Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vincent lacoste

  • Saint amour

    star 03.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Alors que Bruno (Benoît Poelvoorde) souhaitait faire la route des vins en plein Salon de l’agriculture, il est rappelé à ses devoirs par son père Jean (Gérard Depardieu). Entre eux, le dialogue est difficile pour ne pas dire inexistant ; Bruno ne peut plus supporter la pression que lui met son père pour reprendre la ferme familiale. Après avoir descendu quelques verres, il finit par s'écrouler dans les bras de Jean qui décide alors de quitter le salon pour l'emmener faire une véritable route des vins. C'est ainsi que tous deux se retrouvent sur la banquette arrière du taxi conduit par Mike (Vincent Lacoste) pour un trajet qui s'annonce aussi long qu'arrosé !

     

    02.jpg

    Une route des vins en compagnie de Benoît Poelvoorde et Gérard Depardieu, rien que sur le papier cela promettait déjà de l’animation ! Les inséparables Benoit Délépine & Gustave Kervern nous convient ainsi à un road-trip en compagnie d’un père et de son fils qui avaient grand besoin de se retrouver. Si les verres se remplissent (et se vident) à vive allure, au cours de ce voyage défilent aussi de belles rencontres parfois étranges faisant la part belle aux femmes. Izïa Higelin, Chiara Mastroianni, Solène Rigot ou encore Céline Salette viennent ainsi faire tourner les têtes de nos routards alcoolisés. Saint Amour c’est donc une excellente comédie à déguster sans modération aucune. En vous souhaitant une bonne continuation !

     

    Il faut le voir pour : Commencer à vous préoccuper de la dette !

  • Peur de rien

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    1993 dans la banlieue parisienne. Notre pote Lina (Manal Issa) vient d'arriver en France et est hébergée par sa tante Mounira (Darina Al Joundi) et son oncle Simon (Waleed Zuaiter). Ce dernier a tenté d'abuser d'elle et la jeune libanaise n'a pas d'autres choix que de s'enfuir se retrouvant sans toit mais aussi sans ressources. Elle doit en plus commencer ses cours à la fac et c'est d'ailleurs là-bas qu'elle fera la connaissance d'Antonia (Clara Ponsot) qui va lui donner un coup de main en l'accueillant chez elle. Grâce à Frédérique (Mathilde Bisson), la sœur d'Antonia ; Lina trouve un petit travail mené parallèlement à ses études et puis du côté de sa vie sentimentale il y aura de nombreuses rencontres à commencer par celles avec Jean-Marc (Paul Hamy).

    01.jpg

    Pour notre pote Lina, l’arrivée en France sonne comme un nouveau départ. Un nouveau pays synonyme d’espoir mais qui va s’accompagner aussi de son lot de mésaventures et de déceptions. L’histoire que nous présente Peur de rien est tout ce qu’il y a de plus ordinaire mais ce film de Danielle Arbid se distingue par son casting très rafraîchissant. On ne peut pas passer à côté de la lumineuse Manal Issa dont il s’agit ici du tout premier rôle ; la séduction est quasi immédiate ! Cet enthousiasme on la partage aussi avec le reste de la distribution qu’il s’agisse de Clara Ponsot, d’India Hair, de Mathilde Bisson, de Bastien Bouillon (loin de son rôle dans Le beau monde) ou encore de Vincent Lacoste. Sans aucun doute l’une des bonnes découvertes cinématographiques de l’année 2016.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous montrer plus efficace que les personnes qui vous ont aidé du travail dans leur boite !

  • Lolo

    star 02.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Alors qu'elle était en thalasso à Biarritz avec sa pote d'enfance Ariane (Karin Viard), Violette (Julie Delpy) a rencontré un homme. Au départ, c'était simplement pour le plaisir d'un soir mais sa relation avec Jean-René (Dany Boon) est devenu on ne peut plus sérieuse. Après une semaine loin de chez elle, la jeune femme retourne à Paris et heureux hasard, Jean-René s’apprête à y emménager dans le cadre de son travail. Tout semble aller pour le mieux pour ce nouveau couple mais il ne faudrait pas trop vite oublier Lolo (Vincent Lacoste), le fils de Violette qui ne partage pas le même enthousiasme de voir débarquer un nouveau prétendant dans la vie de sa mère.

    01.jpg

    La Julie Delpy réalisatrice avait l'habitude de nous réserver des comédies plutôt rafraîchissantes et c'est tout naturellement que l'on attendait un peu la même chose de ce Lolo. A l'écran, on est très loin du compte avec un film qui risque pas de s'étouffer dans l'originalité et un humour proche du néant. La galerie de personnages proposée ne s'avère pas plus enthousiasmante avec cette mère célibataire névrosée et un Dany Boon plus que jamais engoncé dans son personnage candide. Il n'y a encore que Vincent Lacoste pour lequel on esquissera un léger sourire en dehors de ça c'est clairement la déception qui prend le pas sur le reste !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de préparer des œufs-mouillettes pour vos enfants !

  • Hippocrate

    star 03.5.jpg

    AFF.jpg

    Un nouvel interne vient d’arriver et ce n’est pas n’importe qui ! Il se trouve en effet que notre pote Benjamin (Vincent Lacoste) est le fils du Professeur Barois (Jacques Gamblin) et qu’il a choisi de rejoindre le service de son père. Il sera suivi peu de temps après par Abdel (Reda Kateb) venu d’Algérie où il était médecin et qui cherche à obtenir son équivalence en France afin de devenir titulaire. Tous deux vont ainsi découvrir le quotidien toujours animé de cet hôpital entre les patients pas toujours très dociles et des conditions de travail qui font l’objet de nombreuses contestations.

    01.jpg

    Au-delà du simple film, le réalisateur Thomas Lilti nous propose ici une véritable plongée dans l’univers hospitalier. A travers les expériences vécues par Benjamin & Abdel, c’est un constat édifiant qui est dressé ; effectif réduit, matériel désuet, recherche perpétuelle de la rentabilité, c’est une lente déshumanisation d’un institut qui se dévoile sous nos yeux. Passionnant par son sujet, Hippocrate brille également par une interprétation sans failles où se distinguent incontestablement les excellents Vincent Lacoste et Reda Kateb. Que du tout bon pour ce film aux faux airs de documentaire qui mérite le coup d’œil !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous allonger sur le ventre quand on vous demande de vous mettre sur le dos.

  • Astérix - Astérix & Obélix : Au service de sa majesté

    Bonjour je m’appelle Astérix (Edouard Baer) !

    2167860595.77.jpg

    01.jpgAh bon sang quelle énergie dans cette ville ! On sent que tout peut arriver. Pardon ? Oui, je viens d’arriver à Londinium, en fait je suis gaulois, vous connaissez la Gaulle ? C’est seulement à 2 semaines de marche d’ici.

     

    En fait si je suis en Bretagne c’est parce qu’avec mon pote Obélix (Gérard Depardieu), nous accompagnons Jolitorax (Guillaume Gallienne) qui est venu jusqu’à notre village pour nous demander de la potion magique. Figurez-vous que Jules César (Fabrice Lucchini) s’apprête à envahir votre pays !

     

    02.jpg

    Avec la potion magique, vous ne risquez rien mais les romains nous recherchent et nous devons donc faire profil bas. C’est pour ça qu’on a eu l’idée de venir dans cette auberge. Pourquoi ? Et bien si vous voulez cacher un arbre, quoi de mieux que de le cacher dans une foret. Pour le tonneau c’est pareil, le meilleur endroit pour le dissimuler c’est … mais non pas une foret, une auberge voyons !

     

    En savoir plus sur Astérix & Obélix : Au service de sa majesté ?

  • Jacky au royaume des filles

    star 03.jpg

    aff.jpg

    La nouvelle a fait le tour de tout le royaume de Bubunne, la Générale Bubunne 16 (Anémone) a décidé  de se retirer au profit de sa fille la Colonelle (Charlotte Gainsbourg). A cette occasion, un grand bal va être organisé afin de lui trouver son grand couillon autrement dit l’homme qui aura l’honneur de l’épouser. C’est l’effervescence pour tous les hommes et notamment pour notre pote Jacky (Vincent Lacoste) qui n’a d’yeux que pour elle et qui se voit déjà dans sa belle voilerie blanche. Attention tout de même, il n’est pas seul sur le coup et son plus grand rival est certainement son cousin Vergio (William Lebghil) qui peut compter sur le soutien de sa riche famille.

    01.jpg

    Il s’était fait remarquer avec Les beaux gosses, le réalisateur Riad Sattouf devrait une fois encore faire parler de lui avec cette comédie pour le moins décalée. Jacky au royaume des filles c’est d’abord la découverte de tout un univers assez loufoque (qui peut tout aussi bien vous laisser insensible) à travers cette société gouvernée d’une main de fer par les femmes. On salue donc l’originalité qui a été apporté mais au fil des minutes on se rend aussi compte que l’humour ne suit pas vraiment et que la satire promise se révèle bien décevante. On passe donc un bon moment avec Vincent Lacoste et compagnie mais c’est quand même bien loin d’être la grande éclate.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à touiller la bouillie !

  • Astérix & Obélix : Au service de sa majesté

    star 03.jpg

    2167860595.77.jpg

    Plus conquérant que jamais, notre pote Jules César (Fabrice Lucchini) est sur le point de s’emparer de la Bretagne mais un village résiste encore. Malheureusement, il semble que ce ne soit qu’une question de temps avant que l’armée romaine ne triomphe à moins de recevoir de l’aide fut-ce telle celle des gaulois. C’est Jolitorax (Guillaume Gallienne) qui a émis cette idée et la Reine Cordelia (Catherine Deneuve) a approuvé et l’a donc chargé de ramener la célèbre potion magique qui pourra les sauver. Un tonneau du précieux breuvage l’attend, Astérix & Obélix (Edouard Baer & Gérard Depardieu) vont alors l’accompagner jusqu’en Bretagne. Une belle occasion également pour faire voyager Goudurix (Vincent Lacoste), le neveu du chef.

    01.jpg

    Quatrième adaptation live et quatrième réalisateur ; c’est donc Laurent Tirard qui a été chargé de faire oublier le désastreux Astérix aux jeux olympiques. Astérix & Obélix : Au service de sa majesté réunit pour l’occasion 2 albums du gaulois à savoir Astérix chez les bretons et Astérix et les normands. Le seul rescapé des aventures précédentes est donc Gérard Depardieu tandis qu’Edouard Baer passe, avec réussite, d’un second rôle à la tête d’affiche. L’humour rappelle celui qu’avait insufflé Chabat mais il est ici plus atténué ce qui fait de ce film un excellent bon familial où les héros d’Uderzo & Goscinny reprennent la place qui leur est due et les réconcilie avec les spectateurs. Manque juste un brin de folie supplémentaire qui l’aurait rendu vraiment excellent.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas prendre certaines expressions comme "se mettre à nu" au pied de la lettre !

     

    En savoir plus sur Astérix aux jeux olympiques ?

     

    Découvre le film Dans la peau d'Astérix !

  • JC comme Jésus Christ

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Son nom est d’ores et déjà inscrit dans le Guinness book des records, à seulement 15 ans il fut récompensé par une Palme d’or suivi ensuite d’un César ; pas de doute Jean-Christophe Kern (Vincent Lacoste) est un génie ! Parce qu’il n’a rien à cacher, il a accepté qu’une équipe de tournage le suive au quotidien que ce soit auprès de sa famille ou durant le processus de création de son prochain film. Il a eu une révélation : faire un biopic musical sur le criminel Ducroux et de nombreuses stars se battent déjà pour obtenir ce rôle en or. Acclamé partout où il passe, JC garde tout de même les pieds sur Terre car pour lui rien ne vaut un bon bol de Miel Pops.

    01.jpg

    Première réalisation pour Jonathan Zaccaï qui tente le pari osé de se lancer dans le vrai-faux documentaire à la manière d’un Moi, Michel G, Milliardaire, Maitre du monde. Là encore nous allons à la rencontre d’un personnage très imbu de lui-même et l’occasion d’un nouveau grand rôle principal pour Vincent Lacoste dont on attendait la confirmation depuis qu’il a été révélé dans Les beaux gosses et qui n’a depuis fait qu’enchainer les seconds rôles. Si on accueille avec plaisir l’idée qui nous réserve quelques bons moments avec un humour parfois irrévérencieux comme la production de cette comédie musicale, sur la longueur JC comme Jésus Christ peine à trouver et maintenir le rythme. Sympa à voir mais encore faut-il que Lacoste ne vous laisse pas indifférent.

     

    Il faut le voir pour : Oublier les autres céréales et acheter des Miel Pops.

  • De l’huile sur le feu

    aff.jpg

    A Paris, dans le quartier de Belleville 2 restaurateurs sont en conflit permanent et cela mène parfois à des gestes inconsidérés. C’est ainsi que notre pote Samir Chouffry (Nader Boussandel) en est venu à briser la vitre du restaurant de Wong Zy (Tien Shue) pensant que ce dernier avait fait de son chien un repas de fête. Se rendant coups pour coups, le propriétaire de L’empire du dragon réplique à son tour et tout ceci se termine en une bagarre générale. C’en est trop pour Mme Lavignasse (Claude Gensac), propriétaire des lieux qui décide de supprimer la terrasse de Chouffry. Celui-ci loin de s’avouer vaincu compte bien reprendre ce qui lui appartenait jadis mais un évènement tragique va tout remettre en cause.

    01.jpg

    Franchement, le pitch me paraissait propice à une bonne séance de rigolades malheureusement une fois devant le film, on est davantage envahi par l’accablement que par l’envie de se marrer. Condensé de clichés sur les asiatiques et les musulmans, De l’huile sur le feu ne prend même pas le temps d’assaisonner ces ingrédients pour les adapter à notre gout. Un humour primaire et bien trop répétitif, un jeu d’acteur poussif transforment cette comédie en un produit qui restera en travers de la gorge. La seule chose qui m’a redonné un tant soit peu le sourire c’est ce karaoké en guise de générique de fin avec la reprise du thème de la série Arnold & Willy, c’est bien peu.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’aller au restaurant ce soir !

  • Le skylab

    aff.jpg

    A l’occasion de l’anniversaire de leur Mamie (Bernadette Laffont), toute la famille s’est réunie en Bretagne pour célébrer l’évènement. Enfants et petits-enfants sont évidemment de la partie et parmi eux se trouvent notre pote Albertine (Lou Alvarez) et ses parents Anna & Jean (Julie Delpy & Eric Elmosnino). Le soleil est au rendez-vous-même si une averse n’est pas à exclure, le mouton est sur le barbecue et ce déjeuner s’annonce plus que jamais festif. Pour digérer le repas, rien ne vaut un détour à la plage et c’est vraiment l’idéal pour oublier que le Skylab pourrait s’écraser sur eux cette nuit. En effet, ça fait la une des journaux ; ce satellite a toutes les chances de frapper la Bretagne et ça angoisse quelque peu la petite Albertine.

    01.jpg

    Devant et derrière la caméra, notre pote Julie Delpy nous convie à un week-end familial qui s’annonce animé ! Au programme ; un bon couscous, quelques verres de Porto pour Mamie, un télé-crochet improvisé avec en guest-star Tonton Hubert ou encore un détour sur la plage des nudistes. Il n’y a pas grand-chose à reprocher à cette excellente comédie que ce soit un casting riche et surtout réussi, une bonne dose de bonne humeur mais aussi quelques coups de gueule ; on tombe immédiatement sous le charme avec Le skylab. Une réunion familiale à laquelle on ne regrette pas d’être convié et qui réveillera peut-être en vous quelques souvenirs !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’évoquer la politique pendant les repas familiaux !