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  • La Dream Team

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    Ce n'était encore qu'un adolescent lorsque notre pote Maxime Belloc (Medi Sadoun) a quitté le Berry pour rejoindre le centre de formation du PSG. A la suite de cela, sa carrière a vite explosé ; footballeur d'exception il enchaîne les succès sans oublier les juteux contrats publicitaires qui ont fait sa fortune. Pourtant, aujourd'hui âgé de 33 ans, le joueur semble sur le déclin comme l'atteste sa non-sélection avec l'équipe de France. Pour ne rien arranger, il s'est bêtement blessé et sera ainsi éloigné des terrains et son agent trouver alors l'idée d'un retour aux sources. C'est ainsi qu'il revient là où tout a commencé à Mareuil-en-bresle où il retrouve son père Jacques (Gérard Depardieu) avec qui les relations sont tendues.

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    Si vous appréciez le ballon rond autant que le cinéma, vous savez sans doute que le mariage des deux donne rarement de bons résultats. La Dream Team n'échappe hélas pas à cette règle car notre pote Thomas Sorriaux nous a pondu une comédie on ne peut plus convenue. Une star du foot à l'ego surdimensionné et critiquée de toutes parts retrouve son village natal et un Gérard Depardieu en père un peu bourru. Le dénouement de l'histoire n'est pas très difficile à deviner sans oublier la présence de Barbara Cabrita pour apporter un peu de romance. En fait, si vous avez moins de 12 ans alors oui cette comédie pourra prétendre à vous faire passer un bon moment autrement vous pouvez passer votre chemin.

     

     

    Il faut le voir pour : Éviter de vous tatouer des caractères chinois !

  • La vraie vie des profs

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    Profanation au collège Emile Zola de Marseille ! Bon, le mot est un peu fort mais une statue a été taguée et le Directeur (Lucien Jean-Baptiste) n’a pas eu de mal à trouver les coupables ! Albert & Jean-Mohamed (Emir Seghir & Sami Bouzid). Niant être les auteurs de ce méfait et réclamant un peu plus de liberté d’expression, les 2 compères se retrouvent propulsés dans l’équipe du journal du collège composée de Sissi, Juju (Victoire Poupon, Maëva Arnoux) et de Mousse (Enzo Vallejos-Celotto) qui n’est autre que le petit frère d’Albert. Après un léger incident et 4 heures de colle, ils découvrent que Mme De Grémont (Catherine Hosmalin) cache bien son jeu et vient alors l’idée d’enquêter sur la vraie vie des profs !

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    "Ba quoi, ça te fait pas marrer ?" Il s’agit là d’une ligne de dialogue de cette soi-disant comédie et la réponse sera bien claire : NON !! Soulignons que les profs vont en prendre pour leur grade cette année puisqu’en avril prochain suivra aussi l’adaptation de la bande dessinée par Pierre-François Martin Laval. La vraie vie des profs a donc l’avantage de lancer les hostilités sous la supervision du duo Emmanuel Klotz / Albert Pereira Lazaro que l’on connait pour avoir adapté Les lascars au cinéma. Sur le papier c’était prometteur mais au final c’est surjoué, on cherche vainement les gags et l’ensemble vaut guère mieux qu’une copie blanche. C’est quoi le plan ? Ils voulaient tout balancer et bien je crois que c’est le film qu’on va balancer !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants de sortir les poubelles plutôt que de les ramener !

  • De l’huile sur le feu

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    A Paris, dans le quartier de Belleville 2 restaurateurs sont en conflit permanent et cela mène parfois à des gestes inconsidérés. C’est ainsi que notre pote Samir Chouffry (Nader Boussandel) en est venu à briser la vitre du restaurant de Wong Zy (Tien Shue) pensant que ce dernier avait fait de son chien un repas de fête. Se rendant coups pour coups, le propriétaire de L’empire du dragon réplique à son tour et tout ceci se termine en une bagarre générale. C’en est trop pour Mme Lavignasse (Claude Gensac), propriétaire des lieux qui décide de supprimer la terrasse de Chouffry. Celui-ci loin de s’avouer vaincu compte bien reprendre ce qui lui appartenait jadis mais un évènement tragique va tout remettre en cause.

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    Franchement, le pitch me paraissait propice à une bonne séance de rigolades malheureusement une fois devant le film, on est davantage envahi par l’accablement que par l’envie de se marrer. Condensé de clichés sur les asiatiques et les musulmans, De l’huile sur le feu ne prend même pas le temps d’assaisonner ces ingrédients pour les adapter à notre gout. Un humour primaire et bien trop répétitif, un jeu d’acteur poussif transforment cette comédie en un produit qui restera en travers de la gorge. La seule chose qui m’a redonné un tant soit peu le sourire c’est ce karaoké en guise de générique de fin avec la reprise du thème de la série Arnold & Willy, c’est bien peu.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’aller au restaurant ce soir !