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sami gayle

  • 12 heures

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    Après 8 années passées derrière les barreaux, Will Montgomery (Nicolas Cage) retrouve enfin la liberté ! Ce génie du braquage s’est fait serré lors de son dernier coup avec son équipe qui aurait pu leur rapporter un pactole de 10 millions de dollars. A peine a-t-il quitté la prison que son pote d’enfance Vincent (Josh Lucas) que tout le monde croyait mort, le contacte et lui annonce qu’il vient de kidnapper Alison (Sami Gayle), la fille de Will. Si ce dernier veut la revoir vivante, il faudra qu’il lui apporte les 10 millions de dollars qu’il avait volé à l’époque, le seul problème c’est que ce magot est parti en fumée et qu’il ne lui reste que 12 heures pour trouver cette somme.

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    Simon West (Les ailes de l’enfer, The Expendables 2) à la caméra et un casting plutôt étoffé rassemblant Nicolas Cage, Malin Akerman, Danny Huston & Josh Lucas pour un film assez plan-plan. Thriller au scénario usé où le héros se retrouve confronté à un terrible dilemme et doit se faire 10 millions de dollars en 12 heures ce qui fait un ratio horaire dont le monde rêverait. S’il est plutôt amusant de voir Cage se démener en plein festival du Mardi Gras à la Nouvelle-Orléans, les scènes d’action tout comme celles de braquages sont loin elles d’être aussi pétillantes. Ce n’est pas le film indispensable du moment ni d’aucun autre moment d’ailleurs mais bon si vraiment vous avez besoin d’un petit divertissement sans prétentions …

     

    Il faut le voir pour : Eviter de répondre au téléphone en voiture, ça peut provoquer des dégâts !

  • Le congrès

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    C’est un constat flagrant ; Robin Wright est une actrice en plein déclin et Jeff (Danny Huston) qui est à la tête des studios Miramount Le lui a bien fait comprendre. Sa dernière chance serait d’accepter un contrat où elle accepterait de se faire scanner et dans le même temps de cesser complètement sa carrière de comédienne. Cette nouvelle prouesse technologique va révolutionner le cinéma ; elle permet en effet de recréer à l’écran une actrice plus vraie que nature rendant ainsi Robin Wright éternelle aux yeux des spectateurs. Cette dernière a longtemps hésité à accepter cette proposition et c’est son agent Al (Harvey Keitel) qui a fini de la convaincre mais ne risque-t-elle pas de regretter ce choix ?

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    Après s’être fait remarquer avec Valse avec Bachir, Ari Folman récidive avec Le congrès, réflexion autour de l’industrie du cinéma. Il y a d’abord une première partie assez passionnante où Robin Wright en prend quand même plein la gueule et offre, face à Keitel, une séquence pleine d’émotion puis à partir du moment où l’animation prend place, le vrai voyage commence. A partir de ce moment précis, soit vous partez dans le délire du réalisateur israélien soit vous restez cloué à votre siège en vous demandant si on n’aurait pas oublié de vous donner quelque chose à sniffer avant la séance. Probablement qu’une seconde séance ne serait pas du luxe mais cette première impression est pour le moins déroutante.

     

    Il faut le voir pour : Repérer les acteurs qui font des clins d’œil !