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paul giamatti

  • San Andreas

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    Sauver des vies, tel est le quotidien de notre pote Ray (Dwayne Johnson) et il s’apprête à vivre des heures difficiles. Tout a commencé avec un séisme qui s'est manifesté au Nevada et qui a littéralement pulvérisé le barrage Hoover et le pire reste encore à venir ! D'autres tremblements de terre plus violents vont provoquer la panique générale sur la cote Ouest ; la faille de San Andreas semble s’être rouverte. Pour Ray, la priorité sera de prendre des nouvelles de sa femme Emma (Carla Gugino) avec qui il est en instance de divorce mais il y devra également retrouver leur fille Blake (Alexandra Daddario).

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    Les films catastrophes se font un peu plus rares ces dernières années mais avec eux le grand spectacle est généralement au rendez-vous. San Andreas n'échappe pas à cette règle puisque les effets spéciaux déferlent à l'écran pour nous présenter l'Apocalypse sur Terre avec les destructions du barrage Hoover ou du Golden Gate Bridge. Dans ce genre de productions, les personnages n'ont pas vraiment l'opportunité d'exister et là aussi malgré la présence musclée de Dwayne Johnson, on ne peut que constater que la tradition est respectée. Au final aucune surprise à la vue de ce film ; on a droit à un divertissement qui ne cherche qu'à briller à travers ses images et dont on se lasse rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre quelques règles de survie.

  • The amazing Spider-Man : Le destin d’un héros

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    Qui aurait cru que la vie de Spider-Man soit si compliqué ! Enfin, on parle surtout de l’homme qui se trouve derrière le masque à savoir Peter Parker (Andrew Garfield), hanté par les derniers mots prononcés par le Capitaine George Stacy (Denis Leary). Il lui a juré de tout faire pour protéger sa fille Gwen (Emma Stone) et cela implique de la tenir éloignée de Spider-Man mais quand l’amour s’en mêle cela semble difficile. Pendant ce temps, il y a de l’animation chez Oscorp puisque Norman Osborn (Chris Cooper) est mort laissant à la tête de son empire son fils unique Harry (Dane DeHaan) qui apprend également qu’il est atteint d’une maladie héréditaire.

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    Retour plus qu’attendu pour nos potes Andrew Garfield, Emma Stone & Marc Webb avec un épisode qui constituera un tournant dans la vie du héros de Stan Lee. Il y a toujours un coté Comédie romantique qui trouve tout de même bien plus de légitimité ici et les fans devineront aisément de quoi je veux parler. Niveau action, on n’est pas déçu avec un Jamie Foxx / Electro qui assure le spectacle contrairement à Dane DeHaan / Bouffon vert très décevant (du moins dans sa transformation) sans parler du Rhino pas loin de faire de la figuration. S’il risque encore de diviser les fans, The amazing Spider-Man : Le destin d’un héros est bien le blockbuster annoncé avec un dénouement plein d’émotions bien qu’il me laisse encore sur ma faim.

     

    Il faut le voir pour : Couper l’électricité chez vous !

     

    En savoir plus sur The amazing Spider-Man ?

     

    En savoir plus sur Spider-man ?

    En savoir plus sur Spider-man 3 ?

     

  • Parkland

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    Ce 22 Novembre 1963 restera gravé dans la mémoire des américains. En visite à Dallas, le Président John Fitzgerald Kennedy (Brett Stimely) est victime de coups de feu en pleine rue causant une véritable panique. Il est alors immédiatement conduit à l’hôpital de Parkland où le docteur Charles Carrico (Zac Efron) et ses collègues feront tout leur possible pour le sauver malheureusement en vain. Pendant ce temps, Abraham Zapruder (Paul Giamatti) a été témoin de ce drame, il n’était qu’à quelques mètres du cortège et surtout il a tout enregistré sur son caméscope. Ce film devient alors l’objet de convoitises pour les services secrets mais aussi pour les médias.

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    Du nom de l’hôpital où le Président JFK a expiré son dernier souffle, Parkland revient sur un épisode traumatisant de l’histoire américaine. On y découvre surtout les évènements qui ont suivi à travers un film choral où sont évoqués le sort de la famille Oswald, le choc du cinéaste amateur ou encore la panique qui s’est instillée au sein des locaux du FBI. Loin de nous scotcher, on reprochera surtout au film de Peter Landesman d’aborder un sujet que l’on connait déjà que trop bien de façon trop superficiel. Résultat une œuvre à l’image de la prestation d’ensemble à savoir bien plate qui se laisse regarder mais qu’on oubliera aussitôt.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention à ce que vous pouvez filmer !

  • Turbo

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    Cela peut vous paraitre paradoxal mais notre pote Turbo est un escargot qui n’a qu’une passion : la vitesse ! Il se régale à voir et revoir les exploits du champion Guy La Gagne et rêve un jour d’être aussi rapide que lui mais son frère Chet est là pour le ramener à la triste réalité. Pourtant, un soir alors que Turbo déambulait après avoir perdu tous ses espoirs, il atterrit accidentellement dans une voiture où il va être exposé directement à du protoxyde d’azote. Dès lors, il va développer d’incroyables pouvoirs et notamment celui de se déplacer à une vitesse vertigineuse. Sa rencontre avec Tito, un vendeur de tacos sera alors déterminante puisque c’est grâce à lui que cet escargot pourra participer aux mythiques 500 miles d’Indianapolis.

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    Escar … Go !! Nouveau héros crée par les studios de chez Dreamworks animation, Turbo roule et boule à toute allure pour débarquer sur les écrans pour le plus grand plaisir des enfants. Des escargots aux coquilles customisées, de bons running-gags et un doux rêveur en guise de personnage principal ; tout est réuni pour qu’on passe un bon moment et c’est bien le cas. On s’amusera également que le grand rival de notre pote ne soit autre qu’un pilote français car il est bien connu que nous sommes les plus grands amateurs d’escargots ! Un film d’animation plaisant à qui l’on pourra juste reprocher un certain manque d’idées et qui se révèle visuellement peu éclatant.  

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les tomates que vous avez planté dans votre jardin !

  • Le congrès

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    C’est un constat flagrant ; Robin Wright est une actrice en plein déclin et Jeff (Danny Huston) qui est à la tête des studios Miramount Le lui a bien fait comprendre. Sa dernière chance serait d’accepter un contrat où elle accepterait de se faire scanner et dans le même temps de cesser complètement sa carrière de comédienne. Cette nouvelle prouesse technologique va révolutionner le cinéma ; elle permet en effet de recréer à l’écran une actrice plus vraie que nature rendant ainsi Robin Wright éternelle aux yeux des spectateurs. Cette dernière a longtemps hésité à accepter cette proposition et c’est son agent Al (Harvey Keitel) qui a fini de la convaincre mais ne risque-t-elle pas de regretter ce choix ?

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    Après s’être fait remarquer avec Valse avec Bachir, Ari Folman récidive avec Le congrès, réflexion autour de l’industrie du cinéma. Il y a d’abord une première partie assez passionnante où Robin Wright en prend quand même plein la gueule et offre, face à Keitel, une séquence pleine d’émotion puis à partir du moment où l’animation prend place, le vrai voyage commence. A partir de ce moment précis, soit vous partez dans le délire du réalisateur israélien soit vous restez cloué à votre siège en vous demandant si on n’aurait pas oublié de vous donner quelque chose à sniffer avant la séance. Probablement qu’une seconde séance ne serait pas du luxe mais cette première impression est pour le moins déroutante.

     

    Il faut le voir pour : Repérer les acteurs qui font des clins d’œil !

  • Rock forever

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    1987, notre pote Sherrie (Julianne Hough) a tenté l’aventure; elle a quitté l’Oklahoma avec ses précieux disques pour se rendre à Hollywood ! Après une petite mésaventure, elle fait la connaissance de Drew (Diego Boneta) qui travaille au Bourbon House, un lieu mythique qui a lancé la carrière du célèbre Stacee Jaxx (Tom Cruise). Ce dernier va d’ailleurs s’y produire de nouveau pour ce qui sera son dernier concert avec son groupe Arsenal avant d’entamer une carrière solo. Un évènement qui fera du bien aux finances de Dennis (Alec Baldwin), le propriétaire du bar qui non seulement soit surmonter ses problèmes d’argent mais aussi résister aux attaques de Patricia Whitmore (Catherine Zeta-Jones), la femme du maire.

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    Des comédies musicales on en a eu mais une centrée sur l’univers du rock’n’roll c’est déjà moins commun. Rock forever c’est d’abord l’histoire d’un couple ; les tout mignons Julianne Hough & Diego Boneta mais autour d’eux gravitent quelques personnages pour le moins étonnants. Impossible de manquer la prestation de Tom Cruise en star du rock et puis Catherine Zeta-Jones un peu plus discrète ou Paul Giamatti ne vous laisseront pas non plus indifférent. Les enfants du rock seront comblés avec des reprises de grands classiques comme Hit me with your best shot, Waiting a girl like you ou I want to know what love is néanmoins dans la dernière demi-heure cette belle énergie s’évapore un peu. Un bon moment en perspective à moins bien sûr de ne pas supporter le rock !

     

    Il faut le voir pour : Rechercher vos vieux vinyls de rock !

  • Big Mamma

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    Agent du FBI, notre pote Malcolm Turner (Martin Lawrence) est le spécialiste du déguisement et il n’y a encore pas si longtemps, il était méconnaissable en coréen black ! Une nouvelle mission l’attend lui et John (Paul Giamatti) ; ils sont actuellement en planque en Géorgie surveillant une certaine Big Mamma (Ella Mitchell). Cette dernière est le seul parent qu’ils connaissent à Sherry (Nia Long), une femme recherchée pour ses liens étroits avec Lester (Terrence Howard), un dangereux criminel qui vient de se faire la malle. Si au départ, il ne s’agissait que de recueillir des informations, les évènements vont vite obliger Malcolm à tout simplement prendre la place de Big Mamma !!

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    Si certains gags trouveront un certain écho, la majorité s’appuie sur des situations improbables teintées de scatomanie. Plus désolant qu’amusant, Lawrence n’est pas non plus acteur à faire dans la demi-mesure quand il s’agit d’enrober la caricature. Amusant tout au plus pendant 5 minutes, l’humour de Big Mamma est lourd (sans vouloir faire de jeux de mots) et ne cherche d’ailleurs jamais à se renouveler. Une fois averti du niveau de cette comédie, on peut toutefois saluer l’impressionnant travail de maquillage réalisé pour transformer l’acteur. Un personnage qui malgré son manque de glamour va tout de même avoir droit à une trilogie ce qui n’est pas négligeable et qui démontre toute la richesse du cinéma !

     

    En savoir plus sur Big Mamma 2 ?

    En savoir plus sur Big Mamma : De père en fils ?

  • Les marches du pouvoir

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    L’avenir des Etats-Unis est en marche. Nous sommes en plein cœur de la course à l’investiture démocrate et le débat entre les 2 candidats que sont le Gouverneur Mike Morris (Georges Clooney) & Ted Pullman sera décisif dans la course à la Présidence.  Les résultats dans l’Ohio seront déterminantes et au sein des 2 camps, chacun s’active pour faire pencher la balance du coté de son candidat. Mike peut compter sur le soutien indéfectible de son directeur de campagne Paul (Philip Seymour Hoffman) mais aussi de Stephen (Ryan Gosling) véritable prodige de la communication. Alors que les prochaines heures s’annoncent décisives, Stephen reçoit un appel de Tom Duffy (Paul Giamatti), responsable de la campagne de Pullman et qui va tenter de le convaincre de changer de camp.

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    La sortie de ce film à 1 an des prochaines élections présidentielles aux Etats-Unis est-elle un hasard, on ne peut pas en être si sur surtout quand c’est Georges "What else ?" Clooney himself qui joue les réalisateurs. Les marches du pouvoir décrit les coulisses d’un système d’élection un peu complexe que par chez nous ce qui n’empêche pas un film intense porté par l’autre beau gosse en vogue à savoir Ryan Gosling. Manipulations et mensonges se mêlent à l’honnêteté et les bonnes volontés prônées par nombre de discours politiques, on n’est plus véritablement surpris par ces dérives et cela ne va pas aller en s’améliorant ! Un thriller politique très bien mené et qui nous prépare à une année 2012 qui s’annonce riche dans ce domaine.

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos stagiaires tranquille !

  • Le monde de Barney

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    Aujourd’hui producteur d’une série télévisée au succès relatif, notre pote Barney Panofsky (Paul Giamatti) a eu une vie à la fois mouvementée et bien remplie. Comme la plupart des hommes, ce sont ses différentes rencontres avec les femmes qui ont fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Tout a commencé en 1974 à Rome où il épouse Clara (Rachelle LeFevre), un mariage qui tournera cependant court et une histoire qui connaitra un dénouement dramatique. Par la suite, il retrouvera l’amour et malgré quelques tensions entre leurs parents respectifs, c’est un nouveau mariage pour Barney qui ne trouve rien de mieux à faire que de rencontrer la véritable femme de sa vie ! Elle s’appelle Miriam (Rosamund Pike) et vit à New York et il fera tout son possible pour la séduire.

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    Le monde de Barney, c’est le portrait d’un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire dont la vie fut rythmé par ses rencontres amoureuses. Désillusions amoureuses et coup de foudre sont donc au rendez-vous et pour nous accompagner les 2 heures durant, c’est l’éclectique Paul Giamatti qui interprète avec aisance ce personnage débonnaire. Aucun doute, le casting est parfait puisqu’il est accompagné d’un Dustin Hoffman en père imprévisible et d’un charmant duo Minnie Driver / Rosamund Pike. S’il est loin de s’avérer être une fantastique comédie, cette réalisation de Richard J. Lewis a l’avantage que le spectateur ne voit pas le temps défiler et qu’il nous réserve également un joli petit moment d’émotion dans sa conclusion.

     

    Il faut le voir pour : Constater que vous avez toutes les chances de rencontrer la femme de votre vie … à votre propre mariage !

  • Les winners

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    Mike Flaherty (Paul Giamatti) est avocat mais c’est surtout un homme très occupé puisqu’en dehors de son travail, il est aussi l’entraineur d’une équipe de lutte. Malheureusement pour lui, les résultats ne sont pas vraiment ceux qu’il escomptait mais cela pourrait vite changer. L’avocat a quelques problèmes d’argent aussi s’est-il proposé de devenir dans le plus grand des secrets le tuteur d’un de ses clients Leo Poplar (Burt Young) et empocher ainsi les 1500 dollars confiés pour cette mission. Un jour, le petit fils de Leo débarque ; il s’appelle Kyle (Alex Shaffer) et a décidé de fuir sa mère mais il s’avère être également un prodige de la lutte. Mike décide alors de l’inscrire au lycée de la ville et de l’intégrer à son équipe et pas de doute, il tient là un génie mais un évènement va tout remettre en cause.

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    S’il s’était avant tout fait remarquer pour la performance de Richard Jenkins The visitor, le précédent film de Thomas McCarthy avait permis à l’artiste de se faire un peu plus connaitre en tant que réalisateur. Il signe ici son 3ème film ; une comédie dramatique avec en toile de fonds le sport de la lutte plutôt méconnu de par chez nous et ne serait-ce que pour ce simple point de détail, Les winners risque de laisser de coté quelques spectateurs. Tout comme son précédent film, il n’offre pas une simple comédie mais donne également l’occasion d’une réflexion à travers les épreuves vécues par le personnage de Mike. Si coté interprétation il n’y a franchement rien à reprocher, on ne peut pas en dire autant d’un scénario qui tourne un peu en rond et finit par nous lasser.

     

    Il faut le voir pour : Retrouver Dark Vador !