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bastien bouillon

  • Peur de rien

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    1993 dans la banlieue parisienne. Notre pote Lina (Manal Issa) vient d'arriver en France et est hébergée par sa tante Mounira (Darina Al Joundi) et son oncle Simon (Waleed Zuaiter). Ce dernier a tenté d'abuser d'elle et la jeune libanaise n'a pas d'autres choix que de s'enfuir se retrouvant sans toit mais aussi sans ressources. Elle doit en plus commencer ses cours à la fac et c'est d'ailleurs là-bas qu'elle fera la connaissance d'Antonia (Clara Ponsot) qui va lui donner un coup de main en l'accueillant chez elle. Grâce à Frédérique (Mathilde Bisson), la sœur d'Antonia ; Lina trouve un petit travail mené parallèlement à ses études et puis du côté de sa vie sentimentale il y aura de nombreuses rencontres à commencer par celles avec Jean-Marc (Paul Hamy).

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    Pour notre pote Lina, l’arrivée en France sonne comme un nouveau départ. Un nouveau pays synonyme d’espoir mais qui va s’accompagner aussi de son lot de mésaventures et de déceptions. L’histoire que nous présente Peur de rien est tout ce qu’il y a de plus ordinaire mais ce film de Danielle Arbid se distingue par son casting très rafraîchissant. On ne peut pas passer à côté de la lumineuse Manal Issa dont il s’agit ici du tout premier rôle ; la séduction est quasi immédiate ! Cet enthousiasme on la partage aussi avec le reste de la distribution qu’il s’agisse de Clara Ponsot, d’India Hair, de Mathilde Bisson, de Bastien Bouillon (loin de son rôle dans Le beau monde) ou encore de Vincent Lacoste. Sans aucun doute l’une des bonnes découvertes cinématographiques de l’année 2016.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous montrer plus efficace que les personnes qui vous ont aidé du travail dans leur boite !

  • Marguerite et Julien

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    Ils se connaissent depuis toujours et sont quasiment inséparables ; Marguerite (Anaïs Demoustier) aime Julien (Jérémie Elkaïm) et c’est réciproque mais de tels sentiments sont inappropriés aux yeux de leur entourage et pour cause ils sont frère et sœur ! Une relation que surveille de près leur oncle qui ira jusqu’à convaincre leurs parents de les séparer. C’est ainsi que durant de nombreuses années Julien et son frère Philippe (Bastien Bouillon) quittent leur foyer pour parfaire leur éducation. Durant tout ce temps, Marguerite refusera tous les prétendants qui se présentent à elle jusqu’au retour tant attendu de son frère.

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    Valérie Donzelli n’entend pas entrer dans le moule des réalisateurs et le prouve une fois de plus avec cette romance pour le moins particulière. Difficile en effet de ne pas se laisser envahir par le sentiment de malaise devant cette relation incestueuse qui se dévoile devant nos yeux. Ce scénario peu ordinaire s’est inspiré de la véritable histoire du couple Marguerite et Julien De Ravalet datant du 17ème siècle et comme pour souligner l’aspect hors-norme du récit, le film se retrouve truffé d’anachronismes. Marguerite et Julien ne peut pas laisser indifférent tout comme la belle prestation d’Anaïs Demoustier qui ne trouve que peu d’écho face à un Jérémie Elkaïm bien fade.

     


    Il faut le voir pour : Se réjouir d’être enfant unique !

  • Le beau monde

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    Si notre pote Alice (Ana Girardot) est sur le point d’intégrer une école de broderie à paris aujourd’hui, elle le doit en grande partie à Agnès (Aurélia Petit). Cette dernière l’avait en effet encouragé à tenter sa chance et l’ancienne pâtissière peut désormais aspirer à poursuivre ses rêves. L’histoire entre les deux femmes ne s’arrête pas là puisque lorsque Alice s’installe dans la capitale, elle se rapproche d’Antoine (Bastien Bouillon) qui n’est autre que le fils d’Agnès. Une relation pas toujours évidente entre ces deux personnes issues de deux mondes totalement différents malgré tout l'amour va les réunir.

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    Selon l'expression populaire, l'amour rend aveugle mais peut-être pas au point de faire oublier certaines différences. On est dans la même lignée que le film Pas son genre réalisé par Lucas Belvaux où s'opposent 2 personnages d'abord unis par l'amour qui vont progressivement voir ressurgir leurs différences de classe sociale, de mode de vie. Si Ana Girardot est magnifique et parvient à nous séduire par sa fragilité, de l’autre coté Bastien Bouillon est un ton en-dessous et a bien plus de mal à nous toucher. Avec tout ça Le beau monde est au final un film certes délicat mais où l'ennui pointe aussi trop souvent le bout de son nez.

     

    Il faut le voir pour : Vous tricoter un joli pull, ça pourra peut-être changer votre vie !

  • Le beau monde

    C'est l'histoire d'une rencontre, celle d'Ana Girardot et de Bastien Bouillon et bien sûr l'amour est au rendez-vous. Malheureusement, cette relation ne sera pas de tout repos car ils appartiennent à 2 mondes différents et elle va découvrir ainsi que Le beau monde ne réserve pas que de bonnes choses.

    Date de sortie : 13 Août 2014.


  • La guerre est déclarée

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    La rencontre entre Roméo & Juliette (Jérémie Elkaïm & Valérie Donzelli) ne pouvait se dérouler autrement que comme un conte de fée. Leur relation fut immédiatement magique et de leur amour est né un enfant, un petit garçon prénommé Adam (César Desseix / Gabriel Elkaïm) ; cette famille semblait donc filer vers un doux bonheur. Pourtant, ils vont rapidement se préoccuper de leur fils car celui-ci n’arrive pas encore à marcher mais surtout est pris de vomissements soudains. Son pédiatre constate également une asymétrie faciale et demande aux parents de consulter un neurologue. Juliette profite de son passage à Marseille pour prendre rendez-vous avec le Dr. Fitoussi (Anne Le Ny) qui, après des scanners, va déceler une tumeur au cerveau chez le petit Adam !

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    D’un sujet aussi grave, nombreux sont les réalisateurs qui se seront délectés pour nous pondre un extraordinaire mélodrame larmoyant mais c’est une vision que ne partage pas Valérie Donzelli. Si on peut reconnaitre à l’actrice et réalisatrice une authenticité indéniable avec La guerre est déclarée, il y a tout de même certaines scènes qui ont le chic de prendre le spectateur à contrepied. Le film ne se résume pas au combat de parents contre le tragique destin de leur enfant, il met également en lumière le délitement d’un couple dont le quotidien est rythmé entre souffrances et sacrifices. Déconcertant par moments, les avis seront plus que partagés en tout cas on ne peut pas ignorer la personnalité qui s’en dégage et Donzelli fera encore parler d’elle !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à séduire les femmes avec un simple lancer de cacahuète !