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alberto amman

  • Eva

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    Il est considéré comme l’un des plus talentueux créateurs en matière de robotique, notre pote Alex Garel (Daniel Brühl) fait son grand retour après 10 ans d’absence. Personne d’autre que lui ne pouvait mener le projet S.I.-9. dont l’objectif est de développer un robot qui aurait l’apparence d’un enfant. C’est aussi l’occasion pour lui de retrouver son frère David (Alberto Amman) mais aussi et surtout Lana (Marta Etura) ; 2 personnes qu’il avait quitté brutalement. À la recherche d’un enfant qui lui servira de modèle, il fait la connaissance de la jeune Eva (Claudia Vega) qui a tout de la candidate idéale pour son projet. Une fille unique qu’il va apprendre à découvrir d’autant plus qu’il s’agit de sa nièce !

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    Propulsé dans un monde futuriste où les robots occupent désormais une place importante dans notre société jusqu’à prendre parfois l’apparence d’humains. Sujet ambitieux pour le premier film de Kike Maillo, le réalisateur espagnol n’est pas là pour concurrencer les productions américaines sur le même thème qui privilégierait l’action mais s’oriente ici vers une réflexion sur la propension de l’homme à vouloir se prendre pour Dieu. Si le duo Daniel Brühl / Claudia Vega est impeccable, il manque un véritable enjeu dans le scénario dont on devine rapidement la teneure sans parler de cette révélation peu surprenante.

     

    Il faut le voir pour : Essayer le coup du "Qu’est-ce que tu vois quand tu fermes les yeux ?"  avec vos enfants.

  • Cellule 211

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    Parce qu'il voulait donner une bonne impression, Juan (Alberto Amman) avait décidé de visiter la prison dans laquelle il allait devenir gardien. En plein repérage des lieux, un débris le touche à la tête le rendant complètement hagard et on le place alors dans la cellule 211 pour lui administrer les premiers soins. Manque de chance peu de temps après, les prisonniers emmenés par Malamadre (Luis Tosar) lancent une véritable révolution et prennent possession des lieux. Juan comprend vite qu'il est dans une situation extrêmement délicate et la seule chance pour lui de sortir de cet enfer vivant est de se faire passer pour un prisonnier.

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    L'univers carcéral a le vent en poupe dans le paysage cinématographique, après avoir inspiré Jacques Audiard et plus récemment Kim Chapiron ; c'est au tour du réalisateur espagnol Daniel Monzón de proposer sa vision des choses. Au bout de 5 minutes, on entre immédiatement dans le vif du sujet ; la révolte des prisonniers nous embarque pour 1H45 de tension sans oublier quelques scènes particulièrement violentes. Niveau reproches, on mettra un bémol à une histoire sans grandes surprises et le personnage de Malamadre manquant d'extravagance tout cela finissant par rendre Cellule 211 assez banal. Adapté du roman de Francisco Perez Gandul, le film a connu un joli succès en Espagne remportant notamment le Goya du Meilleur film 2010.


    Il faut le voir pour : Découvrir que même en prison, vous pourrez déguster des gambas.