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virginie ledoyen

  • Ablations

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    Le matin se lève et Pastor (Denis Ménochet) se réveille totalement hagard. Il est allongé sur l’herbe, sans pouvoir se rappeler ce qui s’est passé ; il se souvient juste qu’il y a eu une fête la veille mais après ça c’est le trou noir. Il va très vite être inquiété par autre chose puisqu’il découvre que son dos arbore une cicatrice et après des examens approfondis avec sa pote Anna (Florence Thomassin), il apprend qu’on lui a volé un rein ! Cette affaire le tracasse et décide de garder le silence vis-à-vis de sa femme Léa (Virginie Ledoyen) et refuse d’avertir la police. Il va mener sa propre enquête pour tenter de découvrir qui a pu lui faire ça et la première chose sera de découvrir ce qui s’est passé durant cette soirée.

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    Un mec qui se réveille sans souvenirs et sans son rein ; c’était plutôt un bon point de départ pour un scénario imaginé par Benoit "Michael Kael" Délépine. Seulement, l’intérêt d’Ablations se perd rapidement car d’une part le mystère autour des voleurs d’organes est vite levé et puis on a beaucoup de mal à donner du crédit à un scénario qui finit par tourner au rocambolesque. De la même façon, on a beaucoup de mal à se laisser convaincre par le casting à commencer par la victime qu’est Denis Ménochet ou par des personnages comme le coach Poncreux. Cette première réalisation du jeune Arnold de Parscau prenait doucement le chemin d’un bon thriller mais on va dire qu’il y a eu pas mal de déviations.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier votre dos quand vous rentrerez à la maison !

  • Ablations

    Dans Ablations, notre pote Denis Ménochet se réveille sans souvenirs de ce qu'il lui est arrivé. Ce qui est sur c'est qu'il porte une sacrée cicatrice et il va apprendre que quelqu'un lui a prélevé un rein et il a bien l'intention de trouver qui a bien pu lui faire ça !

    Date de sortie : 16 Juillet 2014.


  • Une autre vie

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    Prodigieuse pianiste, notre pote Aurore (Jasmine Trinca) a stoppé net sa carrière lorsque son père est mort. Une terrible épreuve qu’elle a partagé avec son frère Paul (Stéphane Freiss) et c’est quelques mois après qu’on les retrouve dans la maison familiale. C’est là qu’Aurore va retrouver le sourire lorsqu’elle fait la connaissance de Jean (JoeyStarr), un électricien venu installer un système d’alarme. Pas de doute, entre eux le courant passe et commence ainsi une belle histoire d’amour cependant tout n’est pas si simple. Il se trouve en effet que Jean est déjà en couple avec Dolorès (Virginie Ledoyen) et que celle-ci n’entend pas le laisser s’échapper aussi facilement.

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    Sur ces dernières années, le cinéma d’Emmanuel Mouret se définissait par des films comme Un baiser s’il vous plait ! ou L’art d’aimer ; des comédies sentimentales marquées par une vraie patte du français. C’est donc une surprise de découvrir Une autre vie qui lui permet justement de s’essayer à un registre plus dramatique.  Une bonne nouvelle au départ mais avec les minutes qui défilent, on se rend compte qu’il ne fait que rentrer dans le rang déjà établi même si quelques sauts dans le temps viennent apporter un peu plus de relief à la réalisation. Concernant le casting, rien à dire on est autant subjugué par la douce beauté de Jasmine Trinca que par le jeu délicat offert par JoeyStarr mais ils sont desservis par un scénario bien trop plat jusqu’à cette décevante conclusion.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas croire tout ce que votre femme vous annonce !

  • Les adieux à la reine

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    14 Juillet 1789. C’est une journée ordinaire qui semble se profiler à la Cour de Versailles et pour notre pote Sidonie (Léa Seydoux), la lectrice personnelle de la reine Marie-Antoinette (Diane Kruger). Ce n’est que le lendemain qu’elles prendront conscience qu’une page de l’histoire est en train de s’écrire ; le peuple français vient en effet de s’emparer de la Bastille. Commence alors une période de trouble durant laquelle on craint que Versailles ne soit à son tour envahi. Alors que Marie-Antoinette se prépare à se réfugier à Metz, elle confie à Sidonie un secret de polichinelle : l’amour qu’elle porte à la Comtesse Gabrielle de Polignac (Virginie Ledoyen).

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    Comme l’a si bien rappelé notre pote Jean-Luc Mélanchon, la prise de la Bastille est un des grands évènements de l’histoire française et on le redécouvre ici au prisme du regard du personnage de Sidonie, servante proche de Marie-Antoinette. Adapté du livre de Chantal Thomas, Les adieux à la reine séduit par son casting féminin de haut vol avec toutefois quelques réserves sur Diane Kruger qui ne sera pas une reine inoubliable. Les portes de Versailles nous sont donc grandes ouvertes pour découvrir les derniers râles d’une souveraine en pleine détresse, la seule chose c’est que ça manque par moment d’intensité pour nous emballer complètement.

     

    Il faut le voir pour : Avoir une illustration parfaite de l’expression "Sauver sa tête" !

  • Bullit - Mais qui a tué Pamela Rose (2)

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    Bullit : J'ai été marié 25 ans et elle est partie avec mon dentiste. A chaque fois que je me brosse les dents je pense à elle... Une fois par mois...

  • Tout ce qui brille

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    Potes d'enfance inséparables, Lila & Ely (Leïla Bekhti & Géraldine Nakache) trouvent le temps long dans leur banlieue à Puteaux. Quand vient la nuit, elles se parent de leurs plus beaux habits et tentent de s'incruster aux soirées mondaines de la capitale juste pour le fun. Seulement lorsque Lila tombe sur celui qu'elle pense être son prince charmant, l'amitié entre les 2 femmes est mise à rude épreuve. Lila profite de cette vie dont elle a toujours rêvé ce qui lui permet dans le même temps d'oublier l'espace d'un instant une déception familiale. Ely quant à elle, ne peut que constater le changement de comportement de son amie.

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    On l'a surtout aperçu au cinéma dans des seconds rôles ou bien encore dans des séries télévisées, Géraldine Nakache se lance dans l'aventure de la réalisation en compagnie d'Hervé Mimran. Un premier essai pour ces 2 novices plutôt prometteur malgré une histoire assez banale d'une banlieusarde qui se laisse séduire par les sirènes de la haute société. Tout ce qui brille se sauve grâce à un bon duo Géraldine Nakache / Leïla Bekhti et sans oublier l'excellente Audrey Lamy savoureuse dans son rôle ! Une comédie assez agréable à suivre mais certainement pas incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais traiter la mère de quelqu'un de caissière ... sauf si elle est effectivement caissière !

     

  • L’armée du crime

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    Au cœur de la Seconde Guerre Mondiale, la France est soumis à l’occupation Allemande et des poches de résistance se manifestent ça et là. Parce qu’on le suspecte d’appartenir à un groupe communiste, Manouchian (Simon Akbarian) a été arrêté par la police et envoyé dans un camps à Cormeilles. Sa femme Mélinée (Virginie Ledoyen) qui a assisté impuissante à son arrestation est parvenue à retrouver sa trace et est déterminée à le libérer. A sa grande surprise, son compagnon est libéré et si cela peut paraître suspicieux au regard de certains ; on va faire appel à lui pour prendre la tête d’une organisation résistante. A lui de coordonner les actions mais surtout de canaliser la fougue de certains individus un peu trop zélés.

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    Evènement hautement dramatique et marquant de notre histoire, la Seconde Guerre Mondiale trouve dans le cinéma français un écho particulier. Ce n’est pas les films qui manquent sur ce sujet et c’est pourquoi devant L’armée du crime, on a un terrible sentiment de déjà vu. Se démarque toutefois un casting soigné mené par Akbarian & Ledoyen même si mon attention se dirige davantage vers les jeunes Stévenin et Le Prince-Ringuet. N’oublions pas non plus le personnage interprété par Darroussin qui donne un peu plus de relief à un scénario inspiré de faits réels. En dehors d’une scène de torture assez atroce, le film de Robert Guédiguian ne restera pas particulièrement dans les mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de dégoupiller une grenade si vous n’avez pas l’intention de vous en servir !