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kristoffer joner

  • The revenant

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    L’Amérique au XIXème siècle. Un groupe d’hommes vient de subir une terrible attaque menée par des indiens et les pertes sont nombreuses. Seule une dizaine de survivants parvient à prendre la fuite avec l’aide précieuse d’Hugh Glass (Leonardo DiCaprio) et de son fils Hawk (Forrest Goodluck) qui leur servent de guides. Après avoir quitté la rivière pour semer leurs poursuivants, ils s’engouffrent dans la dense forêt pour une longue marche mais un terrible accident va venir tout bouleverser. Parti en éclaireur, Glass croise le chemin d’un grizzly qui l’attaque soudainement. Une confrontation terrible à laquelle il réussit miraculeusement à survivre mais sa vie semble ne tenir qu’à un fil et le groupe est loin d’être tiré d’affaire.

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    Annoncé comme l’un des évènements cinématographiques de 2016, The revenant a tenu ses promesses en consacrant enfin Leonardo DiCaprio. Un environnement hostile, une lutte dantesque contre un grizzly (et je ne parle pas ici de Tom Hardy) ou encore le simple combat pour sa survie avec tout ça l’Oscar du meilleur acteur était une juste récompense. Une performance qui est en plus de ça transcendée par la réalisation d’Alejandro González Iñárritu (qui au passage décroche aussi son 2nd Oscar du meilleur réalisateur consécutif après Birdman) qui est simplement magistrale. Bien calé dans son fauteuil, on se retrouve totalement immergé dans le cadre époustouflant offert par le film et les frissons vont jusqu’à traverser l’écran. On appelle ça un incontournable du 7ème art !

     

     

    Il faut le voir pour : Eviter de provoquer un grizzly à la baston !

  • Babycall

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    Pour fuir un mari violent, notre pote Anna (Noomi Rapace) et son fils Anders (Vetle Qvenild Werring) viennent de s’installer dans ce nouvel appartement où ils vont pouvoir redémarrer une nouvelle vie. La mère reste cependant encore très marquée par ce qu’elle vient de subir et craint pour la sécurité de son enfant et fait tout ce qu’il faut pour le protéger, un comportement parfois même excessif. Elle va jusqu’à aller acheter un baby-phone pour être sure qu’Anders dort tranquillement et un soir elle est réveillée en sursaut. Elle est rassurée lorsqu’elle se rend compte que cela ne provient pas de chez elle ; elle a capté la fréquence d’un autre baby-phone et ce qu’elle entend l’inquiète au plus haut point puisque l’enfant semble victime de violences.

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    Présenté au départ comme un simple drame familial, Babycall prend ensuite des chemins inattendus amenant une certaine confusion dans l’esprit des spectateurs. Difficile à partir de là de démêler le vrai du faux et on se laisse aisément mener par le bout du nez par une Noomi Rapace qu’on découvre dans tous les registres. L’intrigue entre progressivement dans le fantastique bien aidée aussi par son atmosphère très froide dommage que dans son déroulement l’histoire ne fasse pas davantage preuve de spontanéité pour nous emballer. Un thriller norvégien assez surprenant donc auquel je vous conseille de jeter un œil car un remake américain n’est pas à exclure dans les prochaines années !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de dormir avec votre maman surtout que vous avez déjà 29 ans …