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henrik rafaelsen

  • Babycall

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    Pour fuir un mari violent, notre pote Anna (Noomi Rapace) et son fils Anders (Vetle Qvenild Werring) viennent de s’installer dans ce nouvel appartement où ils vont pouvoir redémarrer une nouvelle vie. La mère reste cependant encore très marquée par ce qu’elle vient de subir et craint pour la sécurité de son enfant et fait tout ce qu’il faut pour le protéger, un comportement parfois même excessif. Elle va jusqu’à aller acheter un baby-phone pour être sure qu’Anders dort tranquillement et un soir elle est réveillée en sursaut. Elle est rassurée lorsqu’elle se rend compte que cela ne provient pas de chez elle ; elle a capté la fréquence d’un autre baby-phone et ce qu’elle entend l’inquiète au plus haut point puisque l’enfant semble victime de violences.

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    Présenté au départ comme un simple drame familial, Babycall prend ensuite des chemins inattendus amenant une certaine confusion dans l’esprit des spectateurs. Difficile à partir de là de démêler le vrai du faux et on se laisse aisément mener par le bout du nez par une Noomi Rapace qu’on découvre dans tous les registres. L’intrigue entre progressivement dans le fantastique bien aidée aussi par son atmosphère très froide dommage que dans son déroulement l’histoire ne fasse pas davantage preuve de spontanéité pour nous emballer. Un thriller norvégien assez surprenant donc auquel je vous conseille de jeter un œil car un remake américain n’est pas à exclure dans les prochaines années !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de dormir avec votre maman surtout que vous avez déjà 29 ans …

  • Happy happy

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    C’est une nouvelle vie qui commence pour Elisabeth & Sigve (Maibritt Saerens & Henrik Rafaelsen) qui emménagent dans la campagne Norvégienne avec leur fils Noa (Ram Shihab Ebedy). A leur arrivée, ils sont chaleureusement accueillis par leurs nouveaux voisins Kaia & Eirik (Agnes Kittelsen & Joachim Rafaelsen) qui ont eux aussi un jeune garçon Theodor (Oskar Hernæs Brandsø). Eloignés de tout, les 2 couples passent leurs premières soirées et se découvrent à travers différents jeux de société jusqu’au soir où Kaia & SIgve laissent leurs désirs prendre le dessus. A partir de ce moment, ils vont se voir régulièrement et pour la jeune femme, c’est un vrai bol d’air ; elle qui n’a pas eu de relations sexuelles depuis plus d’1 an !

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    C’est un fait, tout le monde ne sera pas sensible à cette comédie norvégienne qu’on pourrait presque qualifier d’ovni cinématographique. L’histoire entre ces 2 couples est entrecoupée de performances musicales sans véritables liens et il y a d’autres aspects qui nous laissent un peu circonspect. On pense notamment à la relation entre Theodor & Noa qui, à travers leurs jeux d’enfant, revisite avec plus ou moins d’innocence l’esclavage des noirs. On ne sait pas trop vers quoi veut nous mener la réalisatrice Anne Sewitsky toujours est-il que ces séquences laissent le spectateur dans une position assez embarrassante. Happy happy n’est pas une comédie extraordinaire et prend parfois de drôles de direction où on ne s’y retrouve pas toujours, à privilégier pour ceux qui apprécient les films atypiques !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les jeux de vos enfants !