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simon baker

  • Mariage à l’anglaise

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    Leur rencontre fut comme un feu d’artifice et cela peut paraitre fou mais à peine 9 mois après leur rencontre Nat & Josh (Rose Byrne & Rafe Spall) se sont mariés. 7 mois plus tard, le couple se pose de nombreuses questions et commencent à se dire qu’ils se sont peut-être précipités. Ils sont toutefois prêts à faire des efforts car comme le dit leur entourage, le cap de la 1ère année est le plus difficile à passer alors peut-être qu’après leur anniversaire de mariage tout deviendra rose. De bonnes résolutions qui pourraient vite s’évaporer puisque Nat n’est pas insensible d’un client Guy (Simon Baker) tandis que Josh semble encore éprouver des sentiments pour son ex Chloé (Anna Faris).

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    Le mariage c’est bien beau mais ça reste quand même une étape importante qui mérite réflexion ce qu’auraient du faire nos potes Rose Byrne & Rafe Spall. En tout cas, c’est le point de départ de Mariage à l’anglaise, une petite comédie fournie de quelques bons gags (mieux vaut éviter la bande-annonce pour préserver plus de surprises) et une belle distribution. On peut toutefois regretter le temps de présence famélique de certains personnages secondaires comme Naomi & Danny qui auraient pu apporter encore un peu plus de bonne humeur. Ça ne sera pas la grosse comédie du moment mais juste de quoi se changer agréablement les idées.

     

    Il faut le voir pour : Eteindre votre cadre photo numérique lorsque vous avez des invités à la maison.

  • Margin Call

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    Toute la firme retient son souffle ; à la fin de la journée certains employés devront vider leurs bureaux et c’est le cas de notre pote Eric Dale (Stanley Tucci). Après 19 ans de loyaux services, il est remercié sans ménagement et c’est un homme complètement désabusé qui s’en va. Avant cela, il travaillait sur un dossier très important qu’il n’est pas parvenu à achever aussi confie-t-il cette responsabilité à un de ses collègues Peter Sullivan (Zachary Quinto) suivi d’un conseil intriguant : "Sois prudent". Quand ce dernier se met à regarder ce fameux dossier, il découvre quelque chose qui pourrait bien mettre en péril toute la firme. En plein cœur de la nuit, une réunion de crise est alors organisée.

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    Avec la crise économique sans précédent qui a frappé le monde, nos potes financiers n’ont pas été en odeur de sainteté ces derniers temps et ce n’est pas Margin Call qui va arranger leurs affaires ! Projeté en plein cœur d’une firme, nous devenons ainsi les témoins des grandes manœuvres des hautes sphères pour dissimuler une légère anomalie qui se chiffre tout de même à des millions de dollars. Le film devient alors un huis-clos plein de tensions mené par un casting impressionnant réunissant Harvey Keitel, Demi Moore, Paul Bettany ou encore Jeremy Irons qui redonne un léger coup de fouet à l’intrigue. Pas mauvais en soi, le sujet commence par contre à lasser et sans vraiment trouver le temps long, certains passages apparaissent presque creux ; à voir si vos finances vous le permettent.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on construise plus de ponts !

  • The killer inside me

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    Lou Ford (Casey Aflleck) est le shérif adjoint d’une petite ville de l’Oklahoma, un endroit plutôt calme en apparence. Pourtant, un soir on retrouve le corps sans vie d’un homme et à ses cotés se trouve une jeune prostituée du nom de Joyce (Jessica Alba) passée à tabac et dont les chances de survie sont minces. Pour Lou, ce serait une affaire délicate à traiter s’il n’en connaissait pas déjà les tenants et les aboutissants. Il n’a pas à chercher bien loin le coupable puisque c’est lui-même qui a orchestré tout cela. Derrière son uniforme de représentant de la loi, l’homme est en fait un véritable psychopathe qui n’en est pas à ses premiers méfaits.

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    C’est en 1952 que nait le roman de Jim Thompson qui a inspiré cette deuxième adaptation cinématographique. L’aspect thriller du film de Michael Winterbottom tourne court puisqu’on apprend rapidement que le personnage incarné par Casey Affleck n’est pas celui qu’il parait être. The killer inside me se transforme alors en un portrait psychologique du personnage dévoilant notamment une part de son enfance et l’origine du mal qui le ronge. Ponctué de scènes assez violentes (vous ne reconnaitrez pas Jessica Alba) et avec une misogynie ambiante, le film a tendance à se disperser et cela s’en ressent pour les humbles spectateurs que nous sommes.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier qu’il y a des fous qui se promènent dans la nature !