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veronica cartwright

  • Alien, le huitième passager

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    Au cœur de l’espace, un vaisseau spatial du nom du Nostromo se dirige vers la Terre mais les occupants sont réveillés de leur profond sommeil car une anomalie a été détectée. Selon leur ordinateur de bord Maman ; une transmission d’origine inconnue a été captée et Dallas (Tom Skerritt) et son équipage doivent y jeter un œil, un devoir qui ne réjouit pas tout le monde. Alors qu’ils posent le pied sur la planète LV-426, cette mission de reconnaissance tourne au désastre lorsque Kane (John Hurt) est attaqué par une mystérieuse créature. Alors que Ripley (Sigourney Weaver) avait refusé de le rapatrier dans le vaisseau, le reste de l’équipage ne se pose pas la question, une imprudence qui va leur couter cher !

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    Sur certains aspects il est indéniable que le chef-d’œuvre de Ridley Scott peut prêter à sourire mais Alien, le huitième passager a bel et bien marqué le cinéma américain. Ce qui n’a par contre pas pris une ride, c’est bien le design de la créature signé Hans Ruedi Giger qui en impose toujours autant ; un élément loin d’être un simple détail dans le succès de la saga. On ne peut pas non plus oublier le rôle de la vie de Sigourney Weaver, Ripley est devenu une icône en devenant la première héroïne véritable d’un film d’action à une époque où cela est loin d’être une évidence. Pour toutes ces raisons, tout amateur du 7ème art ne pourrait faire l’impasse sur cette œuvre qui allait se poursuivre à travers une saga inoubliable.

     

    La scène à ne pas louper : La naissance de l’Alien !


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  • Les oiseaux

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    Melanie Daniels (Tippi Hedren) s’était rendue chez l’animalerie Davidson pour récupérer un perroquet qu’elle avait commandé et qu’elle souhaitait offrir à sa tante mais un problème de livraison a fait que l’oiseau n’est pas encore arrivé. Au même moment, Mitch Brenner (Rod Taylor) fait son entrée dans le magasin et interpelle notre pote Melanie car il aimerait acheter un couple d’Inséparables pour l’anniversaire de sa petite sœur. Un jeu de séduction commence, la jeune femme prétend travailler dans le magasin mais son client n’est pas dupe d’autant qu’il la connait bien ! Il n’en faut pas plus pour intriguer Melanie, elle a l’intention de lui offrir ce couple d’oiseaux qu’il cherchait mais apprend qu’il est allé passer le week-end à Bodega Bay.

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    Evidemment, le titre en dit long sur ce 48ème film d’Alfred Hitchcock pourtant le maitre du suspense prend un certain temps avant d’entrer dans le vif du sujet. Les oiseaux débute presque comme une comédie romantique avec cette rencontre entre la belle Tippi Hedren & Rod Taylor qui se prolonge en un séjour sur la cote ouest américaine. Par-ci par-là, le comportement des oiseaux intrigue puis on est soudainement embarqué sur une autre intrigue celle qui entoure Lydia, mère de Mitch brouillant un peu plus les pistes. A l’époque, les critiques n’ont pas été tendres soulignant notamment l’absence d’un véritable dénouement ou encore d’explications fondées sur cette révolte à plumes mais ce qui est sur, c’est qu’on ne verra jamais plus les oiseaux de la même façon après ce film. Un nouveau classique à ajouter à votre collection !

     

    La scène à ne pas louper : L’évacuation de l’école.