme ce parallèle établi entre les 3 personnages masculins mais pas totalement exploité. Si les similitudes entre Alex & Guillaume sautent aux yeux, ce n’est pas forcément le cas avec celui de Pierre qui se retrouve être un peu plus en retrait. Pour le reste, il faut surtout compter sur la sympathie du casting de la première réalisation de Christophe Turpin pour se changer un peu les idées.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les "potes" de votre mari !

  • Maman

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    Notre pote Sandrine (Mathilde Seignier) n’a pas sauté au plafond lorsqu’elle a appris par sa sœur Alice (Marina Foïs) que leur mère s’apprêtait à emménager à Paris et pour cause cela fait 20 ans qu’elles ne s’étaient pas revu ! Paulette (Josiane Balasko) - mais ne l’appelez surtout pas comme ça - a en effet décidé de monter à la capitale après sa rupture mais ce retour soudain dans la vie de ses filles va causer plus de problèmes qu’autre chose. La première réunion de famille se solde par une nouvelle dispute et le départ précipité de Sandrine et ses 2 fils. Plus tard, lorsque les esprits se sont calmés ; Paulette se voit invitée à déjeuner par ses filles mais ceci n’est en fait qu’une excuse car celles-ci vont en fait la kidnapper et demander quelques explications.

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    Traitant de la relation Mère / Fille, Maman trouvera certainement un plus grand écho auprès du public féminin d’autant plus que la réalisatrice Alexandra Leclère y a imprimé une touche très personnelle. Impossible de passer à coté de ce magnifique trio d’actrices avec les 2 caractères forts que sont Josiane Balasko & Mathilde Seignier et une extraordinaire Marina Foïs qui n’est pas en reste lorsqu’elle pète les plombs ! On est par contre moins convaincu par le face à face entre les filles et leur mère ; il n’y a pas véritablement d’explications sur leurs relations conflictuelles comme si  on avait un peu survolé le thème essentiel du film. Un point faible qui retire beaucoup et l’on devra donc se contenter de l’admirable interprétation des comédiennes pour constituer le cœur de ce long-métrage.

     

    Il faut le voir pour : Être bien content de ne pas avoir besoin de kidnapper votre mère pour lui parler !

  • Margin Call

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    Toute la firme retient son souffle ; à la fin de la journée certains employés devront vider leurs bureaux et c’est le cas de notre pote Eric Dale (Stanley Tucci). Après 19 ans de loyaux services, il est remercié sans ménagement et c’est un homme complètement désabusé qui s’en va. Avant cela, il travaillait sur un dossier très important qu’il n’est pas parvenu à achever aussi confie-t-il cette responsabilité à un de ses collègues Peter Sullivan (Zachary Quinto) suivi d’un conseil intriguant : "Sois prudent". Quand ce dernier se met à regarder ce fameux dossier, il découvre quelque chose qui pourrait bien mettre en péril toute la firme. En plein cœur de la nuit, une réunion de crise est alors organisée.

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    Avec la crise économique sans précédent qui a frappé le monde, nos potes financiers n’ont pas été en odeur de sainteté ces derniers temps et ce n’est pas Margin Call qui va arranger leurs affaires ! Projeté en plein cœur d’une firme, nous devenons ainsi les témoins des grandes manœuvres des hautes sphères pour dissimuler une légère anomalie qui se chiffre tout de même à des millions de dollars. Le film devient alors un huis-clos plein de tensions mené par un casting impressionnant réunissant Harvey Keitel, Demi Moore, Paul Bettany ou encore Jeremy Irons qui redonne un léger coup de fouet à l’intrigue. Pas mauvais en soi, le sujet commence par contre à lasser et sans vraiment trouver le temps long, certains passages apparaissent presque creux ; à voir si vos finances vous le permettent.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on construise plus de ponts !

  • Aliens, le retour

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    57 ans ! C’est le temps durant lequel notre pote Ripley (Sigourney Weaver) a dérivé dans l’espace après s’être miraculeusement échappé de la monstrueuse créature qui a décimé l’équipage du Nostromo. Difficile pour elle de reprendre une vie normale après un tel traumatisme d’autant plus que la Compagnie la tient en partie responsable de ce désastre. Ajoutez à cela qu’elle apprend que la planète LV- 426 sur laquelle elle a rencontré ces fameux Aliens est désormais habitée et les avertissements lancés par Ripley n’y changeront rien. Du moins c’était vrai jusqu’à ce que les communications avec la planète soient soudainement coupées, on la prend maintenant au sérieux et l’invite à prendre part à une expédition accompagné d’une escouade de Marines.

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    Exit Ridley Scott, c’est maintenant James Cameron qui reprend en main le destin de notre pote Ripley et il prend un malin plaisir à la replonger dans la gueule du loup ou plutôt devrais-je dire des Aliens ! Après avoir fait tomber l’équipage du Nostromo, c’est désormais un groupe de Marines surentrainés qui entrent en action contre rien moins qu’une armada de créatures assoiffées de sang. Dans la lignée du précédent épisode, le célèbre réalisateur d’Avatar sait installer le suspense et la tension du spectateur ne peut que frétiller au son de ce détecteur de mouvements. Le personnage de Ripley se dévoile un peu plus mais surtout devient la véritable héroïne de la saga avec notamment la scène de la libération de Newt d’anthologie. Aliens, le retour ne nous ménage pas en termes d’action et ça c’est pas pour nous déplaire !

     

    La scène à ne pas louper : La confrontation entre Ripley et la reine des Aliens.


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  • StreetDance 2

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    Parce que dans la vie il faut savoir provoquer le destin, notre pote Ash (Falk Hentschel) a pris son courage à deux mains et a défié les Invincibles, le meilleur crew de street dance. Cela s’est plutôt mal terminé mais son audace a plu à Eddie (George Sampson) qui le convainc de participer au Final Clash qui aura lieu à Paris dans 2 mois. Reste plus qu’à trouver les autres membres de l’équipe ; des talents venus des 4 coins de l’Europe. Pour apporter une note d’originalité à leurs chorégraphies, ils vont également faire la connaissance d’Eva (Sofia Boutella), une danseuse latino qui les laisse bouche bée. Tout semble désormais prêt pour qu’ils remportent le concours mais Ash commence à angoisser à l’idée d’affronter de nouveau les Invincibles.

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    Bon je ne vais recommencer mon speech sur les nombreux films de danse qui ont fleuri dans nos salles au cours de ces dernières années, le refrain n’a pas changé d’un iota. Reste que ce StreetDance 2 peut déjà se targuer de compter dans ses rangs la franco-algérienne Sofia Boutella, une des danseuses de Madonna entre autres. Belle et talentueuse jeune femme certes mais ça n’efface pas pour autant l’incroyable ennui de ce film. Coté spectacle, il faut attendre la battle précédant le concours pour voir quelque chose de potable et on sera encore plus frustré par le fameux Final Clash qui est quasiment zappé. Il faut réellement raffoler des films de danse pour y trouver son compte en dehors de quoi c’est plat et la version 3D n’arrange pas grand-chose.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de porter des bérets et de jouer de l’accordéon quand vous allez à Paris ça donne de fausses idées sur la France.


    En savoir plus sur StreetDance 3D ?

  • Walk away Renée

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    Le réalisateur Jonathan Caouette est en ligne avec sa mère Renée LeBlanc qui souffre de problèmes mentaux qui l’obligent à être hospitalisée dans un institut spécialisé à Houston. Ce coup de fil l’inquiète au plus haut point ; il se demande si le traitement qu’elle subit est réellement adapté à sa situation. Finalement, il décide de se rendre sur place et de la ramener près de chez lui à New-York où il vit avec son compagnon David et son fils Joshua. Renée ne supportant pas l’avion, ils prennent la route à bord d’une camionnette de déménagement et tout au long du trajet des souvenirs rejaillissent à l’esprit de Jonathan. Il se rend toutefois compte qu’ils ont oublié de prendre les médicaments de Renée, un terrible puisqu’elle est censée passer quelques semaines chez son fils avant d’intégrer un nouvel institut.

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    Ce qui est indéniable au terme de ce documentaire c’est l’amour que porte Jonathan  Caouette à sa précieuse maman, leur histoire est aussi tourmentée qu’elle est émouvante. Réalisateur à part, il revient brièvement sur l’expérience qu’il avait mené avec Tarnation son précédent film mais comme son titre l’indique Walk away Renée met en lumière cette femme qui n’a pas été épargnée par les épreuves de la vie. Projet on ne peut plus personnel, ce film-documentaire semble être un moyen pour lui d’exorciser un certain traumatisme enfoui depuis de nombreuses années. Il faut donc déjà adhérer à cette initiative pour le moins particulière, cela fait le spectateur se laisse forcément porter par l’amour inconditionnel d’un fils à sa mère.

     

    Il faut le voir pour : Filmer davantage les moments passés en famille !

  • American Pie 4

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    13 ans se sont écoulés depuis qu’ils ont quitté le lycée et East Great Falls va célébrer la promotion 1999 le temps d’un week-end. Ça va être l’occasion pour nos potes Jim, Oz, Kevin & Finch (Jason Biggs, Chris Klein, Thomas Ian Nicholas & Eddie Kaye Thomas) de se retrouver et de se changer un peu les idées. Au départ, ils voulaient tenir à l’écart l’intenable Stifler (Seann William Scott) mais celui-ci va finir par rejoindre la bande pour le pire … et seulement le pire ! Alors que Jim est déboussolé par sa voisine, il essaye dans le même temps de raviver la flamme avec Michelle (Alyson Hannigan) car depuis la naissance de leur fils, leur vie sexuelle est en berne. Oz & Kevin sont quant à eux un peu perdus après avoir revu respectivement Heather & Vicky (Mena Suvari & Tara Reid), leur premier amour.

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    Après sa trilogie au cinéma, la franchise American Pie n’a cessé de se développer au cours de ces dernières années avec des épisodes en Direct to video où étaient introduits des personnages inédits. American Pie 4 marque donc le retour des héros originels mais la question essentielle reste est-ce qu’ils nous ont vraiment manqué ? Derrière cette tradition purement américaine de la réunion des anciens, l’opportunité était trop belle pour faire marcher la fibre nostalgique de certains spectateurs. Ne le cachons pas non plus, c’est aussi la chance pour les acteurs de toucher un bon cachet. Usant des sempiternels gags en-dessous de la ceinture, cet épisode suit les miteuses traces de ses prédécesseurs et ce serait bien qu’on arrête d’exploiter ce filon mais connaissant les studios américains, ça va pas être de la tarte !

     

    Il faut le voir pour : Nettoyer à fond vos ustensiles de cuisine.


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