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amy ryan

  • Chair de poule - Le film

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    Nouveau départ pour notre pote Zach (Dylan Minnette) qui vient de quitter New York pour s’installer à Madison dans le Delaware. Ce déménagement fait suite à la nomination de sa mère Gale (Amy Ryan) au poste de Directrice Adjointe du lycée et c’est aussi l’occasion pour elle de se rapprocher de sa sœur Lorraine (Jillian Bell). De son côté, Zach n’est pas particulièrement enthousiaste mais il s’apprête à vivre une aventure fabuleuse. Tout a commencé avec sa rencontre avec Hannah (Odeya Rush), sa voisine et dont le père va s’avérer être un écrivain populaire puisqu’il s’agit de R.L. Stine (Jack Black). Il est en effet l’auteur de la collection de livres Chair de poule et avait jusqu’alors mystérieusement disparu et il y a une raison pour cela !

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    Des centaines de millions de livres vendus à ce jour, une série télé et même des jeux vidéo ; il était écrit que l’œuvre née sous la plume de Robert Lawrence Stine ne pouvait pas échapper à l’adaptation cinématographique. Le cœur de cible étant les jeunes spectateurs, tout l’attirail nécessaire a été déployé avec en guise de héros un joli petit couple, un rigolo de service et notre pote Jack Black pour chapeauter ce beau monde. Les monstres font aussi partie de la fête qu’il s’agisse de l’énorme Mante religieuse, de l’abominable homme des neiges, de la marionnette (mais ne le dites pas trop fort) Slappy ou encore de ces coriaces nains de jardin. Si Chair de poule - Le film n’a rien de très magique, il fait cependant ce qu’il faut pour conquérir son public juvénile et ces aventures ne font que commencer !

     

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à deux fois la prochaine fois que vous voudrez ouvrir un livre !

  • Birdman

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    Son avenir se joue dans les prochains jours, notre pote Riggan Thomson (Michael Keaton) a décidé d'adapter Raymond Carver à Broadway, Oui vous avez bien lu, l'interprète culte du célèbre super-héros Birdman monte sur les planches pour relancer sa carrière mais c'est loin d’être évident. Alors que la grande première se rapproche à grands pas, l'un de ses interprètes principaux se retrouve hors-course après avoir reçu un projecteur sur la tête, ce qui n'est pas forcément une grande perte. Il sera vite remplacé par Mike Shiner (Edward Norton), comédien talentueux et populaire mais aussi très imprévisible !

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    Non ce film au titre trompeur n'est pas là pour concurrencer les blockbusters de chez Marvel & DC, bien au contraire ! Déjà, on saluera le retour au premier plan de Michael Keaton, le Batman de la saga de Burton dans un rôle qui semble écrit pour lui. La réalisation du mexicain Alejandro González Iñárritu va elle aussi vous interpeller car Birdman est en fait constitué d'un plan séquence. Si on ne peut que saluer la performance des acteurs (avec un sacré casting) dans cet exercice particulier, pour le spectateur ça reste tout de même assez éprouvant lorsque cela s'étend sur 2H. Un film qui vous entraîne malgré tout irrémédiablement dans sa douce folie.

     

    Il faut le voir pour : Essayer d'aller voir autre chose que les films de super-héros au cinéma !

  • Les winners

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    Mike Flaherty (Paul Giamatti) est avocat mais c’est surtout un homme très occupé puisqu’en dehors de son travail, il est aussi l’entraineur d’une équipe de lutte. Malheureusement pour lui, les résultats ne sont pas vraiment ceux qu’il escomptait mais cela pourrait vite changer. L’avocat a quelques problèmes d’argent aussi s’est-il proposé de devenir dans le plus grand des secrets le tuteur d’un de ses clients Leo Poplar (Burt Young) et empocher ainsi les 1500 dollars confiés pour cette mission. Un jour, le petit fils de Leo débarque ; il s’appelle Kyle (Alex Shaffer) et a décidé de fuir sa mère mais il s’avère être également un prodige de la lutte. Mike décide alors de l’inscrire au lycée de la ville et de l’intégrer à son équipe et pas de doute, il tient là un génie mais un évènement va tout remettre en cause.

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    S’il s’était avant tout fait remarquer pour la performance de Richard Jenkins The visitor, le précédent film de Thomas McCarthy avait permis à l’artiste de se faire un peu plus connaitre en tant que réalisateur. Il signe ici son 3ème film ; une comédie dramatique avec en toile de fonds le sport de la lutte plutôt méconnu de par chez nous et ne serait-ce que pour ce simple point de détail, Les winners risque de laisser de coté quelques spectateurs. Tout comme son précédent film, il n’offre pas une simple comédie mais donne également l’occasion d’une réflexion à travers les épreuves vécues par le personnage de Mike. Si coté interprétation il n’y a franchement rien à reprocher, on ne peut pas en dire autant d’un scénario qui tourne un peu en rond et finit par nous lasser.

     

    Il faut le voir pour : Retrouver Dark Vador !

  • Rendez-vous l’été prochain

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    Jack & Clyde (Philip Seymour Hoffman & John Ortiz) sont 2 potes d’enfance qui travaillent ensemble comme chauffeurs de limousine, un boulot qu’ils aimeraient bien quitter. Jack veut tenter sa chance pour travailler dans le métro new-yorkais tandis que Clyde s’applique à prendre des cours du soir pour donner un nouvel élan à sa vie professionnelle. En attendant leur éventuelle reconversion, Clyde et sa femme Lucy (Daphne Rubin-Vega) ont décidé d’organiser un diner afin que Jack fasse la connaissance de Connie (Amy Ryan). C’est la nouvelle collègue de Lucy et un couple commence à naitre, Jack veut que tout soit parfait et s’efforce d’apprendre à nager et à cuisiner.

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    L’appel de la caméra a eu raison de Philip Seymour Hoffman qui tient ici la double casquette de réalisateur et d’acteur. Rendez-vous l’été prochain s’intéresse donc à la vie de 2 célibataires réunis par des potes d’enfance communs et puis c’est à peu près tout à vrai dire ! La seule chose à retenir en fait c’est que pendant qu’un couple se forme, un autre se déchire ce qui donne au film un ressentiment assez mitigé à l’image de ce diner pour le moins mouvementé. Hoffman signe donc une première réalisation convenable qui manque de véritables attraits. Un essai dont on attend la transformation pour l’avenir.

     

    Il faut le voir pour : Visualiser les choses