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  • Mince alors !

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    Notre pote Nina (Lola Dewaere) et son mari Gaspard (Gregory Fitoussi) bossent dans la mode et ont monté leur propre boite qui est en pleine expansion. Ils ont reçu il n’y a pas si longtemps encore la visite de clients italiens particulièrement intéressants mais un léger accident est venu perturber la rencontre ; un problème de taille. Après cette mésaventure, Gaspard a eu la délicatesse d’offrir à sa femme un beau séjour à Brides-les-bains pour une durée d’un mois, le temps qu’il faut pour lui faire perdre quelques kilos ! Une cure d’amaigrissement qui est devenu un rendez-vous annuel pour Emilie (Catherine Hosmalin) ou encore l’excentrique Sophie (Victoria Abril) qui est pourtant aussi fine qu’une crêpe.

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    Je dois avouer que lorsque j’ai vu qu’il s’agissait d’une comédie réalisée par Charlotte de Turckheim, j’avais quelques appréhensions. Le souvenir désastreux que j’avais de son dernier film Les aristos m’avait glacé le sang et c’est donc presque avec un certain soulagement que je suis sorti de la salle. Bon on ne va pas non plus dire qu’il s’agit d’une merveille, loin de là, Mince alors ! ne fait pas dans la finesse quand il s’agit d’humour et se sert de blagues ou d’expressions qu’on connait déjà tous par cœur. D’autant plus que lorsqu’il s’agit d’offrir plus de profondeur à des personnages comme Roxanne et son "petit frère" cela se fait plutôt grossièrement si bien que cette comédie est semblable à un mauvais régime ; ça ne sert à rien.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire les courses avec votre copine super svelte, c’est déprimant !

  • Maman, j’ai raté l’avion

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    C’est l’effervescence chez la famille McCallister ; chacun court dans tous les sens pour préparer ce voyage exceptionnel à Paris pour les fêtes de Noel mais Kevin (Macaulay Culkin) lui se sent un peu délaissé. Il voit rouge quand son grand frère Buzz (Devin Ratray) dévore la seule pizza aux fromages et en guise de punition, sa mère Kate (Catherine O’Hara) l’envoie passer la nuit au grenier. Une soirée agitée également au niveau de la météo puisque des vents violents vont provoquer une coupure de courant. Panne de réveil pour tout le monde le lendemain matin et c’est de nouveau la panique ; leur avion décolle dans 45 minutes !! Personne ne va le réaliser tout de suite et ce n’est qu’une fois dans le ciel que Kate va se rendre compte qu’ils ont oublié Kevin à la maison !

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    Le film qui a révélé Macaulay Culkin et en même temps c’est aussi le seul avec lequel il rencontrera le succès, oui j’avoue j’ai une tendresse particulière pour Maman, j’ai raté l’avion. Une de ses œuvres qui aura marqué mon enfance car on a tous secrètement rêvé un jour de vivre sans l’autorité parentale et je suis convaincu qu’aujourd’hui encore ce film pourrait séduire le jeune public. Il est évident que cette comédie signée Chris Columbus joue énormément sur la caricature avec entre autre le duo de voleurs incarné par Joe Pesci & Daniel Stern mais on se laisse facilement séduire par l’ingéniosité du petit Kevin qui a des faux airs de Denis la malice. Une comédie qui respire la nostalgie !

     

    En savoir plus sur Maman, j'ai encore raté l'avion ?

  • Les adieux à la reine

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    14 Juillet 1789. C’est une journée ordinaire qui semble se profiler à la Cour de Versailles et pour notre pote Sidonie (Léa Seydoux), la lectrice personnelle de la reine Marie-Antoinette (Diane Kruger). Ce n’est que le lendemain qu’elles prendront conscience qu’une page de l’histoire est en train de s’écrire ; le peuple français vient en effet de s’emparer de la Bastille. Commence alors une période de trouble durant laquelle on craint que Versailles ne soit à son tour envahi. Alors que Marie-Antoinette se prépare à se réfugier à Metz, elle confie à Sidonie un secret de polichinelle : l’amour qu’elle porte à la Comtesse Gabrielle de Polignac (Virginie Ledoyen).

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    Comme l’a si bien rappelé notre pote Jean-Luc Mélanchon, la prise de la Bastille est un des grands évènements de l’histoire française et on le redécouvre ici au prisme du regard du personnage de Sidonie, servante proche de Marie-Antoinette. Adapté du livre de Chantal Thomas, Les adieux à la reine séduit par son casting féminin de haut vol avec toutefois quelques réserves sur Diane Kruger qui ne sera pas une reine inoubliable. Les portes de Versailles nous sont donc grandes ouvertes pour découvrir les derniers râles d’une souveraine en pleine détresse, la seule chose c’est que ça manque par moment d’intensité pour nous emballer complètement.

     

    Il faut le voir pour : Avoir une illustration parfaite de l’expression "Sauver sa tête" !

  • Rencontre exclusive avec Julie Delpy pour la sortie de 2 days in New-York !!

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    Journée consacrée à notre chère Julie Delpy en ce samedi 31 Mars et cela débute tout d’abord par une séance de cinéma à 13 heures. Le mercredi 28 Mars est donc sorti dans nos salles obscures 2 days in New-York, suite de 2 days in Paris. On retrouve l’artiste aussi bien devant que derrière la caméra mais Julie Delpy étant un ogre de travail en signe également le scénario.

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  • Bellflower

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    Californie. Woodrow & Aiden (Evan Glodell & Tyler Dawson) sont potes d’enfance et partagent ensemble un vieux rêve ; avoir une voiture à la Mad Max qui leur permettra de flamber le jour où l’Apocalypse frappera la Terre. En attendant la fin du monde, Woodrow a fait la connaissance de Milly (Jessie Wiseman) autour d’un succulent plat de grillons et le courant passe plutôt bien entre les deux. Après une virée au Texas, un couple se forme donc mais en amour tout va très vite et le jeune homme a la mauvaise surprise de découvrir un jour sa petite-amie au lit avec un autre. A partir de ce moment, ils vont s’entre-déchirer et cette histoire pourrait trouver une dramatique conclusion.

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    Petit flash-forward en guise d’introduction et c’est un joli avant-gout de ce que nous réserve le Bellflower d’Evan Glodell qui s’implique devant et derrière la caméra. Tout commence par une banale histoire d’amour mais qui va rapidement connaitre une issue dramatique. Pour sa première expérience sur le grand écran, le réalisateur démontre déjà une belle maitrise en donnant un véritable rythme à sa narration qui amène parfois un peu de confusion chez le spectateur. Le film séduit également par un casting tout aussi rafraichissant qu’il est efficace ; outre l’immanquable Glodell, la belle Jessie Wiseman ne nous laisse pas indifférent. Séance découverte assurée !

     

    Il faut le voir pour : Installer un distributeur de boisson dans votre caisse !

  • Hunger Games

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    Dans un futur proche, la nation de Panem a émergé des cendres de la civilisation que nous connaissions. Divisée en 12 districts, chaque année sont organisés les Hunger games. Il s’agit d’un tournoi où sont forcés de participer 1 garçon et 1 fille de chaque district et dont le seul objectif est d’être le dernier survivant. C’est un combat à mort qui les attend, un spectacle morbide dont on ne se lasse pas puisqu’il s’agit cette année de sa 74ème édition. Dans le District 12, c’est Katniss Everdeen (Jennifer Lawrence) qui s’est portée volontaire ceci pour protéger sa jeune sœur Primrose (WIllow Shields) que le hasard avait désigné. Elle sera accompagnée de Peeta Mellark (Josh Hutcherson) qu’elle a déjà rencontré par le passé ; la concurrence face à eux sera rude et le sang va couler !

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    On en a beaucoup entendu parler et certains d’entre vous connaissent certainement le roman de Suzanne Collins, pour ma part je suis un spectateur totalement vierge ! C’est sur que le principe rappelle l’excellent Battle royale mais la comparaison s’arrête là, l’environnement lui est totalement différent et Hunger Games a lui aussi du potentiel mais a du mal à le concrétiser. Heureusement que j’adore Jennifer Lawrence sans quoi mes quelques assoupissements se seraient transformés en une bonne sieste d’après-midi. Un scénario riche mais une réalisation classique sans véritables éclats et qui n’arrive donc pas à assurer le spectacle pour le spectateur. On tient peut-être une nouvelle grande saga cinématographique mais reste à espérer que les épisodes suivants seront plus excitants !

     

    Il faut le voir pour : Espérer que le sort puisse vous etre favorable !


    En savoir plus sur Hunger Games - L'embrasement ?

  • L’Oncle Charles

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    Charles Doumeng (Eddy Mitchell) est à la tête d’un immense empire et vit actuellement confortablement en Nouvelle-Zélande mais il a une santé fragile. Alors que son médecin souhaitait le ménager, il apprend qu’il ne lui resterait que peu de temps à vivre et c’est alors qu’il se met en tête de retrouver sa sœur, son dernier lien familial. Corinne Beaujard (Valérie Bonneton)  tombe sur cet avis de recherche et flaire le bon plan pour soutirer un peu d’argent mais l’histoire qu’elle va inventer va prendre des proportions autrement plus importantes. Avec l’aide de sa cousine Louise (Alexandra Lamy), elle a l’intention de convaincre Charles qu’elle a retrouvé sa nièce pour espérer toucher ainsi une partie de l’héritage !

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    Dans le temps on prenait du plaisir à aller voir le cinéma d’Etienne Chatiliez, une époque qui semble bien révolue puisqu’après nous avoir infligé l’atterrante Agathe Cléry il remet le couvert avec L’Oncle Charles. Comédie peu inspirée à l’image d’Eddy Mitchell au jeu étrangement poussif dans les premières minutes avant de trouver un peu plus d’équilibre malheureusement le film s’enlise par la suite dans une profonde médiocrité avec ses personnages caricaturaux. Il n’y a encore que les tailleurs parfaitement coupés de Valérie Bonneton qui sauront nous distraire un peu ce qui est bien léger. A se demander ce qui arrive au réalisateur français, va savoir !

     

    Il faut le voir pour : Rendre visite au couvent pour refaire votre décoration !

  • Eva

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    Il est considéré comme l’un des plus talentueux créateurs en matière de robotique, notre pote Alex Garel (Daniel Brühl) fait son grand retour après 10 ans d’absence. Personne d’autre que lui ne pouvait mener le projet S.I.-9. dont l’objectif est de développer un robot qui aurait l’apparence d’un enfant. C’est aussi l’occasion pour lui de retrouver son frère David (Alberto Amman) mais aussi et surtout Lana (Marta Etura) ; 2 personnes qu’il avait quitté brutalement. À la recherche d’un enfant qui lui servira de modèle, il fait la connaissance de la jeune Eva (Claudia Vega) qui a tout de la candidate idéale pour son projet. Une fille unique qu’il va apprendre à découvrir d’autant plus qu’il s’agit de sa nièce !

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    Propulsé dans un monde futuriste où les robots occupent désormais une place importante dans notre société jusqu’à prendre parfois l’apparence d’humains. Sujet ambitieux pour le premier film de Kike Maillo, le réalisateur espagnol n’est pas là pour concurrencer les productions américaines sur le même thème qui privilégierait l’action mais s’oriente ici vers une réflexion sur la propension de l’homme à vouloir se prendre pour Dieu. Si le duo Daniel Brühl / Claudia Vega est impeccable, il manque un véritable enjeu dans le scénario dont on devine rapidement la teneure sans parler de cette révélation peu surprenante.

     

    Il faut le voir pour : Essayer le coup du "Qu’est-ce que tu vois quand tu fermes les yeux ?"  avec vos enfants.

  • Sur la piste du Marsupilami

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    Journaliste télévisé sur le déclin, notre pote Dan Geraldo (Alain Chabat) est à deux doigts de perdre son poste sur la chaine V8. On lui a posé un ultimatum ; sa dernière chance est de faire un carton d’audience pour sa prochaine émission qu’il présentera en direct de Palombie sur les lieux-mêmes où sa carrière a commencé. A lui de se débrouiller pour dénicher le scoop du siècle en l’occurrence l’interview exclusive du chef de la tribu des Payas. Sur place, il devra retrouver son guide Pablito Camaron (Jamel Debouzze), un homme dont tout le monde se moque car il aurait vu un animal qu’on pensait qui n’existe pas mais qui n’existe : le Marsupilami !!

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    Après Astérix, c’est désormais le célèbre Marsupilami du génial Franquin qui se voit adapter sur le grand écran confié aux bons soins d’Alain Chabat. Il fait de nouveau confiance à l’intenable Jamel Debbouze pour nous faire bondir dans tous les sens et nous pondre une comédie familiale réussie. L’ex-Nul est fidèle à sa réputation et a glissé de nombreuses références au cœur d’un scénario riche en personnages ; les rires ne manqueront pas avec Sur la piste du Marsupilami. On gardera notamment à l’esprit un splendide hommage de Lambert Wilson à Céline Dion, une séquence d’ores et déjà culte et rien que pour ça c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’acheter un gâteau au fruit de la passion, personne n’aime ça !

  • Hénaut Président

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    L’élection présidentielle 2012 est en ligne de mire et notre pote Thierry Giovanni (Olivier Gourmet) et son équipe marketing pensaient participer à l’aventure. Alors qu’ils devaient se charger de la campagne d’Eva Joly, celle-ci leur passe sous le nez mais il leur reste tout de même une dernière carte à jouer avec … Pierre Hénaut (Michel Muller) ! Maire de Saint Nicolas de Noblat, ce candidat n’a franchement rien pour séduire les électeurs. Le défi est grand mais cela ne fait pas peur à Thierry, il lui suffira juste d’arranger quelque peu la vérité pour que la France découvre celui qui pourrait bien devenir le troisième homme de ces élections.

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    Après un début plutôt hésitant, on craignait que ce second long-métrage de Michel Muller finisse par s’effondrer et ne passe simplement pas le premier tour de satisfaction des spectateurs. Personnage crée à l’occasion des Présidentielles de 2007 et héros de films courts, Pierre Hénaut fait donc son come-back entouré d’une équipe de marketing au taquet. Si le programme humoristique qui nous est proposé n’est pas toujours de haut niveau, il nous réserve tout de même quelques délicieux moments de rire. Hénaut Président n’est pas le candidat pour la comédie de l’année mais saura certainement séduire les fans de Muller.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre l’importance de la séance de maquillage chez les hommes politiques.