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lukas haas

  • The revenant

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    L’Amérique au XIXème siècle. Un groupe d’hommes vient de subir une terrible attaque menée par des indiens et les pertes sont nombreuses. Seule une dizaine de survivants parvient à prendre la fuite avec l’aide précieuse d’Hugh Glass (Leonardo DiCaprio) et de son fils Hawk (Forrest Goodluck) qui leur servent de guides. Après avoir quitté la rivière pour semer leurs poursuivants, ils s’engouffrent dans la dense forêt pour une longue marche mais un terrible accident va venir tout bouleverser. Parti en éclaireur, Glass croise le chemin d’un grizzly qui l’attaque soudainement. Une confrontation terrible à laquelle il réussit miraculeusement à survivre mais sa vie semble ne tenir qu’à un fil et le groupe est loin d’être tiré d’affaire.

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    Annoncé comme l’un des évènements cinématographiques de 2016, The revenant a tenu ses promesses en consacrant enfin Leonardo DiCaprio. Un environnement hostile, une lutte dantesque contre un grizzly (et je ne parle pas ici de Tom Hardy) ou encore le simple combat pour sa survie avec tout ça l’Oscar du meilleur acteur était une juste récompense. Une performance qui est en plus de ça transcendée par la réalisation d’Alejandro González Iñárritu (qui au passage décroche aussi son 2nd Oscar du meilleur réalisateur consécutif après Birdman) qui est simplement magistrale. Bien calé dans son fauteuil, on se retrouve totalement immergé dans le cadre époustouflant offert par le film et les frissons vont jusqu’à traverser l’écran. On appelle ça un incontournable du 7ème art !

     

     

    Il faut le voir pour : Eviter de provoquer un grizzly à la baston !

  • Jobs

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    Original, Steve Jobs (Ashton Kutcher) l’est assurément mais au milieu des années 1970, on ignore encore l’influence que va avoir ce génie qui fera d’Apple une compagnie rayonnante dans le monde entier. Armé de sa grande détermination, il conçoit avec son pote d’enfance Steve Wozniak (Josh Gad) un premier circuit de ce qui sera l’Apple I et qui sera le point de départ d’une véritable aventure, de l’émergence d’un énorme empire. Comme tous les créateurs, Steve a une vision particulière des choses et s’investit sans compter pour son travail mais tout cela a un cout ce qui ne plait pas forcément aux décisionnaires.

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    Si je vous dis Steve Jobs, vous me sortirez forcément votre Ipod ; oui il s’agit bien du génial fondateur d’Apple qui a (peut-être) révolutionné votre quotidien. Bien sur, l’homme a apporté de belles innovations technologiques mais est-ce que cela justifiait qu’on lui consacre ce biopic qui reprend sans enthousiasme les moments les plus marquants de sa vie. Un portrait qui évoque également ses cotés plus controversés mais qui sont malheureusement trop vite balayés. Trop politiquement correct, avec Jobs on a pendant 2H07 une belle promotion pour la célèbre marque à la pomme tout simplement !

     

    Il faut le voir pour : Vous promener pieds-nus si vous en avez envie !

  • Contrebande

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    Si aujourd’hui notre pote Chris Farraday (Mark Wahlberg) est un chef d’entreprise et un père de famille heureux, dans le passé il s’est forgé une sacrée réputation en tant que contrebandier. Il s’était juré de ne plus jamais retourné dans ce milieu mais son beau-frère va le précipiter dans un sacré pétrin. Andy (Caleb Landry Jones) pensait en effet pouvoir se faire un nom au lieu de quoi il n’a réussi qu’à provoquer la colère de Tim Briggs (Giovanni Ribisi) après avoir paumé une cargaison de drogue. C’est à Chris que revient la charge de rembourser la dette et pour cela il va devoir se rendre au Panama pour réaliser un énorme coup : ramener plus de 15 millions de dollars en faux billets !

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    Il y avait quelque chose à creuser avec le principe de Contrebande qui s’apparente à un film de braquage. Comme dans ces films, une équipe est constituée mais ces rôles secondaires participent davantage aux décors qu’à donner le moindre relief à l’histoire. Même notre pote Mark Wahlberg dans la peau de ce contrebandier de génie désormais repenti ne semble pas y croire et on aurait pu espérer que le personnage de Ben Foster vienne rattraper le coup mais il ne faudra pas trop y compter ! Ce remake d’Illegal Traffic n’a rien d’un navet mais ne nous réserve rien de surprenant et ne nous donne pas vraiment envie de se ruer dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la combine pour vous offrir une Ferrari à moindre cout.

  • Richie Norris - Mars attacks

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    Richie Norris : Et je voudrais remercier ma grand-mère pour avoir toujours été aussi gentille avec moi, et de m'avoir aidé à sauver le monde et puis tout ça.