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j.k. simmons

  • Terminator Genisys

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    En 1997, Skynet a changé la face du monde. A partir de cette date, les machines ont pris progressivement le pouvoir réduisant l’humanité à l’esclavage. Nous sommes en 2029, une résistance s’est organisée sous l’impulsion de John Connor (Jason Clarke) et c’est d’ailleurs grâce à lui que notre pote Kyle Reese (Jai Courtney) est encore vivant aujourd’hui. Leur combat contre Skynet est proche du dénouement mais ils découvrent à ce moment-là qu’une machine a été envoyée dans le passé. Le but est d’empêcher la naissance de John Connor et pour cela ils vont s’en prendre à sa mère Sarah (Emilia Clarke). Kyle va à son tour voyager dans le temps et revenir en 1984 mais au moment où il part John est soudainement attaqué.

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    Il nous l’avait dit et donc He’s back !! Après une petite parenthèse plutôt réussie en compagnie de Christian Bale et de Sam Worthington, voilà donc que notre pote Arnold Schwarzenegger repointe le bout de son nez de T-800 pour la suite ou plutôt de la saga. Si on retrouve des noms que l’on connaît par cœur, les visages ont changé place donc à Emilia Clarke, Jason Clarke & Jai Courtney pour tenter de relancer la machine. Si l’action est au rendez-vous, ce Terminator Genisys ne se montre pas non plus véritablement éblouissant (ça aurait été sympa de voir un peu plus Byung-Hun Lee !) et ne comble pas les attentes qu'il a suscité. D'autres aventures sont à prévoir mais on espère quand même qu'elles se montreront plus convaincantes au risque de détruire un mythe !

     

    Il faut le voir pour : Essayer de ne pas vous forcer à sourire parce que ça se remarque quand même …

     

    En savoir plus sur Terminator Renaissance ?

  • Whiplash

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    Si notre pote Andrew Neiman (Miles Teller) s’est inscrit au Conservatoire de Shaffer c’est parce qu’il sait qu’il s’agit là de la meilleur école de musique du pays. Son rêve est de devenir un jour un grand batteur, que son nom soit aussi connu que celui de son idole Buddy Rich. Avoir du talent est une chose, le cultiver par le travail en est une autre et Andrew va devoir redoubler d’efforts lorsqu’il intègre le groupe de Terence Fletcher (J.K. Simmons). Ce professeur est hautement respecté par ses élèves et si c’est un honneur de travailler avec lui, il faut aussi admettre qu’il a des méthodes d’apprentissage plutôt musclées !

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    Voilà un film qui donne une toute autre vision des batteurs ! Si la bande-originale (qui va certainement faire l’objet de nombreux téléchargements) est assurément le principal point fort de Whiplash, il ne faudrait pas non plus oublier J.K. Simmons qui se lâche totalement dans son rôle à travers ses (nombreux) coups de gueule. On aurait pu craindre à un moment que le scénario se contente de suivre le schéma classique du jeune prodige accompagné par le professeur bienveillant mais c’est là qu’on découvre des personnages qui ne manquent pas de nuances. Un faux feel-good movie rythmé par d’excellents morceaux de jazz duquel on ressort avec un certain panache, à découvrir !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais dire à quelqu’un qu’il a fait du bon boulot !

  • Last days of summer

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    Après le départ de son père parti former une nouvelle famille avec sa secrétaire et ses enfants, notre pote Henry (Gattlin Griffith) est devenu l’homme de la maison. Sa présence se révèle primordiale car sa mère Adele (Kate Winslet) est en pleine dépression. C’était déjà le cas avant que son mari Gerald (Clark Gregg) la quitte mais cela semble empirer de jour en jour. Alors que la fin des vacances d’été approche, Adele & Henry sont interpellés dans un supermarché par Frank (Josh Brolin). Cet homme est en fait un prisonnier évadé et qui cherche à échapper à la police et pour cela il va trouver refuge chez eux.

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    Avec ce film, Jason Reitman adapte le roman de Joyce Maynard. Une famille composée de Kate Winslet & Gattlin Griffith est donc prise en otage par Josh Brolin et pas besoin d’être un grand devin pour comprendre que le fameux syndrome de Stockholm va frapper. En dehors de quelques scènes de flashbacks qui viennent nous éclairer sur le passé de Frank, la narration est plutôt linéaire et finalement pas très palpitante. S’il n’y avait pas les présences de bons acteurs au générique, on aurait rapidement décroché de Last days of summer et la sensualité du couple vedette n’empêche pas qu’on trouve le temps parfois long.

     

    Il faut le voir pour : Trouver un bon moyen de recycler vos pêches !

  • Jobs

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    Original, Steve Jobs (Ashton Kutcher) l’est assurément mais au milieu des années 1970, on ignore encore l’influence que va avoir ce génie qui fera d’Apple une compagnie rayonnante dans le monde entier. Armé de sa grande détermination, il conçoit avec son pote d’enfance Steve Wozniak (Josh Gad) un premier circuit de ce qui sera l’Apple I et qui sera le point de départ d’une véritable aventure, de l’émergence d’un énorme empire. Comme tous les créateurs, Steve a une vision particulière des choses et s’investit sans compter pour son travail mais tout cela a un cout ce qui ne plait pas forcément aux décisionnaires.

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    Si je vous dis Steve Jobs, vous me sortirez forcément votre Ipod ; oui il s’agit bien du génial fondateur d’Apple qui a (peut-être) révolutionné votre quotidien. Bien sur, l’homme a apporté de belles innovations technologiques mais est-ce que cela justifiait qu’on lui consacre ce biopic qui reprend sans enthousiasme les moments les plus marquants de sa vie. Un portrait qui évoque également ses cotés plus controversés mais qui sont malheureusement trop vite balayés. Trop politiquement correct, avec Jobs on a pendant 2H07 une belle promotion pour la célèbre marque à la pomme tout simplement !

     

    Il faut le voir pour : Vous promener pieds-nus si vous en avez envie !

  • Dark skies

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    Lacey (Keri Russell), Daniel (Josh Hamilton) et leurs 2 enfants Jesse & Sam (Dakota Goyo & Kadan Rockett) forment une famille tout ce qu’il y a de plus ordinaire et rien ne les avait préparé à ce qu’ils vont vivre. Tout a commencé avec un frigo pillé et des photos volées, ils pensaient alors qu’un intrus avait pénétré chez eux mais rapidement cette hypothèse est écartée. Au même moment, le petit Sam fait de curieux cauchemars où il voit apparaitre l’Ogre des sables et cela pourrait bien avoir un lien avec les derniers évènements. Les choses deviennent encore plus inquiétantes car chaque membre de la famille est victime de comportements étranges et ils finiront par comprendre que l’origine de leurs problèmes pourrait bien être des extraterrestres !

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    Une maison où il se passe des évènements inexpliqués et une famille impuissante, c’est moi ou ce scénario sent le réchauffé ? Oui Dark skies reprend la bonne vieille recette des films d’épouvante-horreur avec toutefois une différence de taille puisque l’origine de tous leurs maux vient de l’espace. Pourquoi pas mais ça aurait quand même été sympa d’essayer d’effrayer un peu le spectateur qui doit ici se contenter d’ombres et de lumières ou encore de nous proposer autre chose que les sempiternels enlèvements inexpliqués. Un scénario qui aurait pu sortir 20 ans avant (déjà !) lorsque le phénomène X-Files battait son plein mais là… Rien de nouveau et encore moins d’intéressant au final pour un film qui ne vole pas bien haut.

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil sur les dessins de vos enfants !

  • Un automne à New York

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    Même s’il approche de la cinquantaine, Will (Richard Gere) ne ressent pas le besoin de fonder une famille. Mieux encore, il enchaine les conquêtes comme un vrai Don Juan ce qui parfois amène à briser quelques cœurs. A peine vient-il de retrouver son célibat qu’il tombe sous le charme de Charlotte (Winona Ryder), une jolie jeune femme venue célébrer son 22ème anniversaire dans son restaurant. Plus charmeur que jamais, il réussit très vite à la séduire et le voilà de nouveau en couple mais leur relation ne sera pas éternelle. Si Will tient à garder sa liberté c’est surtout le triste sort de Charlotte qui condamne leur amour puisqu’elle est atteinte d’une grave maladie du cœur.

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    Certains mettront peut-être ça sur le compte de la jalousie (et c’est même pas vrai !), il n’empêche que Richard Gere n’est plus le playboy d’antan ! Il a davantage les allures de grand-père (ce qui est d’ailleurs confirmé dans le film) que du tombeur qui sa soudainement prendre conscience du vide qui comble sa vie. Heureusement pour nous, la fraicheur de Winona Ryder vient un peu équilibrer les choses mais Un automne à New York reste un drame sentimentale très sirupeux qui ne trouvera un public que parmi les amateurs du genre. Si votre trip est de passer une soirée dans votre canapé avec une petite boite de mouchoirs alors vous avez trouvé de quoi faire votre bonheur.

  • Une blonde en cavale

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    La nouvelle a fait l’effet d’une bombe. Notre pote Joe (Billy Connolly) vient d’apprendre qu’il a une tumeur au cerveau et que ses jours sont peut-être comptés et c’est pourquoi ce fleuriste d’origine irlandaise a décidé de voyager (surtout après avoir surpris sa femme au lit avec un autre homme. Il a bien l’intention de vivre des aventures et va croiser sur son chemin la belle Hush (Sharon Stone) qui elle s’intéresse surtout à son portefeuille. Cette femme a en effet une ardoise de 8000 dollars à régler auprès de son ex Elton (Gil Bellows) et c’est presque avec regret qu’elle dérobe les économies de Joe. Ce dernier s’en rend vite compte mais n’en veut pas pour autant à Hush ; il va même passer la nuit chez elle et faire la connaissance de ses 2 enfants Vivien & Lee (Jurnee Smollett & Dillon Moen).

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    L’histoire d’Une blonde en cavale n’a rien de particulier ; on retrouve un mec dont la gentillesse n’a d’égal que sa naïveté parvenant même à se faire passer pour un tueur à gages et qui va se retrouver avec des méchants à ses trousses. Bien qu’il ait tout pour plaire, Joe est malheureusement un personnage creux dont la maladie ne devient qu’un simple détail scénaristique pour propulser une histoire dont on connait déjà l’issue loin des aventures promises. Il n’y a donc que la présence de Sharon Stone qui pourra nous faire courir un peu et donner un peu de visibilité à cette petite comédie car pour le reste c’est bien trop léger pour nous intéresser.

  • Contrebande

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    Si aujourd’hui notre pote Chris Farraday (Mark Wahlberg) est un chef d’entreprise et un père de famille heureux, dans le passé il s’est forgé une sacrée réputation en tant que contrebandier. Il s’était juré de ne plus jamais retourné dans ce milieu mais son beau-frère va le précipiter dans un sacré pétrin. Andy (Caleb Landry Jones) pensait en effet pouvoir se faire un nom au lieu de quoi il n’a réussi qu’à provoquer la colère de Tim Briggs (Giovanni Ribisi) après avoir paumé une cargaison de drogue. C’est à Chris que revient la charge de rembourser la dette et pour cela il va devoir se rendre au Panama pour réaliser un énorme coup : ramener plus de 15 millions de dollars en faux billets !

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    Il y avait quelque chose à creuser avec le principe de Contrebande qui s’apparente à un film de braquage. Comme dans ces films, une équipe est constituée mais ces rôles secondaires participent davantage aux décors qu’à donner le moindre relief à l’histoire. Même notre pote Mark Wahlberg dans la peau de ce contrebandier de génie désormais repenti ne semble pas y croire et on aurait pu espérer que le personnage de Ben Foster vienne rattraper le coup mais il ne faudra pas trop y compter ! Ce remake d’Illegal Traffic n’a rien d’un navet mais ne nous réserve rien de surprenant et ne nous donne pas vraiment envie de se ruer dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la combine pour vous offrir une Ferrari à moindre cout.

  • Young adult

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    Ecrivain de romans pour jeunes adultes, notre pote Mavis Gary (Charlize Theron) vit en célibataire à Minneapolis. Lorsqu’elle reçoit un faire-part de naissance de son ex Buddy Slade (Patrick Wilson), elle commence à cogiter et c’est sur un coup de tête qu’elle décide de retourner dans la ville de Mercury où elle a grandit. Elle s’y rend avec la volonté de récupérer Buddy et le fait que celui-ci soit heureux en ménage ou qu’il soit récemment devenu père n’y changera rien. Sur place, elle croise également un ancien "camarade" de classe ; Matt Freehauf (Patton Oswalt) qui était le souffre-douleur de l’époque et qui fut d’ailleurs victime d’un dramatique évènement.

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    Diablo Cody au scénario et Jason Reitman à la réalisation, le duo avait déjà séduit les critiques avec Juno où une ado faisait preuve d’une grande maturité et ici c’est une femme qui se prend encore pour une étudiante. Charlize Theron endosse ainsi son T-shirt d’Hello Kitty biberonnée à l’alcool et part à la chasse de son ex, un personnage désinvolte qui cache en réalité une profonde blessure qui n’a pas encore cicatrisé. Young adult aura peut-être un impact tout particulier pour les trentenaires qui feront le maigre bilan de leur existence mais en dehors de ça, le film a du mal à séduire malgré la belle prestation de Theron. On suit les mésaventures de Mavis avec une certaine indifférence au point qu’on pourrait sortir de la salle au bout de 20 minutes et revenir 10 minutes avant la fin que ça ne changerait rien.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de revoir vos ex !

  • Les chèvres du pentagone

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    C'est par dépit amoureux que notre pote Bob Wilton (Ewan McGregor) a rejoint l'armée et aujourd'hui il se retrouve en Afghanistan. C'est là-bas qu'il fait la connaissance de Lyn Cassady (Georges Clooney), un nom qui ne lui est pas tout à fait inconnu. Il y a quelques temps, lorsque Bob était encore journaliste, il avait interviewé un homme qu'il croyait fou. Selon ce dernier, l'armée américaine dissimulerait certaines recherches et aurait dans ses rangs des soldats développant d'impressionnants pouvoirs psychiques. Lyn fait parti de ceux-là, sa puissance lui aurait même permis de tuer ... une chèvre !

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    Après avoir vaincu Dark Vador et ses sombres desseins, les Jedi sont de retour pour s'en prendre à de pauvres chèvres !  Vous comprendrez mieux en allant voir cette comédie qui à partir d'un sujet plus ou moins sérieux mais véridique - l'étude des pouvoirs de la psyché humaine- nous invite à vivre des situations rocambolesques. Il y a d'excellentes idées dans Les chèvres du pentagone avec cet humour second degré qui fait parfois mouche mais le film a du mal à tenir sur la longueur. Un rythme haché qu'on mettra sur le compte sur l'inexpérience du réalisateur Grant Heslov qui tourne là son premier film.

     

    Il faut le voir pour : Prendre garde au Dim Mak !!